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(qui prit, dans le courant de l’année, le nom de Canadian Manufacturers’ Association) et l’exerça jusqu’en 1891. Au cours de cette période, le
d’adresser en leur nom à Antoine-Louis Rouillé, ministre de la Marine, une supplique en leur faveur. En même temps, il mettait au courant de toute l’affaire le supérieur général de Saint-Sulpice, Jean
incitèrent des Anglais de Montréal, pasteurs et laïcs de différentes dénominations religieuses, à s’unir pour fonder une nouvelle société d’évangélisation sous le nom de Société missionnaire canadienne
canal de Lachine, connue sous le nom de moulin Glenora, qu’il dote d’une machine à vapeur et d’un mécanisme pour perler l’orge. En 1855, Goudie – et, semble-t-il, Alexander père – se retire de
, MG 30, D1, 23 : 508–511 ; RG 4, B8, 26 : 9690–9694.— BVM-G, Fonds Ægidius Fauteux, notes compilées par Ægidius Fauteux sur les patriotes de 1837–1838 dont les noms commencent par la
bonne partie des affaires de celui-ci avec un associé du nom de William Welsh, sous la raison sociale de Welsh and Owen. En 1861, le mariage d’Owen avec Lois Welsh, la jeune sœur de William Welsh, scella
 
protestante, et son nom figurait de plus en plus souvent parmi les membres de comités formés à des fins d’intérêt public, comme la prévention du choléra. Cependant O’Brien occupait également une position
aux catholiques de St John’s de construire une chapelle. En leur nom, quelques marchands qui avaient des relations à Waterford demandèrent, à la fin de cette année, à William Egan, évêque de cette
 
projet de former le diocèse de St Mary (qui s’appela plus tard Algoma) en 1849, on mentionna son nom comme futur évêque. Dans une lettre adressée à Ernest
 
Grammar School, dans le Suffolk. Ayant exprimé à l’âge de huit ans son désir de devenir missionnaire, il distribuait des opuscules religieux aux pêcheurs de Sheringham pendant ses vacances d’été, au nom de
 
-Croix correspondait à celle qui portait ce nom dans les documents antérieurs. En 1815, Robert Pagan comptait déjà parmi les 12 hommes les plus riches de
Montréal. Le 18 octobre 1796, il acheta une vaste propriété située dans le faubourg Québec, à Montréal, le long d’une rue qui porte aujourd’hui son nom. Il s’y établit avec sa famille et ne s’en départit
, l’usine de Paquet, qui entre-temps change de nom et de vocation. En effet, à la fin de la guerre, Paquet réorganise la compagnie afin d’adapter sa
rédacteur en chef dès sa fondation, son nom ne figura dans le cartouche de titre qu’à partir de 1882. Cette année-là, le journaliste et homme d’affaires James Murray prétendit qu’Albert L. Blackman
 
d’éclairage électrique de la ville et l’exploitait, depuis 1892, sous le nom de Hamilton Electric Light and Power Company Limited. Pour réaliser leur projet, Patterson et Gibson s’associèrent à trois autres
Baillairgé, de 1863 à 1866, sous la raison sociale de Baillairgé et Peachy ; par la suite, il exploite un bureau sous son nom jusqu’en 1895, année où il s’associe à l’un de ses élèves, Joseph-Pierre
Taschereau*, futur premier ministre libéral de la province de Québec. Il attache également son nom à des organismes et à des causes qui contribuent à le faire connaître : en 1903, il devient le
 
enquête comprît les griefs que Peters avait formulés au nom de tous les Noirs ; néanmoins les commissaires choisirent d’interpréter leur mandat de façon à étudier uniquement la situation de Peters, qui
 
, année où elle prit le nom de Barristers’ Society. Mais les apparences donnent à penser que Peters ne fut pas un membre particulièrement remarquable du barreau. Peu d’étudiants en droit séjournèrent dans
, accusation sans aucun fondement. Le 27 mars 1818, lord Sidmouth, agissant au nom du prince régent, commua la sentence en une année d’emprisonnement. Le 13 mai, Bathurst avisa Smith de la décision royale
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