deux marchands de Bristol dont le nom est associé aux premiers voyages en Amérique.
Pendant plus de 40 ans à partir de 1479, Thorne, père, entretint
promontoire qu’on baptisa du nom de Kjalarnes (Keelness, peut-être le cap Whittle) parce qu’on y découvrit la quille d’un vaisseau. L’expédition relevait la terre par tribord ; elle longea les longs
noms de lieux de Tadoussac, Anticosti, Miramichi, et à donner des détails importants au sujet de la guerre entre les Premières Nations de la vallée du Saint-Laurent, dont les écrits de
Mance (ses parents spirituels) lui donnèrent le nom de Paul. M. de Puiseaux et Mme de
Antoine Daniel qui intercéda pour eux, car leur chef récemment décédé n’avait pas encore été « caché », c’est-à-dire que personne n’avait encore assumé son nom et ses responsabilités
Sagard, un « Le Borgne de l’île », chef algonquin, se trouvait à Trois-Rivières en 1617. Il s’agissait peut-être de Tessouat, ou Besouat, ou de l’un de ses successeurs, car le nom
Pierre Legardeur de Repentigny], l’appelèrent Joseph. Andehoua reçut le baptême en même temps que Teouatiron, et on lui donna le nom de Jean-Armand. Les deux garçons étaient unis par de solides
septembre 1657, un accord intervenait entre Temple et Crowne relativement au partage de leurs biens. La part de Temple s’étendait du lieu connu maintenant sous le nom de Lunenburg en Nouvelle-Écosse
Prouville de Tracy, à la tête d’une expédition punitive, descendit de Québec et brûla les agglomérations du canton agnier avec toutes leurs provisions. Sous le nom de Gandaouagué, on reconstruisit
gouverneur une lettre du père Millet*, jésuite, comme gage de sa sincérité. Il lui offrit des colliers de porcelaine au nom des plus importantes
. Tessouat, mort en 1636], qu’on n’avait pas encore ressuscité ou « caché » par une cérémonie au cours de laquelle son nom et ses pouvoirs seraient transmis à un autre
Daumont de Saint-Lusson, qu’il chargea de prendre possession, au nom du roi de France, de tout le centre américain. En outre, Saint-Lusson devait avancer le plus loin possible, tant qu’il aurait
STOURTON, ERASMUS, probablement le deuxième pasteur anglican (le premier dont le nom est connu) à venir à Terre-Neuve
et, à sa demande, le nom de Tous-les-Saints. Quelques heures avant sa mort, le 3 novembre 1657, elle prononçait ses derniers vœux, devenant la première Indienne à entrer en religion. Elle fut inhumée à
.
On a dit qu’il était chef « etchemin », mais les Indiens de la rivière Saint-Jean portent de nos jours le nom de « Malécites ». Il était alors installé dans un village appelé
.
Son nom de baptême s’écrit parfois John ou Johannes ; son nom de famille s’épelle Scolnus, Scoluus, Scolus, Szkolny, Kolno, Skolvsson. On en connaît d’autres variantes. Sa nationalité est
d’abord sous le nom de Marie de Saint-Bernard, née au château de Saint-Germain, en Anjou, le 7 septembre 1616, et décédée à Québec le 4 avril 1652
un jeune Huron, du nom de Savignon, en échange d’un jeune Français [peut-être Étienne Brûlé], qu’il avait
-Louis (au-dessus de Lachine) auxquelles on donna le nom de Gentilly. On y appela M. de Fénelon, qui avait déjà l’expérience de la vie chez les Premières Nations. Il se fit concéder ces îles en bonne
Tour du fort Pentagouet. Il rentra alors en France, où il vendit une partie de ses terres champenoises ; en outre, il présenta une requête au nom de son fils Charles, gouverneur suppléant de