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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              par le massacre de Lachine, Denonville résolut d’abandonner le fort Frontenac trop exposé aux attaques iroquoises. Legardeur de Repentigny offrit ses services au gouverneur pour aller porter les ordres
               
              souverain en 1703, il est installé le 16 novembre 1705 seulement. Frontenac [Buade*] avait pour lui « une estime et une amitié
               
              LECHASSEUR, JEAN, secrétaire de Frontenac
               
              Bochart de Champigny, qui ne le tenait pour rien d’autre qu’un associé de Buade* de Frontenac dans la traite des fourrures, Le
               
              financière de Frontenac [Buade*], syndic des Récollets, la construction de l’hospice se poursuit durant deux ans, sous l’œil agacé de l’évêque qui
               
              contrôleur de la marine et des fortifications au Canada et arrive à Québec le 28 novembre, juste à temps pour assister aux funérailles de Frontenac
               
              devant le notaire Genaple pour la construction d’une poudrière située dans l’un des bastions du fort Saint-Louis. En 1693, Frontenac
               
              Buade* de Frontenac contre les Iroquois en 1696. Les archives notariales indiquent qu’il se fixa à Montréal peu après. Une autre source le mentionne comme commandant du fort Lachine au cours des
              Frontenac [Buade*] préparait contre les colonies anglaises du Sud. En Europe, la ligue d’Augsbourg avait déclaré la guerre à la France en mai 1689 et
               
              charge des postes de la baie quand Iberville, selon les ordres reçus, mit le cap sur Québec en ramenant avec lui les plus gros vaisseaux anglais. Le 15 mai 1690, le gouverneur de Frontenac
              . L’aîné des célèbres frères Le Moyne fut élevé en France, comme page d’un parent de Buade* de Frontenac, le maréchal d’Humières. Il embrassa
               
              Québec en 1690 lors du siège de la ville par les troupes anglaises de William Phips*. En avril de l’année suivante, le gouverneur de Frontenac
              gouverneur Buade* de Frontenac céda à bail aux deux associés le poste qu’il avait fondé à Cataracoui (fort Frontenac), point stratégique du commerce
              l’Église canadienne et répondît aux attaques de Frontenac [Buade*] et de ses alliés. Il arrêta son choix sur l’abbé Jean
              Frontenac qu’il avait eu le grade de lieutenant dans le régiment de Clairambault et, dans un mémoire adressé vers 1725 au ministre Maurepas, il n’est plus, modestement, qu’un ancien cadet du régiment de
               
              Frontenac [Buade*], c’est lui qui le remplacera à la mission de Gentilly (Dorval
               
               : l’île Percée, la rivière Saint-Jean, le fort Frontenac et Trois-Rivières. Après avoir présidé l’installation à Québec de ses religieux, le père Germain
               
              Frontenac vint ensuite inspecter ce nouveau fort, auquel on avait donné le nom de fort Frontenac (Kingston, Ont.), et profita de l’occasion pour faire lui-même un sermon aux Iroquois. Lamberville écrivit à
              Tsonnontouans, le rappela lui aussi à brève échéance et lui assigna les fonctions d’aumônier de la garnison de Cataracoui (fort Frontenac). Son frère vint l’aider dans cette tâche et, peu après, Jacques demanda
               
              les plans pour la construction du château et du nouveau fort. À propos du château, Frontenac [Buade*] déclarait que « ce n’est pas sans
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