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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              voudrait que les religieuses aient été des femmes autonomes et « les premières féministes » de l’histoire canadienne et québécoise. Comme elles avaient renoncé par vœu à l’autonomie individuelle
               
              d’acceptation d’une élève.) Des diplômées l’ont décrite comme une femme bien bâtie, avec un visage agréable ; maternelle, elle savait se montrer ferme au besoin. Sous sa supervision, malgré beaucoup de
               
              d’inusité ; des choses de ce genre étaient communes dans les communautés de femmes, ici au Canada comme en France. Toutefois, on ne peut nier que, vers
              problèmes sans fin ». En 1893, après les avoir condamnées pour vagabondage (le délit le plus commun des femmes dans cette période), le magistrat de police de Hamilton conclut qu’un séjour en maison de
               
              300# en 1734. La vente de la morue en association avec le beau-père de sa femme, Claude-Joseph Le Roy* Desmarest, et
              conversions) en 1901, en envoyant à Pakan le missionnaire et médecin Charles H. Lawford. La tâche de Mlles Munro et Edmunds consistait à fonder une mission pour les femmes et les enfants
              femme, institutrice assistante. McDermid connaissait à la fois le langage des signes, qui était la méthode la plus employée dans l’est du Canada, et la
               avril 1842. Femme de tête, mais aussi femme de cœur, elle n’avait jamais oublié les membres de sa famille, et ses nombreuses lettres montrent quelle part elle avait prise à leurs chagrins, à leurs
               
              tailler une place enviable dans le monde des affaires à Québec. Marchand, constructeur de navires et important propriétaire foncier, Drapeau laisse une fortune appréciable à sa femme lorsqu’il meurt le 3
              -Hugues Péan, aide-major à Québec. Toutes les qualités de l’époux « consistaient dans les charmes de sa femme », écrira narquoisement l’auteur anonyme du « Mémoire du Canada ». Cependant
              d’être passée à la postérité. S’il y eut une femme dans la vie de René-Robert Cavelier* de La Salle, on suppose que ce fut
              nouvelle du naufrage de la Seine, qui transportait le ravitaillement de toute une année, l’audacieuse femme établit dans sa maison « une manufacture de toile, droguet, serge croisée et couverte
              durant trois ans. Après avoir dirigé un petit hôpital pour femmes à Boston pendant une courte période, Flora Madeline Shaw revint à Montréal en 1900 pour
              collège catholique pour femmes à Toronto. Cette année-là, elle et sœur Austin amorcèrent, à la University of Toronto, des études menant à des diplômes qui leur permettraient de donner de l’enseignement
              Sisters of Charity of Saint Vincent de Paul de New York, qui lui répondirent que, s’il pouvait inciter des jeunes femmes de Saint-Jean à entrer dans leur congrégation, elles l’aideraient à fonder une
              Keatchie (décédée en 1920), sœur de sa première femme ; aucun enfant ne naquit de ses deuxième et troisième mariages ; décédé le 18 avril 1921 à Vancouver
              . Des sources affirment que Mme Redmond étudia les soins infirmiers et l’obstétrique à l’université Laval à Montréal ; toutefois, aucune femme ne fut admise dans cet établissement au
              . Moins de quatre mois après son arrivée, Ann Knight avait ouvert une école, l’enseignement étant une des rares occupations rémunérées accessibles aux femmes instruites au début du
              qui, avec une autre esclave, Aminta, probablement sa femme, avait échappé en avril 1773 à un propriétaire de plantation de Virginie du nom de William Bradley. Le couple avait peut-être atteint l’État
              . L’école ménagère de Montréal voit le jour de la façon suivante. En 1902, quelques femmes de la bourgeoisie francophone de la métropole fondent la section féminine de l’Association Saint-Jean-Baptiste de
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