à la politique réformiste pendant de nombreuses années et, à partir de 1844, il imprima le journal de Francis Hincks*, The Pilot
Hincks*, il alla se fixer à Ingersoll en 1853.
Chadwick allait y mener une carrière florissante. Maître de poste de 1853 à 1861, directeur de la
Francis Hincks* et d’Augustin-Norbert Morin*, Hartman passa dans l’opposition
, Lord Metcalfe (éd. rév., 2 vol., Londres, 1858).— S. [B.] Leacock, Baldwin, LaFontaine, Hincks : responsible government (Toronto, 1907).— J. D. Leighton, « The
Canada en 1853 et devint pour un certain temps rédacteur du Pilot de Montréal, journal réformiste qui appuyait Francis Hincks *. En mars
Hincks* mena une enquête sur les hôpitaux psychiatriques canadiens. Il accorda 14 « points d’excellence » à l’établissement de Weyburn, principalement en raison de son apparence, mais il
fréquenta la Royal Belfast Academical Institution à la même époque que Francis Hincks, avant d’immigrer avec sa
unitarien, comme plusieurs autres célébrités de Montréal à cette époque, dont sir Francis Hincks, Benjamin Holmes, Thomas Workman et John Young. Ne fumant pas et ne buvant pas, il était considéré comme
. Dr. Hincks, Killileagh (Belfast, 1831) ; Remarks on the colony of Liberia and the American Colonization Society, with some account of the settlement of coloured people at Wilberforce
d’orangistes en colère manifesta à Toronto. Sur les bannières, portées par la foule, le nom de Sullivan côtoyait ceux des « traîtres Baldwin et Hincks [Francis
Hincks*, Walker était un avocat talentueux qui s’exprimait avec facilité, avait de bons rapports avec les gens d’affaires de Montréal et semblait destiné à un brillant avenir dans le monde politique du
au cabinet en 1869. Sir Francis Hincks* était retourné sur la scène politique fédérale à titre de ministre des Finances et, en apparence
, de construire le chemin de fer. Une délégation du Canada-Uni, ayant à sa tête Francis Hincks*, rencontra Chandler à Fredericton au début de
1914. Clarke, Clarence Meredith Hincks* et d’autres psychiatres y posaient des
Hincks et de Morin n’a pas à son programme l’abolition de la tenure seigneuriale et la sécularisation des « réserves » du clergé
Hincks* et de Morin, en qualité de commissaire des Travaux publics, poste auquel il accéda le 28 octobre 1851. Sa nomination, qu’il devait probablement à La Fontaine et à lord Elgin
.
L’inspecteur général du Canada, Francis Hincks*, se souciait beaucoup du développement du territoire, et les chemins de fer étaient sa marotte. Selon
, Baldwin et Francis Hincks* désiraient atteindre les mêmes fins et mirent leur confiance en lui, de sorte que la mise en place d’un
. Plutôt qu’une rupture soudaine, il y eut de sa part glissement progressif vers les libéraux à compter de la nomination de sir Francis Hincks* aux
, il prêta la voix du North American au ministère de Francis Hincks* et d’Augustin-Norbert