201 à 220 (de 656)
1...9  10  11  12  13  ...33
MOONEY, HELEN LETITIA (McClung), institutrice, réformatrice sociale, auteure, femme politique et fonctionnaire, née le 20 octobre 1873
milita également pour rendre les études supérieures accessibles aux femmes à titre de deuxième présidente de la Montreal Ladies’ Educational Association, de 1873 à 1875, où elle prit la relève de sa belle
« Home circle ». On y trouvait surtout des recettes, des trucs utiles pour la tenue d’un foyer et des conseils de jardinage, mais aussi des histoires inspirantes mettant en scène des femmes de
*, secrétaire d’État de Laurier, et que sa mère était la sœur de la femme de Scott. En même temps, elle était une déclassée. Son père étant mort jeune, en 1868, elle avait grandi dans l’ambiance qui peut entourer
secteur du vêtement, il était déjà marié. Flora l’appelait son mari. Il est possible que leur union ait été légalisée après la mort de la femme de Howard en 1904. Le rôle de cet homme dans la vie de Flora
Wood*, dont la première femme était aussi une petite-fille de James Gage, le ministre de la Milice et de la Défense, Frederick William
deviendrait le Tsuda College de Tokyo, école chrétienne privée pour filles fondée par Tsuda Umeko, célèbre pionnière de l’éducation des femmes. Dans son travail avec la YWCA, Mlle Macdonald bénéficia grandement
de la société d’Ottawa. Grande, belle, énergique, elle défendit, par des discours et des écrits convaincants, le droit de participation des femmes à la vie sociale. De plus, elle contribua à la
 
*, fut la première femme admise à l’école normale de la province. Elle enseigna six ans avant d’épouser Alexander Nevers Peters ; alors épicier détaillant, il avait dirigé un journal de Saint-Jean et
heures de danger ». Cependant, il était inhabituel qu’une femme traite pareille matière. Un critique notait que « l’histoire n’est pas le domaine de la femme en littérature » et que
traditions et de ce que la société attendait d’elles, les femmes évitaient généralement ces matières. Ainsi, il n’y en avait que 3 parmi les 24 étudiants qui firent leur deuxième année de mathématiques en même
. Né dans le comté de Glengarry, Kenneth Campbell s’établit dans le canton de Thorah dans les années 1820 ; sa femme venait d’Écosse. Fervents catholiques, les Campbell encourageaient les vocations : le
 
, dans la vallée du Fraser, en Colombie-Britannique. Pareille initiative n’était certes pas courante pour les femmes de son époque : la plupart de celles qui s’intéressaient aux missions restaient
-pensionnats et un hôpital. Mère Youville est une femme d’une activité débordante. Elle trouve des moyens secondaires pour soutenir l’œuvre de la communauté
 
Breynton*], à la lecture de Pamela et des comédies de Térence en français et à l’audition de l’Homère de Pope ». On disait que dame Cottnam possédait « toutes les qualités inhérentes à la femme
émigrant à Lee’s Creek (Cardston), dans le sud-ouest de l’Alberta. Daines faisait partie de ce groupe. Avec Sarah et leurs enfants (il avait laissé ses autres femmes et enfants dans l’Utah, espérant les
 
Boston, sous prétexte d’y faire du commerce, afin de savoir ce qui s’y préparait, La Tourasse donna à entendre que sa propre femme, née Catherine Bugaret, qui avait la confiance des Anglais, pourrait
 
Hendry suivit des leçons de deux femmes qui avaient étudié avec Mary Baker Eddy, la fondatrice de l’Église. À Chicago, Isabella Hendry Macmillan épousa
 
dans le monde des affaires à Québec. Marchand, constructeur de navires et important propriétaire foncier, Drapeau laisse une fortune appréciable à sa femme lorsqu’il meurt le 3 novembre 1810. Celle-ci
 
première femme, il convola en secondes noces, toujours à Port-Royal, avec Françoise Lavergne, du même endroit, fille de Pierre Lavergne, le domestique du père de
201 à 220 (de 656)
1...9  10  11  12  13  ...33