DCB/DBC Mobile beta
+

Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              161 à 180 (de 396)
              1...7  8  9  10  11  ...20
               
              , Teganissorens se rendit à Montréal et arriva à convaincre le gouverneur Louis de Buade* de Frontenac que les Iroquois n’avaient nullement l’intention de
               
              jugements sont unanimes en faveur de La Touche. Le 15 octobre 1698, Buade* de Frontenac et Champigny louent son exactitude et se
              * de Frontenac, gouverneur du Canada, avait envoyé en émissaire auprès des Iroquois. Les Iroquois appelaient Schuyler « Quider » qui était leur façon de prononcer Peter. D’après Parkman, un
               
              Phips* contre Québec. Il fut envoyé à terre le 6 octobre (16 octobre, nouveau style) pour porter à Buade* de Frontenac un ultimatum
              . Sarrazin eut des velléités de vie ecclésiastique ; Frontenac [Buade*] écrit en 1697 : « Il est vrai que le sieur Sarrazin était il y
               
              Phips* en 1690 et en porta plainte au gouverneur du Massachusetts, le comte de Bellomont. À la fin de l’année 1695, il fut cité par Frontenac
               
              * de Frontenac qui alla fonder le fort Cataracoui (Frontenac) au lac Ontario en 1673. Il fit parfois la traite des fourrures ; les archives nous révèlent qu’en 1678 il avait une loge à la foire
               
              Frontenac [Buade*] contre les mêmes Iroquois, pendant l’été de 1696. Il mérite la mention de « bon officier ». Devenu, en 1702, capitaine
               
               Compagnie de Saint-Sulpice au Canada (Montréal, 1912), 84, 100, 107, 112, 113, 116, 119, 121, 126 ; Sulpitiana (Montréal, 1926), 253s.— Eccles, Frontenac, 68s.
               
              mauvais procédés de Frontenac [Buade*] dont l’inimitié ne se démentait pas, était malade depuis plusieurs années et menacé en outre de cécité. Déjà
              elle, car son nom apparaît dans les archives en relation étroite avec celui du découvreur et elle était la seule célibataire de son rang à habiter le fort Frontenac
               
              . En août 1674, Frontenac [Buade*] fit arrêter à Montréal le sulpicien François de
               
              menées contre les Anglais et lia des relations suivies avec les tribus d’Indiens abénakis. Pendant l’hiver de 1689–1690, Buade* de Frontenac
               
              . Buade* de Frontenac demanda pour lui une commission de lieutenant qui lui fut accordée le 3 avril 1696. Il commanda ensuite de petits bâtiments armés pour la lutte contre les corsaires
               
              Rochefort. Buade* de Frontenac écrivit au ministre en 1690 que, sous réserve de ratification royale, il avait nommé « le Sr. de Robineau
              . Les vicissitudes du favoritisme se lisent entre les lignes des écrits des intendants et des gouverneurs. Buade* de Frontenac et Duchesneau
              l’admiration de tous ses supérieurs, sans exception. Buade* de Frontenac fit l’éloge de sa « diligence incroyable » au cours de la grande
               
              seigneur progressif. En octobre 1696, Frontenac [Buade*] lui concède une terre en Acadie, qu’il ne mit toutefois pas en valeur. C’est comme seigneur
               
              ’Amérique septentrionale, années 1709 et 1710, Camille de Rochemonteix, édit. (Paris, 1904).— Jean Delanglez, Frontenac and the Jesuits (Chicago, 1939), 65.— Hamelin, Économie et
              instrument d’ascension sociale. Que les dignitaires de la colonie soient ses invités et que le gouverneur Buade* de Frontenac dise de lui qu’il était
              161 à 180 (de 396)
              1...7  8  9  10  11  ...20