Bourget*], il répliquait que celui-ci n’était pas comme « le parti d’infidèles qui, en Europe, salissait] le nom de libéral en guerroyant sans relâche contre toute vraie liberté, contre la société
.
Presbytérien fervent, Anderson fut conseiller presbytéral de la congrégation Coté Street (qui porta plus tard le nom de Crescent Street) durant un certain temps, et de la congrégation St Gabriel Street de 1855 à
droit au cabinet de son cousin, il fut admis au barreau de la province le 3 mai 1831. Selon la plupart des sources, Akins avait une pratique lucrative, surtout à titre de solicitor (son nom
quatrième, et le troisième de quatre garçons, qui signeraient plus tard leur nom Aikins. En 1843, James Eakins, riche fermier et fervent wesleyen, envoya William au Victoria College de Cobourg, comme il le
d’enseigner les arts libéraux. En 1847, la jeune femme se fixa à Toronto, suivant ainsi son école qui prit à ce moment le nom d’Adelaide Academy ; un an plus tard, toutefois, elle accepta le poste de
. D’abord constituée en 1856 sous le nom de Compagnie du chemin de fer de jonction du lac Huron, de l’Ottawa et de Québec à partir de la fusion de plusieurs petites lignes, elle prit le nom de Compagnie du
secrétaire colonial de l’Île-de-Vancouver ; en septembre 1859, il écrivait officiellement au nom du gouverneur Douglas, alors absent de l’île.
Sa double
1837, changea de nom pour celui d’Inverness, surtout grâce à Young. Pendant 20 ans, il fut réélu par les marchands du comté et, plus particulièrement, par les laïcs et le clergé catholiques qui
Union (dont le nom, changé en 1858, devint Northern Railway Company of Canada), mais il s’en retira en 1858 après avoir subi de fortes pertes d’argent. Ces pertes furent peut-être un facteur qui attira
Macdonald* que Wood était « tout à fait disposé à s’engager pour un paiement si [Macdonald était] en mesure de lui [en] offrir [l’occasion] ». Bien que libéral de nom durant toute sa carrière
; l’année suivante, lui et ses associés, travaillant sous le nom de Canadian Oil Company, avaient investi, à ce qu’on rapporta, plus de $42 000 dans l’entreprise
: elle soumit régulièrement des poèmes au « Poet’s Corner » et quatre de ses cinq livres de poésie (publiés sous le nom de Harriett Annie) furent imprimés aux bureaux du Spectator : The
catalogués, dans la collection John Ross Robertson de la Metropolitan Toronto Library, sous des noms de lieux tels que rivière de la Paix et fort Dunvegan (Dunvegan, Alberta), Yellowhead, mont Robson, Savona’s
» des Cantons de l’Est par les Canadiens français au milieu du xixe siècle donne à cette hypothèse tout son poids. De toute façon, la fusion des comtés de Richmond (nom du comté de Sherbrooke
attention à ce que son nom ne soit plus mêlé à des pratiques douteuses, bien qu’il restât toujours un homme tout dévoué à sa circonscription, distribuant assidûment des faveurs politiques
$50. Le nom de la banque était en soi un manifeste. Bien sûr, la Banque nationale serait au service de tous les hommes d’affaires, quelle que soit leur ethnie, mais elle reflétait le désir des
.
Le sens du nom huron de l’artiste autochtone Zacharie Vincent, Telari-o-lin, reste incertain ; longtemps traduit par « non divisé » ou « sans mélange », ce nom, dont la graphie
Hamilton Gray et du Compact, nom donné alors à la minorité conservatrice en chambre. Réélu en
d’avoir été à l’origine de ce pamphlet. Et bien entendu, parmi les noms avancés, figurait celui de Trudel. N’avait-il pas à maintes reprises déjà mis sa plume au service de la cause ultramontaine, ce
grand nombre en association avec son fils aîné, Howard Douglas, qui entra en 1864 dans la firme, connue par la suite sous le nom de Troop and Son ; le fils cadet, Jacob V. semble s’être joint à la