l’entreprise qui devint alors la W. T. Benson, Canada Starch Works, quoiqu’elle fût plus souvent désignée soit sous le nom de W. T. Benson and Company, soit sous celui de Canada Starch Works
pour le nombre de places, ne méritait en rien le nom de théâtre ». Deux salles pour les arts d’interprétation furent construites tour à tour en 1804, le Brodignac et le Patagonion ; elles
l’âge de 24 ans environ, Bentom fut accepté comme missionnaire au sein de la Missionary Society, créée en 1795 et connue plus tard sous le nom de London Missionary Society. Il fut ordonné ministre le 13
semble qu’il ne fut pas le premier de ce nom à y mettre le pied puisqu’une lettre du ministre Maurepas à Beauharnois
, les noms de Wilhelm Albert Ulrich von Moll et d’Albert-Guillaume Berczy ; plus tard, il signa parfois William von Moll Berczy
du ciel » ; d’aucuns croient que ces noms reliaient l’année de sa naissance au passage de la comète de Halley en 1835), chef sauteux, né vers 1832–1835, probablement à Berens River (Manitoba
également un peu de spéculation à petite échelle, acquérant en son nom, au nom de sa femme et parfois de celui de propriétaires miniers, comme Thomas Cuthbert Anderson des Central Manitoba Mines, un certain
épouse, en l’église Notre-Dame de Québec, Rachel Storer (rebaptisée la veille sous le nom de Marie-Françoise), fille de Jeremiah Storer et de Ruth Masters. Née vers 1687, à Wells (Maine), elle avait été
dès le 17 septembre. Le 17 août 1878, Élisabeth prend le nom de sœur Saint-Joseph. Les premières années sont difficiles, marquées par la pauvreté, le décès, la maladie ou le départ de plusieurs
), avait été capturée et emmenée au Canada à l’âge de deux ans ; à son arrivée, on l’avait baptisée sous le nom de Catherine. En 1763, peu après la mort de son mari, elle vendit au gouverneur James
.
Linda Kay
Mary Agnes Bernard (FitzGibbon), ou Lally Bernard de son nom de plume, est l’auteure d’une série d’articles de
arriva au village en 1788 ou 1789. Sunum Benar, qui signifie littéralement « son fils Bernard » et dont le nom suit celui de Noël Bernard sur la liste que dressa Dibblee de ceux qui reçurent des
* lorsque ce dernier fut envoyé au Canada, en 1755, comme commandant des troupes régulières françaises dépêchées dans la colonie. Pour des raisons administratives, le nom de Bernier fut porté sur le rôle du
, à l’ouest du hameau connu de nos jours sous le nom de Lutes Mountain (près de Moncton). En 1844, le tracé d’une route militaire fut effectué dans cette région sous la direction de sir James Edward
-Est de 1832 à 1834, Olivier Berthelet se rendit compte que la politique n’était pas le domaine où il pouvait être le plus utile à ses compatriotes. Il prêtait cependant son nom et son prestige aux
Rouer* d’Artigny par son père dix ans plus tôt. Il ajouta alors Dartigny à son nom, mais il fut le seul à utiliser ce double patronyme, ses enfants ne portant que le nom de Berthelot
La Fontaine*, et Amable, né en 1815, qui devint médecin à Saint-Eustache. La naissance de ces deux enfants demeure obscure et le nom de leur mère n’apparaît pas sur les registres d’état civil
nom. Quant à Alexandre Berthier, son nom apparaît pour la première fois au « Registre des confirmations » de l’archevêché de Québec, le 1er mai 1666. Dans sa correspondance avec le
-Gabriel en 1872 et prend le nom de frère Louis-Bertrand. La congrégation se dévoue à l’éducation et à l’instruction chrétiennes de la jeunesse ; elle prend aussi sous sa responsabilité des écoles que
éprouva le besoin de signaler que son « nom était bien connu des artistes, quoique peu familier au public ». Il faut dire que son art, d’inspiration académique, aurait semblé déplacé à l’Upper