travail novateur qu’elle avait accompli en fondant des programmes pour réduire la mortalité infantile à Winnipeg, on donna le nom de Margaret Scott à une nouvelle école qui ouvrit ses portes en septembre
-Augustin [Simon*] écrit, au nom de sa communauté : « Nous ne nous pressons pas pour achever le reste de nos bâtimens
Montréal.
Le nom de Joseph Bouchette ne figure pas sur la liste des élèves qui ont fréquenté le petit séminaire de Québec. Plusieurs historiens en ont
.
À son baptême, Robert-Shore-Milnes Bouchette reçoit comme prénoms le nom du lieutenant-gouverneur d’alors, sir Robert Shore Milnes*, son
sous le nom de mission New York-Canada en 1846. Il y demeure jusqu’à la fin de son mandat en 1855, sauf en 1849 alors qu’il séjourne au collège Sainte-Marie à Montréal où il règle les problèmes relatifs
le nom de Bolduc. Quant aux parents, ils moururent en France, apparemment sans revoir leurs enfants.
Qui oserait porter un jugement définitif sur
nommé curé de la nouvelle paroisse de Beauport, qu’il dirige jusqu’en 1719. Dès 1692, il fait partie du séminaire de Québec, puisque son nom apparaît sur la liste des agrégés. Nommé chanoine du chapitre
désormais toute à la charité et à la piété.
L’œuvre principale qui s’attache à son nom, comme à celui du père
de suivre les intérêts de son mari : en son nom, elle poursuivit Guillaume de Caën (1627), et le somma
trouvait alors à Winnipeg. Nommé officier, il retourna tout de suite dans la région de Russell pour former deux troupes d’éclaireurs qui, connues sous le nom de Boulton’s Scouts, jouèrent un rôle majeur à la
* dressa la liste des membres du family compact en 1833, le premier nom qu’il inscrivit fut celui de D’Arcy Boulton. Figuraient ensuite quatre des fils de Boulton, tous fonctionnaires comme leur
et en modifièrent légèrement le nom. Les motifs de ce déménagement sont obscurs, quoique les procès-verbaux de la direction torontoise aient fait allusion par la suite aux
, les pires politiciens peut-être dont un pays ou une nation puisse être affligé » et mit en tête de sa « liste noire » du Colonial Advocate le nom de Boulton
appartenait ainsi à la troisième génération du groupe connu sous le nom de « Family Compact ». Il fut reçu avocat à l’âge de 23 ans et commença d’exercer le droit dans le cabinet Gamble and Boulton
dans une formule : il dépasse toujours par un côté ou par un autre. » Qu’a donc laissé Henri Bourassa à la postérité ? Sans doute le souvenir, chez les Canadiens, d’un nom prestigieux que
entiers, du nom des destinataires et de celui de nombreuses personnes. Encore mal connu, Bourassa épistolier mérite une étude attentive fondée sur une édition critique de toutes ses lettres
leurs fils, Louis*, dut, au nom des héritiers, multiplier les mémoires pour se faire reconnaître la propriété des terres laissées par le
huissier du même nom, célibataire âgé de 37 ans, apparaît au recensement de Québec de 1666 ; cet huissier instrumenta au Conseil souverain dans les années 1663–1668. Il n’a pas été possible d’établir
-Recouvrance de Québec. Elle mourut le 11 septembre 1654, après lui avoir donné huit enfants. Ses quatre filles se firent religieuses. Geneviève, sous le nom de mère Marie-de-Saint-Joseph, fut la première
1658 sous le nom de Saint-Jean-Baptiste.
À l’Hôtel-Dieu, Marguerite joue un rôle de plus en plus important. Son zèle pour le service des pauvres la fait