TATANKA-NAJIN (connu sous le nom de Standing Buffalo), chef héréditaire des Dakotas Sissetons-Santees, né à Otter
restera attachée à son nom : « Le dernier coup de canon tiré pour le maintien de la puissance anglaise en Amérique le sera par un bras canadien. » Détachés de l’ensemble, les extraits les
mort de son père, en 1833, la compagnie fut désignée sous le nom de G. B. Symes and Company. Dans les années 1840, il était associé avec David Douglas Young, président de la Banque de Québec. (Après la
. Lorsque Stuart fut affecté à Kingston il devint également le représentant officiel de l’évêque au Haut-Canada qui l’autorisa à agir en son nom et, lorsque nécessaire, comme son représentant juridique. En
trouver « aucune âme sœur » au pays. Profitant d’une visite de son frère James, il fit paraître l’ouvrage sous le nom de celui-ci ; intitulé A visit to the province of Upper Canada in
immédiatement envoyé en Angleterre avec des fonds, pour faire face aux obligations prises au nom de la banque et pour lui redonner son crédit outre-Atlantique. Il prit à la même époque des dispositions pour que
, du 3 juin 1826 au 24 mai 1828, puis indépendamment sous le nom de Loyalist durant une année.
Comme
25 septembre de la même année, il acheta un lot de l’arpenteur John Burrows Honey (connu plus tard sous le nom de John Burrows). Sparks reçut, pour la somme de £95, 200 acres de terrain ainsi que
1852 et il finit ses jours à Elora. Il y fut pendant un temps ministre de l’église St John, puis il acquit une ferme inculte dans le canton de Minto, qu’il appela Lea Hurst, en s’inspirant du nom de
tonnes par année.
Smith s’était aussi lancé avec énergie dans la vie politique de la colonie. Au nom de la General Mining Association, il fit du
amené à vouloir percevoir les sommes que lui devaient d’autres méthodistes, il eut à faire face à l’hostilité et aux critiques des fidèles de son Église. Son nom apparaissait sur la liste des membres de
dont procéda Smith : il « fit l’acquisition d’une grande quantité de biens fonciers aussi bien à titre de fiduciaire qu’en son nom propre0 [...] Par exemple, il obtint des concessions de
Dosquet* sous le nom de Samos (Dosquet était évêque de Samos, in partibus), la propriété avait été rebaptisée Woodfield par Adam Mabane
« magasin général » et un entrepôt servant à la manutention des céréales. En 1827, un bureau de poste fut établi à Shade’s Mills et le village prit le nom de Galt. Shade devint maître de poste, fonction
courage à donner des noms pour rectifier une situation. Plus tard dans la même année, lors d’un violent échange de lettres, rendues publiques, avec un débiteur qui l’avait attaqué et qu’il avait fait mettre
Canada, et à John Roaf de Toronto, un autre membre du premier conseil d’administration, de régler, au nom du comité, la
lorsque sa mère déclina, en son nom, l’invitation de lord Aylmer [Whitworth-Aylmer*] à joindre les rangs de l’armée. Cinq ans plus tard
gouvernement dont il approuve l’intervention rigoureuse au nom de sa théologie royaliste. Aussi est-ce un indice de l’affolement des esprits qu’on ait pu penser un instant, en novembre 1838, dans l’entourage de
*, sieur de Grosbois, Clément-Charles Sabrevois de Bleury fut le dernier Sabrevois à porter le nom de Bleury. Il passa son enfance à William Henry où son père occupa en 1800 et 1801 le poste de
, au cimetière Mount Hermon, à Québec.
Nous avons établi les noms de ses parents conformément à la bible familiale conservée au Dunham