, constituèrent cette dynastie, dont Pierre-Noël Levasseur, petit-fils de Pierre, fut un des principaux représentants. Par ailleurs, la lignée de Jean Levasseur compte des noms aussi célèbres que Noël
ne mentionnent son nom que pour 25 des quelque 40 années où il se livra à cette activité. Quoiqu’on ne puisse l’affirmer, ces lacunes sont probablement attribuables à la perte de documents notariaux ou
époque, Alexis adopte le nom de « Monière » (peut-être inventé à partir d’un anagramme de Lemoine), suivant ainsi la coutume des voyageurs, elle-même calquée sur une particularité de la société
LEGARDEUR DE TILLY, JEAN-BAPTISTE (également connu sous le nom de Legardeur de Moncarville et de Tilly), officier de
au nom du roi la région limitée par les lacs Érié et Huron. De plus, il aida les commandants des postes de l’Ouest à rallier les Indiens pour la campagne de
de lui seul au nom de « Havy et Lefebvre » se trouve aux APC, MG 24, L3 (Lefebvre à Dargenteuil, Québec, 13 oct. 1760). Le décès de Lefebvre est mentionné aux AN, 62 AQ, 36 (François Havy à
instruction des filles. En religion, elle reçut le nom de son grand-père et devint sœur Saint-Simon.
Après avoir participé aux activités apostoliques de la
1715, il devint le premier curé résident de Saint-Sulpice, alors la seule paroisse de la seigneurie du même nom.
À cette époque, la colonisation de ce
Nouvelle-France aux plus hautes fonctions et, par ricochet, à la richesse, grâce à leur rang, au prestige de leur « beau nom » et au patronage qui, en Nouvelle-France comme dans la métropole
devant le roi : « Je les obligeay, lui dira-t-il, d’abandonner leurs entreprises ». L’incident est à l’origine du nom de Détour à l’Anglais qu’on donna à l’endroit où eut lieu la rencontre
avaient été causés d’abord par le changement trop fréquent des missionnaires ; en conséquence, ils demandaient le retour de Gannenrontié (nom indien du père de Lauzon). Par ailleurs, ils considéraient
. Casteel fut sauvé par un officier français et finalement racheté par un Acadien du nom de James Morrice (Jacques Maurice). Par la suite, ajoute Casteel, les autres Micmacs « sortirent de la maison
Plaisance, peut-être à titre d’engagé. Son nom figure pour la première fois dans les registres de la colonie en 1708, année où on lui octroya le contrat d’approvisionner l’expédition menée par Saint-Ovide
Marie Barrière, décédé en 1768 à Bayonne.
La première mention possible de Jean-Baptiste Lannelongue en Amérique du Nord remonte à 1735 ; le nom
nom de l’artisan où il fit son apprentissage comme orfèvre. Ramsay Traquair
les récollets en 1727, sous le nom de Jean-Baptiste. Après avoir été longtemps aumônier militaire, il devint supérieur de la communauté en 1761. Un autre de ses fils, François-Michel, devint capitaine
1718, afin de remettre en main propre à Tamburini, au nom de sa mission, la seconde de ses requêtes et aussi la demande relative à son retour dans la colonie. Son frère, Pierre-François, l’avait précédé
son nom dans la correspondance. Un mémoire de 1761 nous apprend qu’il est décédé.
Micheline D. Johnson
.
On a eu du mal à identifier Louis de La Corne, à cause de la diversité des noms qui lui furent attribués. Il est nommé « Louis » dans le registre qui fait état de son baptême par
Notre-Dame de Montréal. Parce qu’elle était venue au monde l’année du décès de Marguerite Bourgeoys*, elle reçut le nom de religion porté