. Watters, A checklist of Canadian literature and background materials, 1628–1960 (2e éd., Toronto et Buffalo, N.Y., 1972), la désignent incorrectement sous le nom de Clarke, le nom
manitobaine. Déçu du chemin de fer canadien du Pacifique, Stephen promut le projet de Hill vers le Pacifique et, avec Smith, entra au conseil d’administration de la compagnie réorganisée en 1891 sous le nom de
HLAKAY (qui signifie « andouillers durcis ou parvenus à maturité » ; connu aussi sous les noms de Pierre
». Hollinger et Gillies s’empressèrent de faire valoir leurs droits sur trois concessions chacun, et le bon Hollinger présenta aussi une réclamation au nom de son ami Bernard P. McEnaney, qui n’avait pu
] ».
En 1884, Hooper acheta la part de David Ede. Il ouvrit ensuite la Hooper’s Marble Works et, au plus tard en 1904, la fit constituer juridiquement sous le nom de Hooper’s Marble and Granite Company. On
décennie du xxe siècle, le village de Bella Bella était chrétien de nom et d’allure moderne. Il y avait là des maisons de style européen, une large rue de planches
camps d’été ainsi que des services sanitaires et dentaires. Avant la création d’un tribunal de la jeunesse, elle traitait avec les magistrats au nom de ses élèves les plus difficiles
cabinet. Pendant 25 ans, il serait la figure dominante de cette firme, connue sous le nom de Howell, Hudson, Ormond, and Marlatt.
Howell faisait partie de
lieux qui ne portaient pas encore de nom qu’en recueillant auprès de ses guides micmacs, dont il apprit la langue, la signification des toponymes traditionnels
rouvrit ses portes sous le nom de St Bonaventure’s College, il fut parmi les premiers à s’y inscrire. En 1863, nanti d’une solide formation classique, il alla se préparer au sacerdoce
; « Qu’Appelle Industrial School ; white « rites » for the Indians of the old north-west » (mémoire de m.a., Carleton Univ., Ottawa, 1970) [rédigée sous le nom de J. J
hommes furent toujours très proches ; leurs noms étaient inséparables dans l’opinion publique. Crossley ne se maria jamais. Il vécut chez les Hunter (qui donnèrent à leur fils le nom de Crossley) à St
Nantel* (1894). En 1898, Hébert accepte de sculpter dans le bois une Sainte Philomène qui sera offerte au couvent d’Hochelaga, dirigé par les Sœurs des Saints-Noms de Jésus et de Marie. La
», aussi connu dans sa jeunesse sous le nom de Wigiya, c’est-à-dire « tente jaune »), chef santee-sioux, chasseur et trappeur, né vers 1831 ; décédé en août 1912 dans la
romancé dont l’action se situe plutôt dans le sud de l’île de Baffin dans les années 1890), dans le film du même nom et dans les souvenirs de Peter Pitseolak
pourrait prendre des bains dans les brisants – thérapeutique très en vogue au début du siècle.
Toutefois, le nom de Jack reste surtout attaché à
. Baillargeon de refaire le volume et d’y effectuer les corrections et additions nécessaires. Publié sous le nom des deux auteurs, l’ouvrage le Bon Père Frédéric (Montréal, 1988) constitue donc la
1884, il proposa que ces dernières puissent devenir membres moyennant une cotisation annuelle de 0,50 $. Sa motion fut adoptée à l’unanimité. Bientôt, les noms de femmes de la province se mirent à
son père était un Mohawk du clan du Loup. Arrière-petite-fille de Tekahionwake (Jacob Johnson), dont elle adopterait un jour le nom, et petite-fille de John « Smoke
et laïque engagée, née à Halifax entre 1829 et 1851 (il y a manque de concordance dans ses déclarations d’âge), fille de John Johnson (Johnston) et d’une prénommée Clarissa, dont le nom de