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réaménager le vaste sous-sol de l’église selon le plan d’Akron, qui tirait son nom du premier temple aménagé de cette façon, l’église méthodiste d’Akron, dans l’Ohio. Les classes, fermées par des portes
tenir compagnie aux hommes et de boire avec eux ». Elle seule fut arrêtée, peut-être parce que son nom figurait à la fois sur le permis de la salle de danse et sur le permis d’alcool, peut-être parce
 
et laïque engagée, née à Halifax entre 1829 et 1851 (il y a manque de concordance dans ses déclarations d’âge), fille de John Johnson (Johnston) et d’une prénommée Clarissa, dont le nom de
JOHNSON, JOHN (Sakayengwaraton, Shakoyen·kwaréhton, généralement connu sous le nom de Smoke
considérèrent comme leur chef. Pendant l’hiver de 1785, il soumit en leur nom une requête dans laquelle ils priaient le roi de séparer leurs villages du reste de la province afin qu’ils puissent bénéficier de la
. Guy Johnson est peut-être le midshipman de ce nom qui servit sur le hms Prince en 1755. À son arrivée en Amérique du Nord, il affirma que sir William
Chiefswood, qu’il avait fait construire sur un terrain de 200 acres situé sur la rive est de la Grand. Le luxe relatif de cette villa Régence explique le nom indien de Johnson, Onwanonsyshon, lequel se
 
tenait à l’écart des frères réunis et Pavait incité, lui, George, à « réprimander et admonester » le capitaine Leigh au sujet de certaines faiblesses dont on ne mentionne pas le nom. Le
son père était un Mohawk du clan du Loup. Arrière-petite-fille de Tekahionwake (Jacob Johnson), dont elle adopterait un jour le nom, et petite-fille de John « Smoke
 
1884, il proposa que ces dernières puissent devenir membres moyennant une cotisation annuelle de 0,50 $. Sa motion fut adoptée à l’unanimité. Bientôt, les noms de femmes de la province se mirent à
York, où, en 1797, on créerait officiellement une réserve pour eux. L’arrière-grand-mère de Phoebe, dont le nom anglicisé était Catherine Big Williams, y naquit probablement en 1789
 
le premier Blanc à accomplir une telle traversée. Cormack, qui appelait habituellement son guide « mon Indien » dans son journal, indiqua que son nom était Joseph Sylvester ou Silvester, mais
 
partance. Brown, qui en a sans doute assez, tente sans succès de vendre son esclave ; la réputation de Joe est connue, son nom apparaissant régulièrement dans la Gazette comme voleur ou fugitif
gouverneur, lord Aylmer [Whitworth-Aylmer*], raya en 1833 le nom de Jobin de la liste des juges de paix. Toutefois, celui-ci devait être
 
, prenant le nom qu’elle a aujourd’hui de Job Brothers and Company, continua de s’occuper exclusivement de Terre-Neuve. La firme, une des plus importantes à Terre-Neuve au xix
 
actes de baptême et de mariage, qui eussent pu fournir son nom entier, ceux de ses parents et le lieu précis de sa naissance. Seule, ou presque, la correspondance échangée entre la cour de France et les
 
condition d’esclaves était certainement moins dure que celle des prisonniers indiens. On sait en effet que lors d’une cérémonie hivernale ils furent initiés à une société chamanique connue sous le nom de
 
amont de Glen Falls, sur le fleuve Hudson. Cet établissement, connu par la suite sous le nom de Jessup’s Landing, fut un foyer loyaliste durant les années qui précédèrent immédiatement la Révolution
 
, demeure l’un des édifices les plus impressionnants de la ville. Jessop légua aussi 3 000 $ pour l’achat d’un carillon. Finalement installées en 1937, ces cloches reçurent le nom de John Jessop
 
recommandation du conseiller en gestion Albert Haynes, les Southam réorganisèrent la Journal Company en 1911 et l’absorbèrent l’année suivante. Dès la première mention de son nom dans le cartouche du journal
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