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-Sault, et au sud jusqu’aux abords du lac Champlain. À la même époque, il fournit les matériaux pour les trois premiers navires construits à Québec, les flûtes Canada et Caribou et la
 
of the Champlain valley [...] (Albany, N.Y., 1863), 178–184.— Margaret Angus, The Macaulay family of Kingston, Historic Kingston (Kingston), 5 (1955–1956) : 3–12.
 
Dosquet, le 21 octobre de la même année, dans la chapelle du palais épiscopal. L’année suivante, il succédait à Joseph Dufrost de La Gemerais comme curé de la paroisse de Champlain. En
 
, 18081838, et de Champlain, 1830–1838 (« Pages trifluviennes », sér. A, 12, Trois-Rivières, 1934), 45–48 ; Membres du Conseil spécial, BRH, VII (1901) : 82s.— F.-L
 
Payen* de Noyan ; il quitta son poste l’année suivante, décoré de la croix de Saint-Louis. En 1735, il reçut une seigneurie sur le lac Champlain, qu’il perdit six ans plus tard, faute de l’avoir
-Unis et établis sur les rives du lac Champlain. Chaque année, de 1818 à 1850, il réserva une quinzaine de jours à cette population qui ne pouvait être desservie, faute de prêtres américains. S’y rendant
1758 et à la poussée effectuée par Amherst* qui remonta le lac Champlain en 1759. Il semble que McKinnon ait été présent lorsqu’une partie du
 
, Documents inédits sur le Canada (Paris, 1865), 24–51.— Voyages of Cartier (Biggar), 251–253 ; App. VI ; 313s.— N.-E. Dionne, La Nouvelle-France de Cartier à Champlain, 1540–1603
 
, Tercentenary history of Canada from Champlain to Laurier 1608–1908 (3 vol., New York and Toronto, 1908), I : 270s.— G. M. Wrong, The rise and fall of New France (2 vol., Toronto
 
 déc. 1822, 22 janv. 1824.— F.-J. Audet, les Députés de Saint-Maurice (1808–1838) et de Champlain (1830–1838) (Trois-Rivières, Québec, 1934).— Germain Lesage, Histoire de
 
Iroquois (le Richelieu) et du lac Champlain, où ils réussirent plusieurs raids contre une bande d’Iroquois, en capturant deux après en avoir tué un bon nombre. Lorsqu’ils retournèrent à la mission de Sillery
. Polette avait épousé, en premières noces, à Champlain, le 20 février 1830, sa cousine Henriette, fille de Jean-Baptiste Dubuc, marchand bien connu de Québec et de Batiscan ; en secondes noces
 
guerre pouvant naviguer sur les lacs Champlain et Ontario. Au cours de l’hiver 1755–1756, Cressé fut envoyé avec un groupe d’ouvriers au fort Frontenac (Kingston, Ont.) où il commença la construction de
 
dans la région du lac Champlain, les avait coupés et flottés jusqu’à Québec où ils avaient été saisis par Robertson et Price sous prétexte qu’ils avaient été coupés sur leurs terres
, auxquels il reprochait leur ingratitude et leur exigence pour les services que lui-même ou son vicaire leur rendaient à leur mission de la rue Champlain. Ces difficultés avec les Irlandais piquèrent sa
 
Nouvelle-France. Le 10 avril 1733, on lui concéda un fief de six lieues carrées, appelé Livaudière, sur le lac Champlain, mais la propriété étant demeurée inexploitée, retourna à la couronne
 
, Bégon* écrit qu’ « il remplit bien ses fonctions et avec capacité ». À sa mort, il laisse deux propriétés à Montréal et un fief appelé La Moinaudière sur le lac Champlain
Québec. À cette époque, de plus, Michel et le gouverneur Beauharnois concédèrent à Louis-Joseph une grande seigneurie, appelée Rocbert, sur le lac Champlain. Celle-ci fut réunie au Domaine du roi en 1741
 
Montréal qu’elle fut rappelée et renvoyée en toute hâte au lac Champlain. On venait d’apprendre que le major général, James Abercromby*, avait
 
aumônier de l’armée au lac Champlain en 1666. Plus tard, en 1674, il essaya de calmer les esprits dans le conflit survenu entre le gouverneur de
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