1781 à 1800 (de 4149)
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HERTEL DE SAINT-FRANÇOIS, ÉTIENNE (après la mort de son frère aîné, Joseph, en 1748, Étienne apparaît sous le nom d’Hertel
Hewett à sir Edward Osborne, tous deux lords-maires de Londres. Hewett lui-même servit dans la marine royale et les Royal Marines pendant les guerres napoléoniennes et la guerre de 1812 (on cita son nom
 
, qui est président, quitte la fabrique, connue alors sous le nom de Compagnie de manufacture britannique américaine ; il s’installe en Angleterre et fonde à Manchester une importante usine de
 
région. Le développement de cette petite communauté amena la création d’Abbott-Corners, du nom d’un des premiers pionniers, le docteur Jonas Abbot. En décembre 1797, Hibbard devint membre de la
 
secteur avoisinant la « Maison Blanche » prit à la fin le nom de faubourg Saint-Henry ou faubourg Hiché. Riche propriétaire terrien, il put, en 1742, doter très avantageusement sa fille Marie
 
bac entre les deux cantons, et la communauté qui grandit tout autour fut appelée Hicks’ Ferry, nom qui fut changé pour celui de Bridgetown en 1824. Hicks y mourut en 1790. Six de ses 11 enfants lui
 
d’inauguration, Hicks défendit l’association des instituteurs, qui prit le nom de Teachers’ Association in Connection with the McGill Normal School. Il souhaitait qu’elle tienne des assemblées annuelles dans un
acquisitions sous le nom de Chicago and Grand Trunk Railway et réaffirma une alliance déjà conclue avec le Vermont Central Railroad, dans l’Est. Cette année-là, le Grand Tronc tira de Chicago environ 40
 
, Charles Samuel, devint lui aussi un associé de la firme qui, dès lors, prit le nom de Charles and Robert Hill and Company. Robert mourut en 1812 et Charles Samuel en 1816. Quelques années plus tard, soit en
premier concours : devançant des confrères canadiens et américains, il obtient le contrat pour effectuer le Monument aux héros de la guerre des Boers (aussi connu sous le nom de Monument à
manitobaine. Déçu du chemin de fer canadien du Pacifique, Stephen promut le projet de Hill vers le Pacifique et, avec Smith, entra au conseil d’administration de la compagnie réorganisée en 1891 sous le nom de
 
 juin 1735. John Hill, mieux connu sous le nom de Jack Hill, était le frère d’Abigail Hill (madame Masham), la favorite de la reine Anne, et
 
dans son Devon natal et dès 1775, avec un associé du nom de David Sweetland, il se lançait dans diverses activités commerciales, dont l’achat et la vente de navires et le transport du charbon et du fer
Hill aurait pu réussir en politique, mais sa personnalité cadrait mal avec le contexte où il se trouvait. Si la politique l’attirait, c’était moins par devoir de faire honneur à son nom que parce qu’il
 
comptes rendus des débats furent souvent publiés sous les noms de Doak et Hill, éditeurs. Le désir de Hill de lancer d’autres publications l’amena
 
(du nom de son président, Gaspard-Moïse-Augustin de Fontanieu, marquis de Fiennes), créée le 18 octobre 1758 sous le nom de commission de liquidation des dettes de la Marine et des Colonies
. Jusqu’en 1892, Hills conserva l’île de Vancouver, qui continua de porter le nom de diocèse de Columbia. Il n’était plus alors missionnaire ni pionnier du christianisme et passait le plus clair de son temps à
 
Hilton donna le nom de Henry à deux de ses fils qui moururent en bas âge ; un autre fut appelé James Henry.) En 1820, John Hilton possédait sa propre entreprise. Trois ans plus tard, il s’associa à
 
échouèrent à deux reprises dans leurs tentatives pour prendre la ville. Comme la plupart des officiers, Hilton dut lutter pour laver son nom de la honte qui, dans l’esprit de ses compatriotes, était attachée à
appréciaient le fait qu’il ne s’était « opposé à aucun nom » parmi les fonctionnaires qu’ils avaient choisis pour les districts de Gore et de Simcoe
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