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l’entreprise était « prudente, économique et sûre ». Lorsqu’en 1865 Alexander Mortimer Smith quitta les affaires, John Smith se porta acquéreur de la compagnie et lui donna son nom. Il conclut de
 
que le poste français du fort Bourbon (le second à porter ce nom) était inoccupé. S’étant parfaitement adaptés à la façon de voyager et au mode de vie des Indiens, ils se laissèrent descendre vers le
 
de Rapide-Blanc en Mauricie, et celle de L’Isle-Maligne au Saguenay. Smith serait également à l’origine du premier projet d’aménagement intégré d’un bassin versant – connu sous les noms de barrage et
 
*] s’élevait en 1818 à près de £16 000. Smith s’intéressait aussi au secteur bancaire : son nom figure dans les listes de Kingstoniens qui demandèrent à l’Assemblée, d’abord en 1817 puis deux ans après
 
amené à vouloir percevoir les sommes que lui devaient d’autres méthodistes, il eut à faire face à l’hostilité et aux critiques des fidèles de son Église. Son nom apparaissait sur la liste des membres de
 
tonnes par année. Smith s’était aussi lancé avec énergie dans la vie politique de la colonie. Au nom de la General Mining Association, il fit du
plus au sud, Smith représenta des intérêts canadiens dans la liquidation d’une entreprise de caoutchouc en faillite au Brésil. En 1914, agissant au nom de la National Trust Company Limited et représenté
organisme de ce nom à Halifax, il en devint le secrétaire ; il allait occuper ce poste jusqu’à sa mort. Smith écrivit nombre de textes et prononça
dernier était profondément divisé, chaque parti affichant le nom d’un des deux groupes nationaux. Le French party, majoritaire, vit en Smith une
 
d’occasion destiné à l’entretien des phares et des bouées, qu’il fit radouber en Grande-Bretagne conformément à ses instructions. Pendant son séjour là-bas, il alla défendre à Londres, au nom du gouvernement
 
parurent avant 1849 ; il y eut une autre édition cette année-là avec une nouvelle page de titre enrichie de noms de libraires londoniens. À la fin des
 
bataillon des Volunteer Militia Rifles. On permit plus tard au bataillon de se faire connaître officiellement sous le nom de Victoria Rifles, qu’il avait utilisé depuis le début. En décembre 1864, après le
suivante, la Montreal League for the Prevention of Tuberculosis, connue officieusement en français sous les noms de Ligue anti-tuberculeuse ou Ligue anti-tuberculose de Montréal, s’affilia au Royal Edward
 
1852 et il finit ses jours à Elora. Il y fut pendant un temps ministre de l’église St John, puis il acquit une ferme inculte dans le canton de Minto, qu’il appela Lea Hurst, en s’inspirant du nom de
initiative en achetant au nom du gouvernement colonial un sloop de 70 tonneaux, le Brunswicker, qu’il arma pour la protection du commerce côtier. Mais Bathurst lui ordonna de recourir plutôt à la
 
SMYTH, JOHN (connu également sous le nom de sir John Smith), fermier, agent foncier et poète, né vers 1792
 
. M. D. et utilisait le nom de plume de Briton, écrivit de la prose et des vers. Sa prose est plus variée et intéressante ; on y retrouve des contes exotiques de nature didactique, des textes
plus lentement mais faisaient un travail plus efficace. Le produit, appelé par Snider farine Walzen – du nom du procédé, Walzenstuhle –, était d’une qualité bien supérieure à la farine moulue
au 552 de l’avenue Henry (rue Henry), à l’extrémité nord de Winnipeg, mais le seul nom correspondant à cette adresse dans l’annuaire de la ville de 1919 est celui d’une dame Sodosky. Le
Hockey Club (aussi connu sous le nom de Blueshirts), première équipe de la ville à obtenir le trophée, en 1914. Trois ans plus tard, Solman en obtint la franchise, et l’équipe gagna la coupe en 1918 sous
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