autres personnes, la première congrégation réformée au Canada, plus tard connue sous le nom de Temple Emanu-El [V. Elias Friedlander*], où il
.
Peter Gonish et Dominic revinrent au Nouveau-Brunswick vraisemblablement vers la fin de 1844. On entendit parler de Gonish pour la dernière fois en 1846, lorsqu’il présenta une demande de secours au nom
noviciat des Frères des écoles chrétiennes à Neurey-lès-Lademie, le 21 octobre 1857 ; il prend l’habit et le nom de Réticius le 8 décembre suivant. Novice régulier, fervent et empressé à
nationalité anglaise à condition d’acquitter les impôts anglais. Son nom apparaît d’abord dans des lettres patentes émises par Henri VII d’Angleterre le 19 mars 1501 et ayant pour objet de concéder des droits
d’août 1874, avec Hyacinthe Gadbois, novice lui aussi, à destination de la France. Il revêt l’habit dominicain le 10 septembre au couvent d’Abbeville, sous le nom de Dominique-Ceslas, puis, le 8
les normes britanniques, mais beaucoup plus appropriée fit son apparition ; le modèle évolua aux États-Unis durant les décennies 1840 et 1850 et fut connu sous le nom de locomotive
, constitua l’entreprise en société sous le nom de Gooderham and Worts Limited. Albert Edward, qui n’avait que 21 ans, et son frère aîné
l’entreprise, qui prit le nom de Gooderham and Worts.
Dans sa jeunesse, George fréquenta l’école du dimanche et devint bibliothécaire de l’église anglicane
, la Worts and Gooderham, qui fut dissoute à la mort de Worts en 1834. Gooderham maintint l’entreprise, mais en remplaça le nom par celui de William Gooderham, Company
où de lourdes pertes la contraignirent à s’intégrer à un groupe d’autres compagnies ferroviaires fusionnées sous le nom de Compagnie du chemin de fer Midland du Canada. En 1871, il fut l’un des
les légataires du trust créé par Worts par testament, un accord pour constituer en société l’entreprise qui serait dorénavant connue sous le nom de Gooderham and Worts Limited. William George, âgé de 29
Company.
Ayant donné à son entreprise d’importation et de marchandises sèches le nom de Goodfellow and Company, Goodfellow prit pour associé en second, le
% des textiles de coton du pays. Son plus grand concurrent canadien était la Canadian Colored Cotton Mills Company Limited, qui prendrait le nom de Canadian Cottons Limited en 1910. La concurrence
, Gordon choisit Cannor, abréviation partielle de Brit.Can.Nor.West Mission. Le télégraphiste changea ce nom en Connor, orthographe plus vraisemblable. Macdonald ajouta ensuite le prénom Ralph. Gordon
, écrivit-il à George Monro Grant [...] C’est bafouer le nom de chrétien que de nous l’attribuer en tant que peuple alors que nous avons traité l’Indien de manière à partager avec lui nos pires vices et nos
exploiter sous son nom jusqu’en 1866 un magasin de vêtements confectionnés sur mesure et de prêts-à-porter au détail.
Le déménagement à Toronto dut
1868 que, pour la première fois, Gordon fit parler de lui. Sous le nom de Glencairn, il loua un domaine de chasse en Écosse, après avoir convaincu des avocats de Londres et des bijoutiers d’Édimbourg
32e régiments, d’un petit détachement d’artillerie possédant un obusier et d’une troupe plutôt symbolique de la Royal Montreal Cavalry connue également sous le nom de Montreal Volunteer
Majesté », qui fut rapidement approuvé. En juin 1775, des officiers faisaient du recrutement à Boston, en Nouvelle-Écosse et à Terre-Neuve pour le compte des Royal Fencible Americans, nom donné à ce
toujours dans la mémoire collective des habitants de Saint-Jean. Une rue et un aréna portent son nom, et le cent-treizième anniversaire de sa naissance, le 6 juillet 2010, donna lieu à une cérémonie publique