, le 23 mars 1677, les îles Bouchard, « scituées prosche et attenant la grande isle qui porte le même nom, » qui avaient d’abord été concédées le 29 octobre 1672 à son frère François Robinau de
pourtant y parvenir. Villebon, de son côté, se trouvant trop menacé à Jemseg, construisit, encore en amont sur la rivière Saint-Jean, un autre fort auquel il donna le nom de Saint-Joseph ; ce nom n’a
, Naneogauchit, que le clergé voulait célébrer en grande pompe, une foule d’Amérindiens venus pour cette occasion se régalèrent du contenu de sa grosse marmite. Son nom figure comme marraine à ce baptême, ainsi
attestation écrite de son autorité ; peut-être refusa-t-il d’agir plus longtemps au nom de Willoughby. Néanmoins, il semble avoir continué à s’intéresser à Terre-Neuve, car un poème de Robert Hayman
ensuite possession des terres des Agniers au nom de Louis XIV par droit de conquête, et l’armée rentra dans ses quartiers. Les Iroquois acceptèrent alors les conditions de paix des Français et, cette fois
tout net, disant : « On se trompe tellement aus gens que vous trouveres bon que je ne vous nome persone pour le Canada » (BN, Mélanges Colbert, 112bis, f.573). Mgr de Laval hésitait tout
Lescarbot, mentionné une fois sous le nom de « Lescot ». Sagard, enfin, raconte et décrit des événements dont il fut pour une bonne part le témoin
, car on ne rencontre plus leur nom au Canada après 1668.
J. Monet
SAINT-ÉTIENNE DE LA TOUR, CHARLES DE (son nom de famille fut peut-être Turgis), commerçant
Tour du fort Pentagouet. Il rentra alors en France, où il vendit une partie de ses terres champenoises ; en outre, il présenta une requête au nom de son fils Charles, gouverneur suppléant de
-Louis (au-dessus de Lachine) auxquelles on donna le nom de Gentilly. On y appela M. de Fénelon, qui avait déjà l’expérience de la vie chez les Premières Nations. Il se fit concéder ces îles en bonne
un jeune Huron, du nom de Savignon, en échange d’un jeune Français [peut-être Étienne Brûlé], qu’il avait
d’abord sous le nom de Marie de Saint-Bernard, née au château de Saint-Germain, en Anjou, le 7 septembre 1616, et décédée à Québec le 4 avril 1652
.
Son nom de baptême s’écrit parfois John ou Johannes ; son nom de famille s’épelle Scolnus, Scoluus, Scolus, Szkolny, Kolno, Skolvsson. On en connaît d’autres variantes. Sa nationalité est
.
On a dit qu’il était chef « etchemin », mais les Indiens de la rivière Saint-Jean portent de nos jours le nom de « Malécites ». Il était alors installé dans un village appelé
et, à sa demande, le nom de Tous-les-Saints. Quelques heures avant sa mort, le 3 novembre 1657, elle prononçait ses derniers vœux, devenant la première Indienne à entrer en religion. Elle fut inhumée à
STOURTON, ERASMUS, probablement le deuxième pasteur anglican (le premier dont le nom est connu) à venir à Terre-Neuve
Daumont de Saint-Lusson, qu’il chargea de prendre possession, au nom du roi de France, de tout le centre américain. En outre, Saint-Lusson devait avancer le plus loin possible, tant qu’il aurait
. Tessouat, mort en 1636], qu’on n’avait pas encore ressuscité ou « caché » par une cérémonie au cours de laquelle son nom et ses pouvoirs seraient transmis à un autre
gouverneur une lettre du père Millet*, jésuite, comme gage de sa sincérité. Il lui offrit des colliers de porcelaine au nom des plus importantes