prolifique auteure incluait toujours son nom de jeune fille avant le nom de son mari. (À la mort de ce dernier, en 1924, la notice nécrologique publiée dans le Calgary Daily Herald indiqua qu’il avait
s’élevait à plus de £11 000. Plusieurs de ses propriétés étaient inscrites aux noms de ses huit enfants dont trois filles nées à Terre-Neuve : Placentia, America et Carolina. Gledhill avait aussi
du Grand-Sault, sur la rivière Saint-François ; le lac Glasier, non loin de là, perpétue leur nom.
L’association des frères Glasier atteignit le
.
Le nom de Beamsley Perkins Glasier figure dans un registre militaire pour la première fois en 1745, alors qu’il était enseigne dans le 5e régiment du Massachusetts qui participa à
major, puis, le 25 décembre 1801, lieutenant-colonel. La première de ces promotions eut pour effet d’enlever son nom du rôle des commandants de compagnie et de le rendre éligible à un
occasions son nom avait été proposé pour ce poste.
Glandelet était-il janséniste ? Plusieurs accusations en ce sens ont été portées contre lui. Les
réduisant de quatre à trois ans la « cléricature » des étudiants. Il avait le premier suggéré l’idée d’un tableau où seraient inscrits tous les noms et adresses des notaires en exercice dans la
14 novembre 1820.
Le nom de Glackemeyer est également mis en lumière dans les périodiques de Montréal et de Québec à deux reprises au
l’abandonnèrent vers le premier tiers du trajet, au havre Long dans la baie Fortune (aujourd’hui, non loin de là, un lac porte son nom). Quatre Indiens les remplacèrent, mais l’un d’eux mourut quelques jours
GIRTY, SIMON (à l’origine, le nom était peut-être Geraghty), interprète au département des Affaires
, et de Marie-Anne Pageot, décédé le 25 décembre 1869 à Saint-Casimir, Québec.
Le nom des Giroux est rattaché à l’architecture religieuse bien avant
Niger. Il implanta des politiques qui seraient connues sous le nom de « gouvernance indirecte » (administration par les chefs indigènes), avant même que Lugard les ait formulées complètement
ans et dix ans. C’est alors que le jeune Jean-Joseph se mit, si l’on peut dire, à l’école de la famille Baillairgé dont le nom était déjà bien connu à Québec. Dans le journal qu’il tint plus tard avec
d’enseignement. C’est à son nom que vont les quelques subventions gouvernementales. Pour la nomination des professeurs, par exemple, mais aussi pour les règlements de discipline des élèves, directeur et fondateur
d’un ouvrage de l’agronome William Evans* publié en 1835. Depuis 1831, sous son propre nom ou sous des pseudonymes divers tels que Jean-Paul
, et une milice efficace.
Par l’Acte du Manitoba, le 15 juillet 1870, on créait la province du même nom qui devenait une partie du Canada. Selon
membre du conseil du séminaire, il fut, comme tel, l’un des neuf prêtres à signer la requête demandant à la reine Victoria l’octroi de la charte de l’université Laval, en 1852. Même si, après 1854, son nom
en 1804 et enregistrée en 1812 comme société en nom collectif, grâce à son oncle, Allan Gilmour l’aîné, principal associé de la compagnie. Son assiduité au travail et sa compréhension rapide du
associés majoritaires de la société, désormais connue sous le nom de Rankin, Gilmour and Company, que Rankin allait réorganiser et dont il allait installer le siège social à Liverpool. Gilmour l’aîné
à devenir les principaux associés. En 1816, la firme changea son nom pour Gillespie, Moffatt, and Company. Outre George