, « la prédominance, dans toutes les couches de la société, d’un sentiment de bienveillance sur le plan social et d’ordre charitable, ou ce principe qui, quel que soit le nom sous lequel il est connu, nous
. Après avoir longé la côte ouest de la baie d’Hudson et atteint la baie Repulse (Territoires du Nord-Ouest) par le détroit de Roes Welcome, Rae traversa l’isthme qui porte maintenant son nom et qui se
Roquemont de Brison au nom de la Compagnie des Cent-Associés. Deux mois plus tard, à l’embouchure du Saint-Laurent, Roquemont était obligé de se rendre aux
, Joseph-Charles, fut notaire royal et greffier du tribunal de Montréal, et le second, Paul-François, anobli sous le nom de Raimbault de Saint-Blaint (ou Simblin), que portèrent ses descendants
) le 29. Marie enseigna à l’étable-école jusqu’en 1666. Cette année-là, on trouve son nom sur la liste du recensement de Trois-Rivières ; elle y est qualifiée de « maistresse descolles aux
résidence de McDonell à St Raphaels, dans le Haut-Canada, où elle prit l’habit de la nouvelle communauté et le nom de religion de Marie de l’Incarnation
-Madeleine, dite Saint-Herman, entrée 21 ans plus tôt ; son frère, Amable-Simon, avait été ordonné prêtre en 1744. Ayant fait profession en 1754 sous le nom de sœur Saint-Ignace, la nouvelle religieuse
-Laurent. Le ministre Pontchartrain avait en effet écrit au père Pierre de La Chasse* au nom de Louis XIV pour faire revenir le
agir au nom de ce dernier dans un différend fort compliqué au sujet du commerce des fourrures avec Samuel Georges, Jean Macain et autres. Le 1er janvier 1628, il fit une cession de créance à
1913, écrivit que Ramage avait épousé une femme dont le nom de jeune fille était Elizabeth Liddel. Peut-être s’agissait-il de Mme Taylor, mais la date du mariage de Ramage avec Elizabeth est incertaine
n’étaient, à vrai dire, que des prête-noms : le séminaire de Saint-Sulpice, à Montréal, avait la haute main sur sa direction. Négociant alors à Londres la reconnaissance de leurs droits de propriété au
historique de Montréal ; né à La Gesse, en Bourgogne, le 15 juin 1659, et décédé à Québec le 31 juillet 1724.
Le nom de
Dosquet lui donna, en 1746, la moitié de la seigneurie de Bourchemin, enclavée dans celle de Ramezay, qu’elle réclamait au nom des prétentions de sa famille sur ce domaine ; à cette occasion
“Green’s Shore” [ancien nom de Summerside] » et « l’époque actuelle où sa petite-fille, vêtue de soie, [faisait] luxueusement ses courses dans les grands magasins de Water Street ». En 1980
licenciement, il choisit de demeurer en Amérique du Nord. Il travailla d’abord pour le compte d’un trafiquant de fourrures de Montréal, dont on ne connaît pas le nom, voyageant jusqu’aux lacs Supérieur, Michigan
affaires personnelles et laissa Cochran discuter de questions officielles à Londres en son nom.
À son départ de Québec, Dalhousie avait confié la
ailleurs, Rand présidait le comité de fondation de la nouvelle université baptiste, qui allait porter le nom du sénateur William McMaster
Caldcleugh, Boyd, and Reid, qui envoya James Durand prendre l’affaire en main en son nom
face de la ville, a porté le nom de Randin durant de nombreuses années.
Randin accompagna Frontenac, en 1673, dans sa mission commerciale et pacifique
-Joseph de l’Hôtel-Dieu de Montréal le 4 août 1864. Elle fait profession en 1866 et prend le nom de sœur Maillet, en l’honneur de Marie Maillet