1841 à 1860 (de 4165)
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-Charles*, écrivain, et Alexandre-Antonin*, archevêque de Saint-Boniface au Manitoba, perpétuèrent de façon honorable le nom de leur
 
lettre de Boas (qui avait eu le nom de Clah par un informateur kwakiutl, George Hunt*) et l’eut transmise à Tate que se noua la fructueuse
 
fut fait puisque après 1807 le nom de Taylor disparaît des archives du comté. Il songea à retourner en Écosse, mais il redressa apparemment sa situation et décida de rester
premières années de la décennie 1870, Taylor fit de la réclame pour vendre ses négatifs. Quelques-uns trouvèrent preneur, et des images de lui furent vendues sous d’autres noms d’éditeur. Dans la même période
 
, sous le nom d’Erskine (1864) et située dans un nouvel emplacement (1866), demeura sous la direction de William Taylor jusqu’à sa mort. Hébraïsant et helléniste distingué, Taylor était en même temps un
 
. La pierre angulaire d’une église fut posée en 1853 mais la construction fut retardée par l’inondation de 1852, et l’église ne put être consacrée avant le 29 mai 1855, sous le nom de
. Généreux lorsqu’il s’agissait de prêter à des amis et malavisé lorsqu’il s’agissait d’investir, il avait à peine plus de biens à son nom quand il mourut en 1902 qu’à son premier passage à Victoria plus de 40
 
entre Anglais, Français et Iroquois, de 1675 à 1725. On retrouve souvent le nom de Teganissorens au cours de cette période dans la correspondance des
 
TEKAWIROÑTE (Tagawirunte, William of Canajoharie, William Johnson), guerrier agnier, dont le nom signifie « deux enfants en bas
 
Pierre Legardeur de Repentigny], l’appelèrent Joseph. Andehoua reçut le baptême en même temps que Teouatiron, et on lui donna le nom de Jean-Armand. Les deux garçons étaient unis par de solides
Antoine Daniel qui intercéda pour eux, car leur chef récemment décédé n’avait pas encore été « caché », c’est-à-dire que personne n’avait encore assumé son nom et ses responsabilités
 
furent publiées ne portait que le nom de William Mason comme traducteur. À la mission de Rossville, les anciens collaborateurs indiens des Mason, John Sinclair et le révérend Henry Bird
de ce mal très funeste pour l’âme : la procrastination ». Cette histoire, affirme l’auteure, est authentique ; seuls les noms et les dates ont été changés. The widow’s jewels
, il fit passer son contrat au nom de Crawford et alla s’établir dans le canton de Toronto. Par la suite, il acheta et afferma un certain nombre de propriétés dans la région qui fait maintenant partie de
 
supérieur belge du monastère de Sainte-Anne-de-Beaupré et curé de la paroisse du même nom. Lieu de pèlerinage depuis le milieu du xviie siècle, cette paroisse
 
des guerres napoléoniennes que la famille perça dans le milieu commerçant. Les frères Tobin, en affaires sous le nom de J. and M. Tobin
 
années 1820, il passa quelques années à Terre-Neuve puis vint s’établir à Halifax vers 1840. Au début des années 50, il avait fondé une maison de vente en gros et au détail qui, sous le nom de John Tobin
 
TOMAH (Toma, Thomas), PIERRE, dit Gouverneur Tomah (connu aussi sous le nom de
 
Chandler*, un titre pour une vaste étendue de terre à 18 milles de la capitale. Dans ce nouveau canton que Toosey appela Stoneham, du nom de sa paroisse anglaise, il se mit à créer un domaine dans la
 
politiques et laissait à d’autres les envolées oratoires. Sans les remous suscités par la Confédération, son nom n’aurait jamais franchi les cadres de son milieu familial et social. Pour s’être fait le porte
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