SAINT-ÉTIENNE DE LA TOUR, CHARLES DE (son nom de famille fut peut-être Turgis), commerçant
, car on ne rencontre plus leur nom au Canada après 1668.
J. Monet
Lescarbot, mentionné une fois sous le nom de « Lescot ». Sagard, enfin, raconte et décrit des événements dont il fut pour une bonne part le témoin
tout net, disant : « On se trompe tellement aus gens que vous trouveres bon que je ne vous nome persone pour le Canada » (BN, Mélanges Colbert, 112bis, f.573). Mgr de Laval hésitait tout
ensuite possession des terres des Agniers au nom de Louis XIV par droit de conquête, et l’armée rentra dans ses quartiers. Les Iroquois acceptèrent alors les conditions de paix des Français et, cette fois
attestation écrite de son autorité ; peut-être refusa-t-il d’agir plus longtemps au nom de Willoughby. Néanmoins, il semble avoir continué à s’intéresser à Terre-Neuve, car un poème de Robert Hayman
, Naneogauchit, que le clergé voulait célébrer en grande pompe, une foule d’Amérindiens venus pour cette occasion se régalèrent du contenu de sa grosse marmite. Son nom figure comme marraine à ce baptême, ainsi
pourtant y parvenir. Villebon, de son côté, se trouvant trop menacé à Jemseg, construisit, encore en amont sur la rivière Saint-Jean, un autre fort auquel il donna le nom de Saint-Joseph ; ce nom n’a
, le 23 mars 1677, les îles Bouchard, « scituées prosche et attenant la grande isle qui porte le même nom, » qui avaient d’abord été concédées le 29 octobre 1672 à son frère François Robinau de
marchés », le jeune Roberts devint apprenti ou « facteur » au service d’un marchand londonien du nom de Thomas Harvey. Envoyé à Constantinople en 1617, il adressa une demande d’emploi à la
Royal, N.-É.) au nom de la compagnie et de la France, en vertu du traité de Saint-Germain-en-Laye, et faire de l’Acadie une colonie française. Une commission du roi, en date du 10 mai, accordait à
nom de Baltimore, la moitié de la valeur de deux navires français capturés par des vaisseaux d’escorte. Rayner s’empara aussi d’un vaisseau, le John, de Topsham, en invoquant la loi sur la
face de la ville, a porté le nom de Randin durant de nombreuses années.
Randin accompagna Frontenac, en 1673, dans sa mission commerciale et pacifique
agir au nom de ce dernier dans un différend fort compliqué au sujet du commerce des fourrures avec Samuel Georges, Jean Macain et autres. Le 1er janvier 1628, il fit une cession de créance à
) le 29. Marie enseigna à l’étable-école jusqu’en 1666. Cette année-là, on trouve son nom sur la liste du recensement de Trois-Rivières ; elle y est qualifiée de « maistresse descolles aux
Roquemont de Brison au nom de la Compagnie des Cent-Associés. Deux mois plus tard, à l’embouchure du Saint-Laurent, Roquemont était obligé de se rendre aux
O’Toole ; les documents relatifs à la cession et au retour de la relique ont été copiés sur les pièces officielles. Mais le fleuve Saint-Laurent doit son nom à Jacques
royales, pour souligner son mérite. Plus tard, en 1678, son nom figurait parmi ceux des 20 notables appelés à se prononcer sur la question du commerce de l’eau-de-vie
(Dauphiné), probablement de Benoît de Pécody et d’Énarde Martin, décédé le 1er mai 1688 et inhumé dans sa seigneurie.
Le nom de famille original
fort des Illinois, qui portait le nom de Prud’homme depuis l’année précédente. Le fils de ce dernier, Louis (1692–1769), homonyme du pionnier, naquit et mourut à Montréal ; il fut, dès 1751