. Charlevoix* et plusieurs autres après lui l’ont cru membre de la famille Robinau. Mais lui-même décline son nom et ses titres en plusieurs documents, établissant ainsi sa véritable identité. Quelques
est mentionné sous le nom de « de Sourdy ». Le même nom figure sur la liste des officiers qui ont guerroyé contre les Iroquois après l’échec de Phips. Il a aussi fait partie, en 1692, de
; son nom figure sur le contrat et sur le certificat de mariage. Madeleine apportait à son mari le fief et la maison appelée « Le Moteux
, né en France, peut-être à Pont l’Évêque (Calvados) ; circa 1699–1711.
Le nom Dièreville n’est pas inconnu en Normandie. On a
.
François Dollier eut au moins deux sœurs. L’une, née à Bellé près de Nantes en 1643, devint supérieure des Bénédictines du Calvaire d’Angers, sous le nom de Julienne-Angélique de Jésus Pâtissant, et mourut
au Mexique.
Nous ne connaissons qu’une partie de la vie d’Anastase Douay, récollet de la province de Saint-Antoine en Artois. Son nom est presque
femme de Doucett résidait avec lui en Nouvelle-Écosse, mais son nom nous est inconnu. En 1721, ils avaient six enfants. En 1723, Isabella et Honoria Doucett, tantes et tutrices de quatre des enfants de
François*, connu sous le nom de frère Luc. L’église dont le frère Luc dessina les plans pour le compte des Récollets durant son séjour à Québec, soit du mois d’août 1670 au mois de novembre 1671, se
-Christophe Dufrost de La Gemerais et de Marie-Renée Gaultier de Varennes, décédé sur la rivière Rouge le 10 mai 1736.
Le nom s’écrit le
moments le marquis de Crisafy, gouverneur de Trois-Rivières, décédé le 6 mai 1709. La plupart des inventaires notariés de l’époque inscrivent à son nom des vacations pour soins, opérations
Renaud* d’Avène de Desmeloizes. Il acquit également la seigneurie qui a porté les noms de Dombourg, de Pointe-aux-Trembles et de Neuville, attenante à celle de Maur à l’ouest. Elle fut achetée à Jean
fermes. Il acquit plusieurs seigneuries, notamment celle de Grandrif, qu’il ajouta à son nom. Son fils acheta la charge de conseiller secrétaire du roi, maison et couronne de France, au parlement de
loin. Dutisné dut donc redescendre le Missouri jusqu’à l’embouchure de la rivière Osage qu’il remonta pour arriver au pays des Indiens du même nom. Là aussi, on le reçut amicalement, mais on
des forces de l’Ouest ; il fut même légèrement blessé au combat.
L’année suivante, en 1688, Enjalran passa en France. Subséquemment le nom
de Pensens commença en 1725, lorsqu’il fut chargé de préparer la prise de possession de l’île Saint-Jean, au nom du roi, au printemps de l’année suivante. On avait concédé les îles Saint-Jean, Miscou
terre et de la pêche ; il avait fait bâtir un manoir et un moulin. De plus, la seigneurie portait son nom.
Une profonde modification survint dans
Québec. Son nom figurait sur la liste des passagers de la Charente en avril et, en mai, le roi avertit Frontenac et Champigny que Franquelin, son hydrographe, retournait à Québec. Mais, en
le nom de Marie-Rose. Ses trois fils furent « tués et estropiés au service du Roy » en Louisiane. L’aîné de ses petits-fils, François-Henri de Thiersant, épousa la fille d’un académicien
nom de Jean-Baptiste sur une « liste de 28 cadets ordonnés par la Cour en 1731, et dont la paie commencera du 1er janvier 1732 ». Cela indique qu’il dut faire, selon la coutume, de
commission de greffier en blanc, c’est lui en tout cas qui y porta le nom de Genaple, le 10 mars 1685, en remplacement de Rageot « que ses Infirmitéz ont mis hors d’Estat de servir