Buade* de Frontenac. Envoyé d’abord à la mission du saut de la rivière Chaudière, que dirigeait le père Jacques Bigot
de la goutte. Aussi, quand il mourut, songea-t-on naturellement à son fils pour lui succéder. Louis XIV lui accorda, sur la recommandation de Frontenac
.
Radisson arrive à Québec à la fin du mois de septembre 1681. Le gouverneur Frontenac [Buade*] refuse
administratifs, il ne participa à aucune des grandes expéditions militaires de l’époque, sauf lorsqu’il accompagna Buade* de Frontenac en 1673 au lac
Bizard*, Frontenac [Buade*] le nomme major de Montréal avec « Le pouvoir de commander en l’absence du Gouverneur comme Lavoit le feu
Meulles et, après le départ de ce dernier, en 1686, il travailla avec son père au greffe du Conseil souverain. Le 1er mars 1693, il reçut, à la demande de Frontenac
1708. En 1695, Levilliers accompagna le chevalier Thomas Crisafy* au fort Frontenac (Kingston, Ont.). Au cours de la même année il fut nommé
Perrot, dit Joly-Cœur, avait tenté d’empoisonner Cavelier* de La Salle au fort Frontenac (Kingston, Ont.), peu après que le
* de Frontenac, il était nommé au Conseil souverain en janvier 1673, à la place de Nicolas de Mouchy*, et le roi le nommait conseiller à vie
Lorimier de La Rivière. Le gouverneur Buade* de Frontenac ajouta à la pénalité en relevant les deux officiers de leur
[...] suivi des relations officielles de Frontenac, Monseignat et Juchereau de Saint-Ignace [...] (Montréal, 1898).— Archange Godbout, Paradis, MSGCF, I (1944) : 30–33.— Ernest
. Aloigny de La Groye. Durant dix ans, Papineau servit fidèlement sous MM. Buade* de Frontenac et de
.
En juin 1676, il est nommé commissaire provincial au Canada ; il visite les missions à partir du fort Frontenac (Kingston) sur le lac Ontario jusqu’à Percé. Il retourne en France à l’automne de
raconte qu’un jour le chef indien avait dit à Buade* de Frontenac « que c’estoit un malingre qui n’estoit propre a rien puisqu’il falloit
Buade* de Frontenac comme un allié de toujours et l’avertit, en privé, du caractère perfide des Renards et des Mascoutens, dont les porte-parole assistaient également à la réunion. Quelques jours plus
région de Tadoussac, et il fut toujours observateur attentif des beautés et des richesses de la nature. En sa qualité de supérieur, il adressa une lettre au gouverneur de Frontenac
. »
Fort heureusement, Frontenac [Buade*], qui prévoit une expédition contre les Iroquois et le besoin qu’il aura alors de l’Hôtel-Dieu pour les
1674, Buade* de Frontenac lui concède la seigneurie de Kamouraska qu’il vendra en 1680 à
* de La Salle, commis et sous-directeur du Domaine du roi (1681–1682), premier secrétaire du gouverneur Louis de Buade* de Frontenac
Le Febvre* de La Barre, alors que celui-ci s’acheminait vers le fort Frontenac, allant punir les Tsonnontouans. Le père Millet prit part aussi aux négociations de l’anse de La Famine