pendant plusieurs années. Sa passion pour le sport amateur et sa forte personnalité lui ouvrent les portes de la Quebec Athlete Association Company qu’il dirigera durant une longue période. À son décès, le

créant une filiale dont il assuma la présidence, la Port Arthur Pulp and Paper Company Limited, et en faisant construire à Port Arthur (Thunder Bay, Ontario) une usine qui, avec de l’épinette, fabriquerait

journal libéral de Moncton, le Daily Transcript, mais il l’avait poursuivi pour diffamation et avait gagné son procès. Porté à jouer en quelque sorte le rôle de critique de son propre parti, il

 » ; sans doute était-il convaincu que ses concitoyens pouvaient bénéficier de son flair. En 1914, année où il refusa de se porter candidat, on commença à lui proposer d’autres fonctions adaptées à sa

des parents ; financement insuffisant, bon nombre d’écoles, surtout dans les régions rurales, ne survivant qu’avec peine. Ses critiques les plus sévères portaient sur les disparités dans

Macdonald*, eut l’occasion, grâce à une fuite, de prendre connaissance d’un opuscule attribué à Farrer et portant sur les moyens susceptibles de pousser le Canada à s’unir aux États-Unis, et il se fit une

part de ses activités en laissant le Grand Tronc et le chemin de fer canadien du Pacifique utiliser ses installations, ce qui permettrait à ceux-ci d’avoir accès sans intermédiaire aux ports maritimes