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seigneur rendit foi et hommage à Québec, le 7 juillet 1668. Frontenac [Buade*] permit à
 
représentations. Quelques jours plus tard, Mgr de Saint-Vallier émettait une lettre pastorale nettement défavorable aux pièces de théâtre qui avaient été montées au château Saint-Louis par Frontenac
 
 :le Il octobre 1673, Frontenac [Buade*], qui le protégeait, à ce qu’il semble, le nommait « huissier et sergent royal exploitant par tout
 
Juchereau* de La Ferté, se fût chargé de son entretien. Le gouverneur Buade* de Frontenac le persuada en 1674 d’abandonner le commerce
 
interrompre momentanément ses fonctions pour accompagner Frontenac [Buade*] dans son expédition contre les Iroquois ; il commandait alors les
 
Dollier de Casson, supérieur des Sulpiciens, il assiste à l’audience donnée par Frontenac [Buade*] au député des cinq tribus iroquoises
 
fort Frontenac dépêcha Clérin et Joannès de Chacornacle sur les lieux pour régulariser la situation. À la
 
. 1677.— AQ, Paul Dupuis ; NF, Ins. de la Prév. de Québec,I : 543, 633 ; II : 1 ; III : 192, 456 ; NF, Registres d’intendance, IV : 11s.— Correspondance de Frontenac
 
vue. Le 7 novembre 1678, il fut chargé d’aller porter au roi les avis d’une assemblée des notables concernant la vente de l’eau-de-vie aux Indiens. Il eut la confiance de Frontenac
 
DUGUÉ DE BOISBRIAND, PIERRE, officier de Buade* de Frontenac et son protégé
 
enseigne et sert au fort Niagara (1687 et 1688). Dans son mémoire de 1689, Frontenac [Buade*] n’a que des paroles de louange à l’égard de
plus tard, il adressa un acte de remontrance à Frontenac [Buade*] qui avait chargé Gilles de Boyvinet, lieutenant général du la juridiction de
 
mandement et réparation de l’offense qu’elle disait lui avoir été faite. Frontenac [Buade*] étant intervenu dans la querelle, y voyant un empiétement
 
rendit à Cataracoui (fort Frontenac) en 1687, avec les troupes de Denonville, et participa à l’expédition contre les Iroquois (Haudenosaunee) qui devait se terminer par un humiliant compromis pour les
 
, commandant du fort Frontenac en 1696, commandant du fort Chambly en 1711 et 1712, major de Trois-Rivières de 1720 à 1726 ; né en 1666 à Carcassonne, France, fils unique de Pierre-François de
Brisay de Denonville dans un voyage au fort Frontenac (Kingston, Ont.). Il descendait à terre à de fréquents intervalles pour établir des latitudes dans le but de dresser une carte. L’année
 
Frontenac [Buade*] l’ordre de se rembarquer, laissant le fort inachevé. Robinau
 
les raisons à M. de Frontenac [Buade*] : « oter de notre part tous sujets de plaintes et enlever toute gêne aux consciences
 
d’affaiblissement et il était sûrement atteint de cécité totale quand, trois ans plus tard, Buade* de Frontenac sollicita pour lui l’aide du roi. Il confia
 
de Frontenac (1689–1699), RAPQ, 1927–28 ; 1928–29.— Correspondance de Vaudreuil, RAPQ, 1938–39.— Jug. et délib., III, IV, V.— Webster, Acadia.— Fauteux
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