KELLY, JEAN-BAPTISTE, prêtre catholique et vicaire général, né le 5 octobre 1783 à Québec, fils de John Kelly, charretier, et de Marguerite Migneron ; décédé le 24 février 1854 à Longue-Pointe (Montréal).

Enfant, Jean-Baptiste Kelly fut tiré de la rue, où il passait la plus grande partie de ses journées, et envoyé à l’école élémentaire par le curé de Notre-Dame de Québec, Joseph-Octave Plessis*. Il dut manifester quelque aptitude pour la prêtrise, car il fut placé en 1797 au petit séminaire de Québec où, selon un professeur, il fit preuve d’une « très grande application en toutes choses ». En 1802, il fut élu préfet de la Congrégation de la Bienheureuse-Vierge-Marie-Immaculée ; il s’agissait du plus haut poste de cette fraternité étudiante, et ses assistants étaient Jacques Labrie* et Louis-Joseph Papineau*. À compter de 1803, Kelly fut secrétaire adjoint de Plessis, alors évêque coadjuteur de Québec, puis, à compter de 1805, secrétaire diocésain ; ensuite, en août ou septembre 1806, il fut désigné comme assistant auprès du vicaire général François Cherrier* à Saint-Denis, sur le Richelieu. Cherrier ne tarda pas à apprécier son « charmant lieutenant vicaire », que Plessis ordonna prêtre le 9 novembre 1806.

Deux ans plus tard, Kelly fut envoyé dans une mission très difficile, celle du Madawaska, au Nouveau-Brunswick. Selon Plessis, trois ans de travail dans les missions de l’Est apportaient une excellente formation aux jeunes prêtres ayant déjà une certaine maturité et permettaient de mettre sérieusement à l’épreuve leur caractère et leur discipline avant de leur confier une paroisse établie. Le 16 octobre 1808, Kelly arriva à Saint-Basile, village d’une centaine de familles à qui Plessis, dans une lettre pastorale, avait exprimé son mécontentement en ces termes : « votre église est en ruines, [...] le presbytère est mal entretenu, [...] les dixmes sont mal payées, [...] le luxe, les divertissements et le libertinage règnent dans votre endroit ». Un des grands problèmes était l’alcool : les marchands et les aubergistes en vendaient aux Indiens à 250 ou 300 p. cent de profit. Devant pareils bénéfices, Kelly se plaignait : « il y a jusqu’à mon bedeau qui veut se faire cabaretier, et nous en avons déjà neuf ! » Malgré de constants efforts, Kelly fut incapable de faire reconstruire l’église ou de remettre en état le presbytère et, en 1809, il dut se réfugier dans un ancien presbytère abandonné, « à l’air de toute part ». Pourtant, ses problèmes ne s’arrêtaient pas à Saint-Basile, où il résidait, puisque son territoire de mission comprenait la vallée de la Saint-Jean jusqu’à Fredericton, au sud, et qu’il descendait régulièrement la rivière pour des expéditions qui duraient jusqu’à trois mois. Aucun village ne lui offrait tout le nécessaire, soit une chapelle, un presbytère et des vases sacrés. Des Indiens présentaient un défi particulier : c’étaient des Malécites, et son dictionnaire était abénaquis.

Kelly avait peu de temps pour étudier, mais il consacrait tous ses loisirs aux saintes Écritures, à la théologie et à l’anglais, le français étant sa langue maternelle. Contrairement à la plupart des missionnaires, il n’était pas seul ; issu d’une famille nombreuse et pauvre, il avait emmené quatre de ses sœurs et il assurait leur subsistance. De plus, Plessis, paternel, lui faisait parvenir régulièrement des conseils détaillés. Et pourtant Kelly souffrait de l’isolement spirituel qui finissait par vaincre la plupart des jeunes prêtres envoyés dans les missions : « je pense, écrivait-il en janvier 1810, que si St Jérôme eût eu soixante lieues à faire en raquette pour gagner l’absolution & qu’il eût aussi souvent besoin que moi de se confesser, il aurait cessé bien vite d’être solitaire ».

L’épreuve de Kelly prit fin lorsque, en octobre 1810, Plessis l’envoya à Saint-Denis remplacer Cherrier, décédé l’année précédente. La promotion était importante, car Saint-Denis était une grande paroisse prospère et bien disciplinée qui s’enorgueillissait d’une belle et spacieuse église. De 1810 à 1812, Kelly accumula des surplus importants dans le trésor paroissial puis, de 1813 à 1817, il le mit presque à sec en faisant exécuter à Urbain Desrochers des travaux à l’intérieur de l’église et en achetant six tableaux d’artistes européens tirés d’une grande collection expédiée dans le Bas-Canada en 1816–1817 par Philippe-Jean-Louis Desjardins*. En choisissant ces toiles, Kelly fit preuve en matière d’art religieux d’un goût raffiné peu courant parmi les membres du clergé de son époque. Formé sous l’influence de Plessis, Kelly, contrairement à la plupart des membres plus âgés du clergé, se rendait compte de l’importance de l’éducation. Il ne parvint toutefois pas à faire rouvrir le collège fondé dans la paroisse par Cherrier en 1805, car le curé Antoine Girouard* en avait établi un autre à Saint-Hyacinthe en 1809.

En plus de s’acquitter de ses lourdes charges paroissiales, Kelly dut s’occuper de certaines affaires diocésaines, à la demande de Plessis. En 1811, il accompagna l’évêque coadjuteur, Bernard-Claude Panet*, dans une visite pastorale qui les mena de La Malbaie à Québec et, en 1816, il en fit une autre avec Plessis dans le Haut-Canada. De plus, Plessis le consultait sur les compétences et les dispositions des prêtres affectés aux paroisses voisines de Saint-Denis, consultations qu’il menait d’ordinaire auprès des archiprêtres et des vicaires généraux seulement.

En septembre 1817, Plessis estima que Kelly était prêt à relever un défi plus important. Son affectation à la paroisse Saint-Pierre, à William Henry (Sorel), représentait en effet une épreuve plus dure encore. Non seulement Saint-Pierre était-elle l’une des cinq plus grandes paroisses du diocèse et croissait-elle rapidement, mais elle était implantée dans un milieu rude. Les soldats de la garnison étaient des saints en comparaison des engagés qui faisaient la traite des fourrures dans le Nord-Ouest et qui pratiquaient la beuverie, le tapage et le blasphème avec un art consommé. En 1820, Kelly déclina l’invitation que lui faisait Plessis de conduire une mission dans le Nord-Ouest : « Je suis si content quand le printemps arrive de me débarrasser de mes voyageurs, lui répondit-il, que je ne suis point du tout amoureux d’aller les rencontrer ailleurs. » Son salaire était inférieur à celui qu’il gagnait à Saint-Denis et ses dépenses, supérieures. Vers 1819, on découvrit que la charpente de son presbytère était en mauvais état ; son église était vieille, délabrée et trop petite. À compter de 1822, il entreprit de faire construire une nouvelle église, qui ne devait être terminée que dix ans plus tard ; comme toujours, le choix de l’emplacement et la répartition du coût entre les paroissiens suscitèrent des disputes. Plein de ressources, Kelly utilisa les pierres de l’ancienne église pour bâtir un nouveau presbytère.

Une grave pénurie de prêtres obligea Plessis à ajouter l’île du Pads (île Dupas) et Drummondville aux charges de Kelly. Kelly détestait cette dernière, surtout à cause de sa population irlandaise, mais de 1818 à 1824 il parcourut fidèlement l’affreuse route qui y menait. En 1822, il termina la construction d’une petite église de bois, Saint-Frédéric, ce qui lui procura un de ses rares moments de joie : « les protestants en sont jaloux, lança-t-il, la leur n’aura jamais la mine de celle-là ». En 1824, il put laisser Drummondville à John Holmes, mais il continua de desservir l’île du Pads jusqu’en 1831.

À William Henry comme à Saint-Denis, Kelly promut l’enseignement catholique. Suivant une directive de Plessis, il boycotta l’Institution royale pour l’avancement des sciences [V. Joseph Langley Mills*] et, en 1831, il avait mis sur pied une école anglaise ; on présume qu’une ou plusieurs écoles françaises existaient déjà. En 1821, il avait été l’un des fondateurs et souscripteurs de l’Association pour faciliter les moyens d’éducation dans la Rivière-Chambly, formée pour permettre aux candidats prometteurs à la prêtrise de s’inscrire au collège de Saint-Hyacinthe.

Comme la résidence d’été du gouverneur en chef se trouvait à William Henry, Kelly fut à même d’informer Plessis et son successeur Panet de la manière dont lord Dalhousie [Ramsay*] réagissait à la nomination controversée, en 1820, de Jean-Jacques Lartigue* comme évêque auxiliaire de Plessis à Montréal. Dalhousie menaçait de soumettre l’Église à l’autorité royale, ce qui irritait Kelly, pour qui l’Église devait exercer en toute indépendance son pouvoir social. En 1827, il écrivit à Panet : « Je crois [...] que nous ne devons pas nous laisser effrayer par cet homme-là, qu’il serait nécessaire de lui montrer les dents [...] Nous avons droit d’élever la voix & de nous faire entendre tous ensemble au pied du trône [...] Parce que nous sommes restés spectateurs tranquilles en Politique on croit que nous ne sentons rien. Il est tout clair que, nos ennemis en veulent non seulement à la constitution du pays, mais encore à la religion. »

Même s’il y avait chez Kelly une part de nationalisme canadien-français (ce qui explique en partie sa répugnance pour les Irlandais), il faisait aussi peu confiance au parti canadien nationaliste, qui dominait la chambre d’Assemblée, qu’au gouvernement colonial. Lorsque l’Assemblée tenta de contester le pouvoir du clergé sur l’administration des paroisses en restreignant le contrôle de celui-ci sur les fabriques, Kelly pressa Panet d’intervenir énergiquement : « Il est temps que quelque digue soit opposée à ce corps ambitieux et enivré de ses succès auprès des ministres [britanniques], car il est très clair que [...] il cherche à tout envahir & à s’arroger non seulement le pouvoir Législatif & ecclésiastique mais encore le pouvoir exécutif et judiciaire. » En 1834–1835, il s’attira la colère des nationalistes de la région, dirigés par Wolfred Nelson*, en refusant d’autoriser l’érection, au cimetière Saint-Pierre, d’un monument politique à la mémoire d’un de leurs partisans, Louis Marcoux, tué pendant les élections de 1834. Vers 1837, tandis que le gouvernement et le parti patriote s’acheminaient résolument vers un conflit armé, Kelly, convaincu de la forte influence du clergé sur la société canadienne, incita Lartigue à élever la voix : « en ce moment, affirmait-il, [elle] serait bien plus puissante que toutes les bayonnettes anglaises qui sont dans le pays [...] il serait trop tard d’attendre que le gouvernement fit quelque coup d’éclat dont les factieux profiteraient certainement pour donner l’impulsion à nos campagnes. Une fois cette impulsion donnée, en vain peut-être essayeriez vous de vous faire entendre ; et les insidieux ne manqueraient pas de dire que vous êtes soudoyé par le gouvernement ou que c’est par intérêt que vous venez à son appui. » À William Henry, l’influence personnelle de Kelly contribua beaucoup à apaiser l’ardeur du mouvement rebelle.

En 1839, Kelly fut soupçonné d’avoir aidé le docteur George Holmes, meurtrier de Louis-Pascal-Achille Taché, seigneur de Kamouraska, à s’enfuir aux États-Unis. Il est seulement certain, toutefois, qu’il dissuada Holmes de se suicider. Holmes, frère de John, était l’amant de Joséphine d’Estimauville, épouse de Taché et parente de Kelly par alliance, et il était depuis un certain temps un visiteur fort bienvenu au presbytère. Deux ans après le meurtre, le témoignage que Kelly prononça en faveur de Joséphine d’Estimauville au cours de son procès pour complicité l’aida probablement à être acquittée.

En 1842, Kelly était épuisé par la cure de William Henry. Mgr Ignace Bourget*, successeur de Lartigue, l’envoya en Europe avec un autre prêtre malade, Joseph-Sabin Raymond*, pour qu’ils se refassent une santé et qu’ils tentent de résoudre certains des problèmes de l’Église. En Grande-Bretagne à la fin de l’année, ils réclamèrent en vain le retour dans le Bas-Canada des rebelles exilés de 1837–1838. Ils n’eurent guère plus de succès en cherchant des prêtres irlandais qui viendraient à Montréal. À Paris, ils ne parvinrent à convaincre ni les Filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul, ni les Frères de Saint-Joseph d’établir des communautés à Montréal. Enfin, à Rome, où ils arrivèrent en janvier 1843, ils furent incapables d’obtenir la nomination d’un coadjuteur pour Bourget et la création d’une province ecclésiastique dans l’Amérique du Nord britannique. Derrière ces deux défaites, Kelly décelait les manœuvres de l’influent représentant des sulpiciens de Montréal, Jean-Baptiste Thavenet*, avec qui Kelly et Raymond ne parvinrent pas davantage à régler les comptes de plusieurs communautés religieuses du Bas-Canada dont Thavenet était l’agent financier en Europe. Ce voyage infructueux brisa plusieurs des illusions de Kelly. Toujours en mauvaise santé, il était effaré de sentir pour la première fois l’inertie de la vieillesse, et la qualité de la piété manifestée par les Parisiens et les Romains le désenchantait tout à fait. « J’ai hâte de me voir de retour, écrivit-il à Bourget en mars 1843, car au bout du compte notre pays en vaut bien un autre. »

Kelly était revenu à William Henry en août. Même si sa mission avait échoué, Bourget récompensa ses efforts en le nommant vicaire général et chanoine de la cathédrale Saint-Jacques de Montréal le mois suivant ; l’archevêque de Québec, Joseph Signay*, qui l’avait fait archiprêtre en 1835, le nomma aussi vicaire général. Pendant les quelques mois qui suivirent son retour, Kelly dut faire face à la révolte de certains paroissiens qui souhaitaient conserver son remplaçant, mais leur déconfiture totale aux élections des marguilliers, en décembre 1843, confirma qu’il avait su imposer son autorité sur la paroisse. Il fit beaucoup pour améliorer le bien-être de ses paroissiens. En novembre 1843, Jean-Baptiste Meilleur*, surintendant adjoint de l’Éducation dans le Bas-Canada, lui annonça que ses six écoles dépassaient les besoins de sa population. En 1846, il fonda une bibliothèque paroissiale qui comptait 400 volumes. Il avait aussi créé une société de tempérance et lorsque, en 1848, il bénit deux cloches achetées par la paroisse en guise de monument à cette cause, Jacques Viger, étonné, lança : « C’est un bel acte de contrition ou d’humilité de la part d’une paroisse ci-devant si – ivrogne ! » La même année, Kelly entreprit d’instaurer un établissement qui prendrait soin des pauvres et des malades et qui s’occuperait de l’éducation des filles. En 1849, après qu’il eut construit un nouveau presbytère à ses frais, l’ancien fut transformé en un collège (auquel il versa £150) dirigé par les Frères des écoles chrétiennes.

Au cours des années 1840, la résistance physique de Kelly fut peu à peu vaincue par ce que Bourget appela son « immense besogne » à William Henry (rebaptisé Sorel en 1845). En décembre 1849, il demeurait à l’hospice Saint-Joseph de Longue-Pointe, où il passa ses quatre dernières années, de plus en plus infirme, atteint de débilité mentale et endetté. Il y mourut et fut inhumé par Bourget dans l’église Saint-Pierre, à Sorel.

Un des paroissiens de Jean-Baptiste Kelly, le journaliste Georges-Isidore Barthe*, le décrivit comme « un homme de belle et grande stature, très distingué de manière [...] admiré pour son savoir et respecté de tous les citoyens, catholiques et protestants ». Son importance historique provient surtout de ce qu’il fut, comme Charles-Joseph Ducharme, Thomas Maguire et Charles-François Painchaud*, un membre remarquable de la génération de prêtres formés à l’école de Plessis, qui, en appliquant les principes de l’évêque, surtout dans le ministère paroissial et J’éducation, contribuèrent plus qu’on ne l’a reconnu à assurer la transition entre le début du xixe siècle, où le clergé souffrait de sa faible importance numérique, et l’ère de Bourget, où il se signala par son indépendance et son influence.

James H. Lambert

AAQ, 12 A, G : fos 53, 56 vo, 59, 79, 99, 140 ; H : fo 3 vo ; 210 A, VI : fo 295 ; VII : fos 207, 275 ; IX : fo 214 ; X : fos 77, 171, 357 ; XI : fos 23, 75, 437, 466–467 ; XIII : fo 426 ; XIV : fos 195–196, 289–290, 446, 540–541 ; CD, Diocèse de Québec, I : 151 ; II : 111 ; 69 CD, III : 135 ; 311 CN, IV : 23–40 ; VI : 155 ; 26 CP, VIII : 129 ; H : 89–90.— ACAM, 420.101, 843-1, 854-1 ; 901.017, 831-1 ; RC, I : fos 89, 90, 96 vo, 110–111 vo, 169–170 ; Il : fos 104, 114, 142 vo, 146 ; III : fo 186 vo ; RLB, III : 158–159, 190–191, 300 ; RLL, V : 281, 334, 353–354.— ANQ-Q, CE1-1, 27 mai, 5 oct. 1783 ; CN1-230, 20 févr. 1824.— AP, Saint-Denis (Saint-Denis, sur le Richelieu), Livres des délibérations de la fabrique, 1791–1845 ; Livres de comptes, I (1775–1823).— Arch. de la chancellerie de l’évêché de Saint-Hyacinthe (Saint-Hyacinthe, Québec), XVII, C.25, 1810–1817 ; C.66, 1817–1850.— ASQ, Fichier des anciens ; Séminaire, 103, nos 42, 45 ; 178, nos 2, 148, 160, 163.— « Les Dénombrements de Québec » (Plessis), ANQ Rapport, 1948–1949 : 24, 49, 67.— La Minerve, 25 févr. 1854.— Desrosiers, « Inv. de la corr. de Mgr Lartigue », ANQ Rapport, 1941–1942 : 399, 413 ; 1948–1949 : 346, 380–382, 389, 406, 416, 420–421, 445, 459, 473.— Léon Pouliot et François Beaudin, « Correspondance de Mgr Ignace Bourget », ANQ Rapport, 1955–1957 : 183, 185, 195 ; 1965 : 99 ; 1969 : 39–40, 113, 117.— Thomas Albert, Histoire du Madawaska d’après les recherches historiques de Patrick Therriault et les notes manuscrites de Prudent L. Mercure (Québec, 1920).— Allaire, Hist. de Saint-Denis-sur-Richelieu.— G. I. Barthe, Drames de la vie réelle, roman canadien (Sorel, Québec, s.d.).— Chabot, le Curé de campagne.— Chaussé, Jean-Jacques Lartigue.— Azarie Couillard-Després, Histoire de Sorel de ses origines à nos jours (Montréal, 1926).— Claude Galarneau, les Collèges classiques au Canada français (1620–1970) (Montréal, 1978).— Lambert, « Joseph-Octave Plessis ».— Lemieux, l’Établissement de la première prov. eccl.— Pouliot, Mgr Bourget et son temps, 2.— Côme Saint-Germain, Regards sur les commencements de Drummondville (Drummondville, Québec, 1978).— F. M. Dufresne, « le Drame de Kamouraska », Québec-Hist. (Montmagny, Québec), 1 (1972), nos 5–6 : 72–76.— Sylvio Leblond, « le Drame de Kamouraska d’après les documents de l’époque », Cahiers des Dix, 37 (1972) : 239–273.

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James H. Lambert, « KELLY, JEAN-BAPTISTE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 8, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 20 nov. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/kelly_jean_baptiste_8F.html.

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Auteur de l'article:    James H. Lambert
Titre de l'article:    KELLY, JEAN-BAPTISTE
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 8
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1985
Année de la révision:    1985
Date de consultation:    20 nov. 2024