désormais toute à la charité et à la piété.
L’œuvre principale qui s’attache à son nom, comme à celui du père
1687 par le curé Thomas Morel, est reproduit un document que Bonnemere avait signé en ajoutant à son nom
Buade de Frontenac pendant un certain temps ; a donné son nom à la grande île du lac des Deux-Montagnes, au nord-ouest de l’île de Montréal ; né à Neuchâtel (Suisse) en 1642, fils de
donnèrent le nom de Saint-Sauveur à leur nouveau foyer. C’est là que, par la suite, le capitaine Samuel Argall les
efforts pour réaliser ce rêve appauvrirent sa famille et valurent à son nom honoré la disgrâce de l’emprisonnement. Si les affaires de la France avaient pris une autre tournure, il est probable que
Guercheville consentit pourtant à faire en entier les frais d’une nouvelle cargaison, 3 000#, et elle passa en son propre nom, non plus en celui des Jésuites, un contrat d’association avec le maître de Port
, sauf à son embouchure. Durant cette exploration de la baie, il baptisa une foule d’endroits et certains des noms qu’il attribua à des particularités de la rive nord demeurèrent après son voyage. On nous
épousa à Québec Romaine Boudet le 5 juin 1666 et Marie Pellerin le 2 mai 1677 ; deux filles seulement lui survécurent. Mais le nom de la famille s’est conservé en s’attachant à la
d’officier de navigation à bord de l’Anne Francis. La flotte de Frobisher quitta Harwich le 31 mai 1578, aborda au Groenland, en prit possession au nom de l’Angleterre et poussa jusqu’à
inscrites à son nom jusqu’à une date qui se situe entre 1673 et 1675.
Au début de juin 1670, Bayly partit de la Tamise à destination de Port
la colline du mont Royal, aujourd’hui à l’ouest de l’avenue du Parc. Une petite rue y rappelle encore son nom. Il avait également deux autres propriétés, rue Saint-Paul
détails précis sur la vie privée de Baillif. Il serait né et aurait grandi en Basse-Normandie (où le nom de « Baillif » est très répandu) et aurait rencontré Mgr de
apercevoir la terre au nord-est. Parry donna à cette terre le nom d’île de Baffin « pour honorer la mémoire de ce navigateur compétent et plein de hardiesse ». L’expédition revint à l’automne de 1615
collections historiques du Michigan), JACQUES, soldat, cultivateur et traitant en fourrures, fondateur de la famille canadienne distinguée qui porte ce nom, fils de Jean « Bavis » et
nom, qui fut emporté par le scorbut durant l’hiver de 1605–1606. Un ministre protestant faisait aussi partie du voyage
jusqu’au recensement de 1681. Il vint cependant plus tard à Québec, y fut juge suppléant du Conseil souverain en 1684 et y fut inhumé le 20 mars 1694. Ses descendants écrivent maintenant leur nom
. Trois Hurons distingués ont porté le nom d’Atironta au xviie siècle, suivant en cela la coutume indienne selon laquelle on ressuscitait et perpétuait le nom
, en 1642, il prit le nom d’un ancien chef, Atironta (circa 1615). Les hommes les plus éminents du pays
, abattit la croix érigée par les Jésuites et la remplaça par une autre portant le nom du roi d’Angleterre. Il se rendit alors à Sainte-Croix, où il détruisit les restes de la vieille colonie et s’empara d’un
, dans le Pays Basque français, probablement fils de Joanis d’Aprendestiguy ; mort vraisemblablement entre 1686 et 1689. La forme basque du nom, « Aprendestiguy », apparaît