DCB/DBC Mobile beta
+

Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              121 à 140 (de 181)
              1...5  6  7  8  9  ...10
               
              .— Bégon, Correspondance (Bonnault), ANQ Rapport, 1934–1935.— Extrait d’un journal tenue à l’armée que commandait feu M. le marquis de Montcalm, lieutenant général, Literary and Hist. Soc. of
              . Les mandats de Drouin sont marqués notamment par l’annexion de Limoilou en 1909, l’intégration de Ville-Montcalm en 1913, et de quelques portions du territoire de La Petite-Rivière (pour l’usine de
              ) qui épousèrent des Canadiennes. Montcalm*, qui en général désapprouvait ces alliances, parce que les officiers en prenant des épouses
               
              régulières françaises et à Montcalm, après l’arrivée de celui-ci en mai 1756 ; c’est donc à la lumière de cette amitié que doivent être analysées ses lettres subséquentes, très pessimistes quant à
               ; RG 31, A 1, 1871, Quebec City, Montcalm Ward : 82.— AVQ, Procès-verbaux du conseil, 1872–1877.— Canada Gazette, 23 août 1856.— Canada, prov. du, Statutes, août–oct
              . Montcalm*, qui n’aimait pas Boishébert, écrivait à Lévis : « il a
               
              Le Mercier, en vue de l’attaque de Montcalm*. Après la mort de Lombard le 11 août, Desandrouins, seul ingénieur
               
               : 230, et Francis Parkman, Montcalm and Wolfe (2 vol., Londres, [1908]), II : 130, ont confondu Théodose-Matthieu Denys de Vitré avec son fils John. Cette erreur, née d’une mauvaise lecture
               
              Casgrain. Ce dernier confia de nombreux et importants travaux d’impression à Demers, dont les deux tomes de son Montcalm et Lévis. Leur correspondance révèle que chacun veillait de près à
               
              avec Montcalm en août. Par la suite on le retrouve
               
              , Jacques Deguise se charge, dans un premier temps, de plusieurs résidences à Québec dont celle désignée aujourd’hui sous le nom de maison Montcalm, rue des Remparts, construite selon les plans de Gaspard
               
              Montcalm, dont elle avait célébré la victoire remportée à Carillon (Ticonderoga, N.Y.). Elle fut inhumée à l’Hôpital Général de Québec où elle s’était réfugiée avec les ursulines depuis la mi
               
              expédition canadienne à la Louisiane en 1739–1740, RAPQ, 1922–1923, 189.— Gipson, British empire before the American revolution, VI.— Parkman, Montcalm and
              (Bibliothèque canadienne, « Collection Montcalm », Montréal, 1912).— Michel Dassonville, Crémazie (« Classiques canadiens », no 6, Montréal et Paris, 1956).— Gilles
               
              , 299–347.— Eccles, Canadian frontier.— Gipson, British empire before the American revolution, VI.— Lanctot, History of Canada, III.— Parkman, Montcalm and
               
              . W. J. Eccles ASQ, Polygraphie, VII : 26.— Papiers Contrecœur (Grenier).— Parkman, Montcalm and
               : 193, 211, 213, 219–222.— Parkman, Montcalm and Wolfe (1884), I : 106.— Richard, Acadie (D’Arles), II : 85–121, 151–169.— R. O. MacFarlane, British Indian policy in
               
               septembre, Collet, Resche et Cugnet assistèrent aux obsèques de Louis-Joseph de Montcalm*, célébrées dans la chapelle des ursulines. À
               
              Louis-Joseph de Montcalm*, était située rue Saint-Louis, et Coffin y demeurait déjà depuis « environ trois années ». Il
              [Thomas Chapais], « le Monument Wolfe et Montcalm à Québec », BRH, 5 (1899) : 305–309.— Norwich Mercury, 22, 29 août 1860.— Notes and Queries (Londres
              121 à 140 (de 181)
              1...5  6  7  8  9  ...10