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Garland en écrivant de nombreuses nouvelles basées sur des aventures se déroulant à la frontière écossaise, sous le pseudonyme de « A Monk of G.[renville] Abbey » (nom de sa maison de
Henry Bibb*, vers septembre 1853. Il prit alors le nom de John Anderson et travailla par la suite comme plâtrier et manœuvre à Hamilton et à
 
de Detroit, et son nom n’a pas été conservé. Dans sa notice nécrologique, le Daily Advertiser de London affirme que sa mère était de pure race indienne et qu’il n’était « pas peu fier de
ASSIGINACK (Assikinock, Assekinack), JEAN-BAPTISTE (connu également sous le nom de Blackbird), chef outaouais et
 
Canada vers 1815, après avoir déserté son navire, si on en croit la légende. Son changement de nom donne de la crédibilité à cette histoire : alors qu’il vendait des terrains en 1837, il se servait de
Rome en 1862 pour régler une « affaire importante » au nom des évêques canadiens et pour répondre à l’invitation du pape de participer à la canonisation de 26 martyrs japonais. Il en était
 
. Les journaux, et en particulier le New Brunswick Courier où Robert Gowan* menait, sous le nom de plume de John Gape, une campagne
un « véritable despotisme papiste, sous le signe d’institutions qui n’étaient libres que de nom ». En conséquence, il était impérieux de remporter au moins l’une des circonscriptions privées
la société (1859–1861), son nom est associé à l’érection du monument aux Braves de 1760. Lorsqu’en 1860 les fonds manquent pour parachever le monument, Bardy multiplie les appels dans la presse et à
 
BAVEUX, JEAN-CLAUDE-LÉONARD (connu au Canada sous le nom de Jean-Claude Léonard), prêtre, sulpicien, oblat de Marie
 
 station ferroviaire de cet endroit porta durant de nombreuses années le nom de « Bayard ». A. D. Gibbon
 
épousa Sarah Crawford Magdalen (dont le nom de famille est inconnu) et de cette union naquirent au moins 15 enfants ; décédé le 28 mars 1868 à Londres
[...] (Londres, 1824). Cet ouvrage le fit s’intéresser au sort d’un petit groupe de protestants, connus sous le nom de Vaudois, qui vivaient au Piémont, dans les vallées de Pignerol. Beckwith séjourna chez les
fiction rédigée par une Canadienne de naissance, la première aussi à être publiée au Haut-Canada. Le roman ne porte pas de nom d’auteur et est dédié à la comtesse de Dalhousie. L’ouvrage fut vendu par
 
the year of our Lord 1824 [...], qu’il édita par la suite chaque année. En 1833, l’ouvrage prit le nom de Belcher’s farmer’s almanack
 
avec prudence en raison du fait que le nom d’Andrew Bell est très répandu. C’est donc la lecture des propres ouvrages de Bell (certains passages pertinents, les pages de titre et les pages préliminaires
 
. Un individu de ce nom décédé en 1863 à l’âge de 51 ans est bien un des associés de cette maison. Sur ce point, le testament de Joshua Bell en 1861 est assez explicite : les deux frères sont dits
 
acheteurs ; il ouvrit aussi plusieurs rues dont l’une porte encore son nom. Cette spéculation lui apporta la fortune. Il s’occupa avec d’autres concitoyens de l’érection de Bytown en ville, projet qui
démission de Blake, ce dernier aurait quitté son poste sans achever la réorganisation de tout le système judiciaire du Haut-Canada, œuvre à laquelle son nom reste attaché. En 1843, Blake avait accepté, avec
plus longues dans les journaux de Halifax de 1831 à 1833 dont les noms suivent : l’Acadian and General Advertiser, l’Acadian Recorder, le Halifax Journal et le
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