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l’entreprise mena à sa constitution juridique le 23 octobre 1886 sous le nom de Polson Iron Works Company of Toronto Limited, avec William comme président et Franklin Bates comme secrétaire-trésorier
à 1892, il dirigea un périodique consacré à la santé publique qui parut sous divers noms. Il rédigea des brochures sur la tuberculose, le choléra asiatique et les taux de mortalité élevés des villes
dernier lui abandonna la direction de son bureau en janvier 1880, tout en prenant soin de l’associer avec le dessinateur en chef Albert Mesnard, de 12 ans son aîné. La nouvelle société, connue sous le nom
différents noms et adopte de nombreuses formules au cours des années, ce qui est fréquent pour ce type de publications, en raison du manque d’argent, de collaborateurs et de lecteurs. Perrault conserve son
 
fils de Weld, Henry, jusqu’à la mort de celui-ci. De 1885 à 1901, elle porta le nom de John S. Pearce and Company. Au cours de cette période, où les fermiers s’intéressaient de plus en plus à la
Baillairgé, de 1863 à 1866, sous la raison sociale de Baillairgé et Peachy ; par la suite, il exploite un bureau sous son nom jusqu’en 1895, année où il s’associe à l’un de ses élèves, Joseph-Pierre
sioux, à laquelle les Cris prêtaient un pouvoir particulier, il reçut le nom de Payipwat, que l’on traduit parfois par « celui qui connaît les secrets des Sioux ». En 1860, il était un chef
 
. Ses quatre fils continuèrent à exploiter son studio, connu désormais sous le nom de S. H. Parsons and Sons, jusqu’en 1933
. Esther Pariseau fait profession le 21 juillet 1845 sous le nom de sœur Joseph du Sacré-Cœur. Au cours des premières années de sa vie religieuse, elle travaille à l’atelier de fabrication de
qu’il signe, en leur nom, le traité n° 6. Lucky Man et sa bande n’avaient signé ce traité que pour obtenir de la nourriture. Ils ne renièrent pas
un libéralisme modéré et, comme son nom et sa devise l’indiquent, Les intérêts du pays avant ceux des partis, il veut regrouper les modérés de toutes tendances autour d’un gouvernement honnête
 
trouver un emploi outremer, il fit appel à un député irlandais, lord Claud Hamilton, qui s’enquit en son nom auprès du ministère des Colonies. Hamilton lui conseilla fortement de se rendre en Colombie
 
OZÎJA THIHA (qui signifie « patte d’ours » ; connu sous le nom de Jacob Bearspaw ; Mas-gwa-ah-sid
projets de loi et assure le bon fonctionnement de nombreux comités spéciaux. Durant la première législature, il attache son nom à deux réformes importantes. L’une préparée par un comité spécial dont il a
McCarthy*, qui allait porter par la suite le nom de McCarthy, Osler, Hoskin, and Creelman. Élevé au conseil de la Law Society of Upper Canada au cours de la session de Pâques 1880, il participa en 1885 à
Amérindien, il utilisa toute sa vie le nom d’Oronhyatekha (seuls ses biographes l’ont appelé Peter Martin) et écrivit deux articles sur la langue mohawk. Cependant, on n’est pas sûr qu’il ait entretenu des
inscrivant des personnes d’autres réserves. À cause de lui, plus de mille noms furent radiés des listes. Au cours de la rébellion de 1885 [V. Louis
qualité d’intermédiaire entre le gouvernement et les colons ukrainiens. Ottawa refusa mais, plus tard la même année, il nomma un interprète à Winnipeg, du nom de Cyril
canal de Lachine, connue sous le nom de moulin Glenora, qu’il dote d’une machine à vapeur et d’un mécanisme pour perler l’orge. En 1855, Goudie – et, semble-t-il, Alexander père – se retire de
Opera House (connu en son temps sous le nom de Mrs Morrison’s Grand Opera House), bâtiment de quatre étages merveilleusement équipé, ouvrit ses portes. Sous son administration, des acteurs réputés, tels
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