Macdonald*, déposa un amendement – signe annonciateur de la Politique nationale – qui visait à concilier les intérêts des manufacturiers et des agriculteurs, et dans lequel il réclamait un
pressa Whiteway de résister à l’influence de Morine. Tupper dit à sir John Alexander Macdonald* que, en changeant d’avis, Whiteway
Macdonald*, ils appuyèrent sa candidature au poste vacant de ministre de l’Intérieur et au siège qui était réservé, au cabinet, à un député de l’est de l’Ontario. Toutefois, le premier ministre choisit
Macdonald* commença à soupçonner Walsh de manquer d’enthousiasme pour persuader les Sioux de retourner chez eux, puis de travailler activement à empêcher leur départ. Walsh fut muté au fort Qu’Appelle
Crease, il était « le petit intrigant ». Sir John Alexander Macdonald*, un de ses alliés pourtant, dit une
Macdonald* projeta de fonder la Compagnie du chemin de fer du Pacifique du Canada, il s’enthousiasma et aida à amasser en Colombie-Britannique une partie du capital d’établissement. Cependant, le projet
Macdonald* et réclame la destitution du lieutenant-gouverneur qui a outrepassé ses pouvoirs. Les conservateurs remportent une victoire éclatante
Macdonald* refusa de procéder à l’annulation. Costigan et Anglin se préparèrent alors à présenter une motion de censure. De son côté, le 18 mai, sur l’invitation de l’évêque de Montréal, Ignace
. »
L’année suivante, à titre d’ami et de conseiller juridique du premier ministre du pays, sir John Alexander Macdonald*, Strong accepta de
Macdonald*, qu’il fallait avoir une milice petite mais efficace, plus petite même que celle dont le dominion disposait alors. Vous savez, écrivit-il à Macdonald en 1890, que « l’on dit ouvertement
canaux à laquelle le premier ministre du pays, sir John Alexander Macdonald*, le nomma en novembre 1870. Pendant la session
que protégé de Tupper, il ne tarda pas à devenir un intime de sir John Alexander Macdonald* et à exercer de l’influence sur lui. En
fin de l’année, le gouvernement de John Sandfield Macdonald* annonça que les universités ne recevraient plus de subventions
gouvernementale dans l’économie pouvait parfois se justifier (il soutenait à contrecœur les arguments de sir John Alexander Macdonald* en faveur
en juin 1886 jusqu’à prévenir le premier ministre du pays, sir John Alexander Macdonald*, que les travailleurs torontois s’en
.
En novembre, après que le gouvernement de sir John Alexander Macdonald* eut démissionné à cause du scandale du Pacifique, les
Macdonald*, une note dans laquelle il laissait entendre que celui-ci pourrait souhaiter appuyer sa candidature au poste de gouverneur de Terre-Neuve. Après tout, écrivait-il, depuis 30 ans, il n’avait
maître était plus étonnante encore : il s’agissait de John Sandfield Macdonald*, premier ministre et procureur général de la
activité politique à London et à Hamilton en avait fait un homme respecté ; sa nouvelle amitié avec sir John Alexander Macdonald
Dewdney* au premier ministre du pays, sir John Alexander Macdonald*. Il « a beaucoup de cran et de bon sens ». En 1885