Duchesneau* et le gouverneur Buade* de Frontenac. Mgr de Laval lui demande de s’abstenir absolument d’aborder cette question. Le 8
confondre avec le dénommé Lussigny qui a fait partie de la garde de Buade* de Frontenac vers les années 1670, car Louvigny n’arriva en Nouvelle
brouiller non seulement avec le gouverneur de la Nouvelle-France, M. de Frontenac [Buade*], qui voulait faire jouer Tartuffe à Québec et qui dut
, Buade* de Frontenac lui accordait une commission de lieutenant qui reçut la sanction royale le 1er mars 1693, année où il fut blessé à la cuisse, en combattant. Le 4 juin 1698, il obtint un
par Phips*, La Colombière prononça un sermon lors de la cérémonie d’action de grâces pour la victoire. Il ne craignit pas, devant Frontenac
Buade* de Frontenac, en 1682, que Kondiaronk se fit remarquer pour la première fois.
Pendant que l’orateur outaouais gémissait sur le sort des
Frontenac espérait rétablir la paix entre les Outaouais et les Sioux car l’état de guerre entre ces tribus nuisait au commerce des fourrures. Il leur proposa de tourner contre les Iroquois leurs énergies
(Shea).— Correspondance de Frontenac (1689–1699), RAPQ, 1927–28 : 178 ; 1928–29 : 380.— Découvertes et établissements des Français (Margry), IV : 478s., 487, 586–592
1684 faite au fort Frontenac. Le 7 août 1685, Juchereau engage Laurent Glory pour un voyage au pays des Outaouais ; en 1686, on le retrouve à Michillimakinac d’où il s’apprête à
Porte de Louvigny, commandant du fort Frontenac, avait trafiquées illégalement. Il s’acquitta de sa mission avec exactitude.
À
.
Le 2 novembre 1672, écrivant au ministre, Frontenac [Buade*] sollicitait pour François Jarret de Verchères des lettres de
mère.
Hertel de Rouville avait obtenu du gouverneur Buade* de Frontenac le 8 janvier
Buade* de Frontenac en 1673, dans une expédition au lac Ontario et participa à la construction du fort Frontenac (Kingston, Ont.). En 1678, il est envoyé par les autorités en mission à la baie
Ontario afin de remplacer le père Léonard Duchesne au fort Cataracoui (Frontenac). Toujours débordant d’activité, Hennepin construisit, avec son confrère Luc Buisset, une « maison de mission
l’estime des communautés religieuses ; il avait la confiance du gouverneur Buade* de Frontenac qui, sur son lit de mort, le nomma, avec Charles
[Brisay] le nomme commandant du fort Frontenac à la place de M. de La Forest [Dauphin
servit ensuite au fort Frontenac (Kingston) sous les ordres de son père qu’il remplaça. En 1690, il participa aux opérations autour de Québec avec un parti de Hurons de la mission de Lorette. Il se fit
les fonds nécessaires ; en outre, il est probable que son beau-frère, Lussigny, officier dans les gardes de Buade* de Frontenac, l’ait
passe au Canada, à titre de commissaire provincial, et réside à Québec. Confesseur du gouverneur Frontenac [Buade*], il l’assiste jusqu’à son
cours du siège du fort Frontenac, en 1689, le père Millet fut remis aux Onneiouts qui l’emmenèrent à leur bourgade principale. Comme ils en approchaient, Gouentagrandi vint à la rencontre du père, lui