; son nom figure sur le contrat et sur le certificat de mariage. Madeleine apportait à son mari le fief et la maison appelée « Le Moteux
est mentionné sous le nom de « de Sourdy ». Le même nom figure sur la liste des officiers qui ont guerroyé contre les Iroquois après l’échec de Phips. Il a aussi fait partie, en 1692, de
de mieux le leur prouver, il acquit une collection de tableaux, qui depuis porte son nom, d’un banquier parisien ruiné qui avait lui-même acheté ces œuvres comme biens nationaux. Ces tableaux de maître
du nom de John MacKay. Dès 1802, il avait quitté la MacKay and Company, probablement à la suite d’un procès au civil pour dette que son employeur lui avait intenté avec succès cette année-là. Dans
; Québec, 1939–1940) et Desjardins (Lévis, 2004–2015) – noms de la Revue Desjardins avant 1941 et après 2004 –, plusieurs textes et témoignages historiques sur le rôle de Dorimène
, Desjardins obtient les noms de nombreux coopérateurs français, belges, italiens et suisses, tous dirigeants de banques populaires ou de caisses rurales, avec lesquels il entre en contact. Pendant plusieurs
industrielle, avant d’être annexée en 1918. L’avenue Desjardins, qui traverse l’ancien domaine Mathieu, rappelle depuis cette époque le nom de ce grand promoteur. Desjardins fit en outre l’acquisition d’une
.
Les Desilets descendent d’Antoine Desrosiers qui arriva à Trois-Rivières en 1645 et dont les enfants, selon l’usage du temps, prirent le nom des terres qu’ils occupaient : Lafrenière, Du
nom de Peter. Même si ses lettres de créance furent jugées suffisantes, il se révéla alcoolique et il dut partir à son tour, ce qui, à ce qu’on dit, jeta de la confusion au sein de la communauté. En
1892 à Saint-Épiphane, Québec.
Le jeune Georges-Honoré figure au recensement de 1851 sans nom de famille. En 1861, il porte le nom de son père adoptif
le nom de « Jean Baptiste Maison Basse, orfèvre » âgé de 49 ans et habitant rue Sous-le-Fort. D’autre part, dans un document daté du 6 octobre 1745, l’épouse de l’artiste est
; décédé le 9 janvier 1797 à Raffetot (près de Rouen, France).
Charles Deschamps de Boishébert entra tôt dans la carrière des armes. Son nom
fait que son nom ne figure plus aux registres après cette date est peut-être lié à la réintégration, en octobre, de Phillips Callbeck* et de
associé de Desbarats ; une entente officialisa alors un accord remontant au 23 octobre 1799. Toutefois, le nom de Neilson, déjà propriétaire d’une imprimerie, n’apparut jamais publiquement
somme de 1,50 $ par année, cette publication paraissait encore en 1984, malgré de nombreux changements de propriétaire et de nom. En même temps, Desbarats crut le moment venu de créer une autre
les liaient l’un à l’autre, mais il y a quelques indications que ce fut une association tendue. Leurs noms apparaissaient côte à côte sur de nombreux documents gouvernementaux, de 1831 à 1842, et en
loge franc-maçonne L’Émancipation de Montréal ; les noms de quelques membres de cette société secrète seront rendus publics en 1910. En 1902, en compagnie de Godfroy
d’accord anglo-français qui aurait autorisé la flotte de grande pêche française à se procurer de l’appât sur la côte sud de la colonie. Le gouvernement parlait au nom des marchands, qui étaient
; P-417/11, nº 1037; 13, nos 1113, 1141.— APC, MG 24, B2, 17–21.— BVM-G, Fonds Ægidius Fauteux, notes compilées par Ægidius Fauteux sur les patriotes de 1837–1838 dont les noms commencent par
. Charlevoix* et plusieurs autres après lui l’ont cru membre de la famille Robinau. Mais lui-même décline son nom et ses titres en plusieurs documents, établissant ainsi sa véritable identité. Quelques