DCB/DBC Mobile beta
+

Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              161 à 180 (de 654)
              1...7  8  9  10  11  ...33
              la Cour du banc de la reine du Manitoba. En 1884, avec quelques femmes issues de diverses congrégations presbytériennes de la ville, Margaret Vallance Taylor fonda la première section auxiliaire de la
              l’engagement évangélique de leurs parents en donnant généralement leur appui à l’éducation des femmes. William Muir travailla dans l’entreprise familiale. Par contraste, la mère de Henrietta Louise, Jane
              Marjoribanks] publié à Toronto, et y collabora régulièrement jusqu’en 1919 avec des textes sur les femmes et les enfants, le travail et la Cour des
               
              seigneurs de l’île d’Orléans, concédait à Chavigny et à sa femme une seigneurie (qui prit plus tard le nom de fief Beaulieu) à la pointe ouest de l’île
              , surtout dans ses nouvelles. Bon nombre d’entre elles sont des fables et des allégories ; d’autres décrivent la vie réelle et ont souvent pour thème l’éducation des femmes, clé de leur
              accompagnatrice, professeure et critique musicale de Calgary. Née dans la forteresse d’Agra, près du Tāj Mahal, cette femme séduisante, qui préférait se vêtir à la mode victorienne, était une véritable enfant de
               
              surintendante de l’établissement, Jessie Muir Sheraton, femme « très résolue, imposante et stricte en matière de discipline », pourrait avoir influencé ses habitudes de travail. On suppose
              . Même si la superstition populaire voulait que la présence de femmes à bord attire la malchance, il n’était pas rare que les capitaines emmènent leur épouse, et même leurs enfants, lorsqu’ils empruntaient
              les recherches de Mlle Scovil sur la diète appropriée pour les nourrissons. En 1904, le Gentlewoman de Londres ajouta le nom de Mlle Scovil à la liste des « femmes d’expression anglaise
               
              eurent six enfants. En 1831, Connolly, alors agent principal, abandonna la traite des fourrures et alla s’établir avec sa femme et ses enfants à Saint-Eustache, Bas-Canada. Quatre ou cinq mois plus tard
              . Tante Hessie, comme l’appelaient les enfants, était l’un des chefs de file du mouvement de réforme morale. De confession congrégationaliste, elle œuvra à l’Union chrétienne de tempérance des femmes (elle
              Mary Ann Wright ; il épousa Julia Elizabeth Gould, née Bramley, puis, en 1852, Caroline Cumberland ; décédé le 4 juin 1884 à Toronto, laissant dans le deuil sa femme et leurs deux
              –1921). En 1914, lui-même et sa femme célébrèrent leurs noces d’or dans son église, située rue Chestnut à Toronto. D’après le Toronto Canadian Observer, ils étaient entourés « de leurs
              ), institutrice, fermière et femme d’affaires, née le 25 septembre 1803 à Saint-Armand, Bas-Canada, fille d’Asahel Barber et de Polly Armes ; décédée le 23 février 1898 à Scottsmore, Québec
              . Il n’est guère de femme, dans toute l’histoire canadienne, qui ait plus mauvaise réputation que Marie-Josephte Corriveau, appelée communément La Corriveau. Cette malheureuse est morte voilà plus
              GABOURY, MARIE-ANNE (Lagimonière), première femme blanche à s’établir dans l’Ouest, grand-mère de Louis
               
              Smith en fut la première vice-présidente et exerça cette fonction jusqu’à sa mort. Dotée d’un esprit pénétrant, cette femme de décision présida des comités, organisa diverses manifestations et, au début
              . Qualifiée de « l’une des plus belles femmes de la scène » new-yorkaise, elle ne tarde pas à devenir l’une des favorites du public américain. Ses partenaires comptent parmi les comédiens les plus
              Françaises dans cette lutte, Marie-Louise écrit ainsi, en juin 1916 : « Un peuple magnifié par de telles femmes ne sera jamais vaincu. » Le 18 janvier 1919, dans une chronique quotidienne de la
              Inch*, le poste de directrice des études – la plus haute fonction administrative accessible à une femme. En 1873, elle démissionna pour des raisons de santé ; sa carrière n’allait reprendre
              161 à 180 (de 654)
              1...7  8  9  10  11  ...33