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PALLISER, JOHN, propriétaire foncier, chasseur de gros gibier et explorateur, né le 29 janvier 1817 à Dublin, fils aîné du colonel Wray Palliser et d’Anne Gledstanes, décédé le 18 août 1887 à Com[e]ragh House, Kilmacthomas, dans le comté de Waterford (République d’Irlande).
John Palliser appartenait à une famille irlandaise distinguée, fondée par William Palliser, archevêque de Cashel, qui était venu en Irlande du Yorkshire, Angleterre, pour entrer au Trinity College à Dublin en 1660. Fervents protestants, les Palliser occupaient un rang élevé dans la société et menaient une vie sociale, artistique et intellectuelle active ; par tradition, la famille s’occupait de la chose publique et était d’allégeance conservatrice en politique. Les Palliser voyageaient beaucoup et ils vivaient non seulement en Irlande à Derryluskan House, dans le comté de Tipperary, à Comragh House et à Dublin, mais aussi à Londres, à Rome, à Florence, Italie, à Paris et à Heidelberg (République fédérale d’Allemagne).
John Palliser fit en grande partie ses études à l’étranger et parlait le français, l’allemand et l’italien ; cependant, en anglais, son orthographe était capricieuse. Il entra au Trinity College à Dublin en 1834, assista irrégulièrement aux cours et abandonna ses études quatre ans plus tard sans avoir reçu de diplôme. D’autres intérêts et d’autres occupations le réclamaient. La position sociale de sa famille comportait des obligations, et Palliser remplit les fonctions de shérif en chef en 1844 et, plus tard, celles de lord-lieutenant adjoint et de juge de paix. Le 20 septembre 1839, il avait été nommé capitaine dans le régiment de son père, la Waterford Artillery Militia, mais on ne retrouve aucun document mentionnant sa participation active jusqu’à ce que le régiment fût appelé en service le 14 janvier 1855. Il servit la plus grande partie de cette année-là, prenant part aux manœuvres d’artillerie à Woolwich (maintenant partie de Londres), du 6 février au 6 mai, et commandant par la suite un détachement à Duncannon Barracks, dans le comté de Wexford. Palliser se trouvait en Amérique du Nord lors de la mobilisation du régiment en 1857. Il reprit de nouveau le service pendant peu de temps en 1862, mais il était encore à l’étranger lorsque le régiment fut rassemblé en 1863 et il donna sa démission qui devait entrer en vigueur le 14 juillet 1864. Bien qu’on l’appelle habituellement capitaine Palliser, il ne semble pas avoir eu d’autre expérience militaire.
Les voyages « à la recherche de l’aventure et du gros gibier » semblent avoir été la préoccupation dominante de Palliser et de la plupart de ses frères et de ses amis. Un de ceux-ci, William Fairholme, qui devait devenir son beau-frère en 1853, partit chasser le bison en 1840 dans les « grandes prairies du Missouri ». Dans son désir de l’imiter, Palliser entreprit un voyage au Nouveau Monde au début de l’année 1847, pour visiter des endroits tels que « les régions encore habitées par les aborigènes d’Amérique [...], cet océan de prairies se prolongeant jusqu’au pied des vastes montagnes Rocheuses ». Il passa 11 mois dans les Prairies à chasser le bison (« sport noble »), l’orignal, l’antilope et le grizzly, et à observer les mœurs des Indiens et des trafiquants de fourrures. Il quitta l’Ouest en 1848 et visita La Nouvelle-Orléans et Panamá sur le chemin du retour. Rentré à Londres en 1849, il y vécut avec son grand ami William Sandys Wright Vaux, du British Museum, et il écrivit un livre vivant sur ses aventures en Amérique du Nord intitulé Solitary rambles and adventures of a hunter in the prairies, qui parut à Londres en 1853 et connut plusieurs éditions.
Désireux de retourner dans les plaines de l’Ouest, Palliser, qui avait été élu fellow de la Royal Geographical Society de Londres le 24 novembre 1856, présenta à la société un plan d’exploration des plaines du sud de l’Amérique du Nord britannique et des cols adjacents qui traversaient les Rocheuses. Il proposait de faire personnellement le voyage en compagnie de voyageurs et de chasseurs locaux à travers les plaines peu connues et les montagnes situées immédiatement au nord du 49e parallèle. Parfaitement au courant des explorations américaines officielles qui se faisaient depuis 1853 pour découvrir des voies vers le Pacifique en vue d’y construire un chemin de fer, la société entra aussitôt en action. Elle prit la décision de recommander une entreprise plus ambitieuse, qui comprendrait des collaborateurs du domaine scientifique, et elle demanda au ministère des Colonies une subvention de £5 000 pour financer le projet.
John Ball, sous-ministre des Colonies et ami de longue date de Palliser, appuya fortement le projet mais y ajouta cependant un troisième aspect. Il exigea qu’on explorât l’ancien itinéraire utilisé par les canots de la North West Company, afin d’aider le ministère des Colonies à juger si l’on pouvait ou non atteindre les plaines de l’Ouest en venant du Canada par un chemin traversant entièrement le territoire britannique. On disposait de peu de renseignements sûrs concernant la géographie, la géologie, le climat, la flore, la faune et les ressources des plaines. De plus, « la possibilité [d’y faire] de l’agriculture » et de la colonisation constituait un sujet de controverse entre la Hudson’s Bay Company et ses critiques. Palliser était un des rares hommes possédant une expérience des voyages dans les Prairies qui fût désintéressé de cette controverse de plus en plus importante au sujet de l’avenir de l’ouest de l’Amérique du Nord britannique. Ball et le ministre des Colonies, Henry Labouchere, pensaient qu’il serait un observateur impartial et qu’il leur fournirait les connaissances dont ils avaient un urgent besoin. Les témoignages contradictoires entendus au comité spécial de la chambre des Communes sur la Hudson’s Bay Company, dont les audiences commencèrent le 18 février 1857 et dont le rapport parut à la fin de l’été, accentuaient ce besoin. Le gouvernement du Canada s’intéressait aussi à l’avenir de l’Ouest et, la même année, il organisa sa propre expédition d’exploration que dirigèrent George Gladman* en 1857, puis Henry Youle Hind* et Simon James Dawson* en 1858.
Ball travailla en étroite collaboration avec Palliser à dresser des plans détaillés. Ils consultèrent la Royal Society et d’éminents hommes de science, tels le major général Edward Sabine, sir William Jackson Hooker, sir John Richardson* et sir Roderick Impey Murchison, président de la Royal Geographical Society. Ils consultèrent aussi les quelques voyageurs qui connaissaient le territoire à l’ouest des Grands Lacs et, le plus important de tous, sir George Simpson*, gouverneur des territoires de la Hudson’s Bay Company en Amérique. La compagnie fournissait encore les seuls moyens de communication pour Rupert’s Land et le territoire des Indiens, plus loin, ainsi que les sources d’approvisionnement ; l’aide de Simpson allait se révéler essentielle au succès de l’expédition.
Grâce en grande partie aux efforts de Ball, la Trésorerie se décida enfin à affecter £5 000 à l’entreprise. Ces fonds durent être augmentés plus tard car les frais de l’expédition s’élevèrent à la fin à quelque £13 000. On engagea une équipe technique, composée de James Hector, géologue, naturaliste et médecin, d’Eugène Bourgeau*, botaniste collectionneur, du lieutenant Thomas Wright Blakiston de la Royal Artillery, observateur des variations magnétiques, qui faisait aussi des observations ornithologiques par intérêt personnel, et de John William Sullivan, secrétaire et astronome. Les autorités savantes concernées donnèrent chacune des instructions d’ordre scientifique, mais c’est sous les directives du ministre des Colonies qu’on accepta Palliser comme chef de l’expédition. C’était une mission redoutable pour un propriétaire foncier sans expérience des affaires ni formation professionnelle ; il était cependant le seul membre du groupe à avoir une connaissance de l’Ouest.
Palliser fit voile vers New York le 16 mai 1857 avec Hector, Bourgeau et Sullivan. À Sault Ste Marie, ils prirent deux canots qui les attendaient avec leurs équipages de voyageurs puis ils continuèrent leur périple par bateau à vapeur, traversant le lac Supérieur encombré de glaces jusqu’à l’Isle Royale, Michigan. Là, le 12 juin, ils montèrent dans les canots et, après avoir avironné péniblement et fait du portage pendant un mois, ils arrivèrent à Lower Fort Garry (Manitoba), sur la rivière Rouge. Pendant qu’ils préparaient les hommes, les chevaux, les charrettes, les provisions, les cadeaux pour les Indiens, les munitions et les autres approvisionnements dont Simpson et la Hudson’s Bay Company les avaient pourvus, les explorateurs consultèrent les personnes bien informées de la région et étudièrent de près la colonie de la Rivière-Rouge.
Le 21 juillet, l’expédition partit en direction sud à travers les plaines, en remontant la rivière Rouge jusqu’à la frontière américaine, où les membres du groupe firent des observations soigneuses en collaboration avec Charles W. Iddings, un arpenteur américain rencontré par hasard. De Pembina (Dakota du Nord), le groupe se dirigea vers l’ouest en passant par St Joseph’s (Walhalla) et le mont Turtle (Manitoba) et poursuivit jusqu’au fort Ellice (Fort Ellice, Manitoba) où un remarquable guide métis, James McKay*, se joignit à lui. Ils firent un voyage rapide jusqu’à la frontière, à Roche Percée (Saskatchewan), avant de partir pour la rivière Saskatchewan-Sud. Près du lieu dit Elbow, ils tournèrent vers le nord-est en direction de Carlton House (Saskatchewan), sur la rivière Saskatchewan-Nord, qui allait leur servir de base pendant l’hiver. Palliser partit pour New York en passant par St Paul (Minnesota) afin de solliciter plus de temps et plus d’argent auprès du ministère des Colonies. En attendant la réponse, il visita de nouveau La Nouvelle-Orléans ; il retourna à Carlton House de façon à pouvoir en repartir aux premiers jours du printemps de 1858. Pendant ce temps, Blakiston s’était joint au groupe à Carlton House. Il était passé par la baie d’Hudson, apportant avec lui les instruments fragiles nécessaires aux observations magnétiques, et il faisait des observations à toutes les heures. Hector avait fait le voyage jusqu’au fort Edmonton (Edmonton) pour engager des hommes en vue du travail à faire la prochaine saison.
À l’arrivée de Palliser, les explorateurs prirent la direction de l’ouest entre les deux bras de la rivière Saskatchewan. Près de l’endroit appelé aujourd’hui Irricana (Alberta), le groupe se sépara pour chercher des cols praticables dans les montagnes. Palliser et Sullivan firent un saut à la frontière américaine avant de traverser les montagnes par le col North Kananaskis. Ils revinrent par le col North Kootenay et rejoignirent le reste du groupe pour passer l’hiver au fort Edmonton.
Blakiston, qui avait passé les cols North Kootenay et South Kootenay, quitta alors l’expédition à cause d’une querelle avec Sullivan qui prit de l’importance au point d’y inclure Palliser. Hector avait franchi les montagnes par le col Vermilion et était revenu par le col du Cheval-qui-rue ; il consacra l’hiver à faire d’autres explorations. Palliser chassa et explora le pays au sud et à l’est du fort. Puis, avec deux amis nouvellement arrivés, le capitaine Arthur Brisco et William Roland Mitchell, il fit un voyage jusqu’à Rocky Mountain House (Alberta) pour faire la connaissance des Pieds-Noirs et des Piegans qui y venaient souvent, puisqu’il avait l’intention de traverser leur territoire pendant la prochaine saison. Au fort Edmonton, le groupe entier profita de l’hospitalité de l’agent principal William Joseph Christie* ; Palliser, qui était très sociable, donna un bal extraordinaire avec le concours de Mme Christie.
Pendant sa dernière saison, en 1859, l’expédition se déplaça vers le sud-est jusqu’aux fourches des rivières Red Deer et Saskatchewan-Sud pour tenter de rejoindre le point situé le plus à l’ouest qu’elle avait atteint en 1857 ; puis elle se dirigea au sud vers les monts Cypress où le groupe se sépara. Brisco et Mitchell se rendirent au fort Benton (Fort Benton, Montana) et descendirent le Missouri. Hector alla vers le nord-ouest afin de traverser les Rocheuses par le col Howse dans une dernière tentative infructueuse de découvrir un passage vers la côte du Pacifique. Palliser et Sullivan se mirent en route directement vers l’ouest, puis vers le nord, franchirent les montagnes par le col North Kootenay, puis descendirent la rivière Kootenay jusqu’aux lacs Paddler (Bonners Ferry, Idaho). Sullivan ramena les chevaux par voie de terre jusqu’au fort Colvile (Colville, Washington), pendant que Palliser revenait par la rivière et le lac Kootenay dans un canot indien.
Au fort Colvile, Palliser et Sullivan s’équipèrent de nouveau pour traverser encore la frontière et tenter une dernière fois de terminer l’exploration d’une route qui traverserait le territoire britannique. Du fort Shepherd (Colombie-Britannique) sur le fleuve Columbia, Palliser envoya Sullivan en direction est. De son côté, il se fraya un passage en direction ouest, dans une région difficile, jusqu’à ce qu’il rencontrât, près de l’endroit appelé aujourd’hui Midway (Colombie-Britannique), un groupe d’Américains travaillant au tracé de la frontière qui fut effectué de 1857 à 1862. Il avait déjà rencontré le lieutenant Henry Spencer Palmer* des Royal Engineers ; celui-ci avait étudié la piste de la Hudson’s Bay Company, du fort Langley (Fort Langley), sur le cours inférieur du Fraser, jusqu’au lac Osoyoos, et il assura Palliser qu’elle était située au nord du 49e parallèle. Ce dernier fut ainsi convaincu qu’un itinéraire à travers le territoire britannique avait été établi. Hector se joignit de nouveau à Palliser et à Sullivan à leur retour au fort Colvile pour entreprendre un voyage difficile, la descente du Columbia ; ils poursuivirent jusqu’à Victoria, puis jusque chez eux, en passant par San Francisco et Panamá. Palliser fit un détour par Montréal pour rendre visite à Simpson. Il atteignit Liverpool (Angleterre) le 16 juin 1860.
Avant de mettre un terme au travail de l’expédition, il fallut écrire un rapport définitif, et vérifier et régler les dépenses qui dépassaient de beaucoup les subventions de la Trésorerie. Des membres du groupe prononcèrent des discours à des réunions de la British Association for the Advancement of Science, de la Royal Geographical Society, de la Geological Society of London, de l’Ethnological Society of London et de la Botanical Society of Edinburgh. Les rapports qui parurent en 1859, 1860 et 1863 ainsi que la grande carte (1865) fournirent les premières observations complètes, soignées et impartiales à être publiées sur la région sud des Prairies et des montagnes Rocheuses faisant aujourd’hui partie du Canada. Ils furent une source essentielle de renseignements pour les précurseurs de la colonisation tels que la Police à cheval du Nord-Ouest, les arpenteurs des frontières, les concepteurs du chemin de fer (notamment sir Sandford Fleming*) et d’autres voyageurs, et ils sont encore utiles. Ils augmentèrent considérablement les connaissances géographiques qu’on avait de la région et confirmèrent qu’une vaste « bande de terre fertile », très convenable à l’élevage du bétail et à la culture, confinait aux prairies partiellement arides du sud, qu’on appelle aujourd’hui le « triangle de Palliser ». Ils soulignaient la difficulté d’ouvrir une route praticable du fort William (maintenant partie de Thunder Bay, Ontario) à la rivière Rouge, l’ancienne route en canot de la North West Company, et les frais que cela entraînerait. Les colons propriétaires de bétail préféreraient la route beaucoup plus aisée passant par les États-Unis ; seule la découverte de gisements miniers pourrait justifier économiquement l’établissement d’une route au nord de la frontière. Ils concluaient que, bien qu’on pût construire un chemin de fer à travers les Rocheuses, par l’un ou l’autre des cols explorés par l’expédition, le coût d’une route ou d’un chemin de fer jusqu’au Pacifique, entièrement sur le territoire britannique, serait prohibitif. Ils insistaient sur l’importance d’assurer l’avenir des Indiens qui vivaient dans l’Ouest avant l’extinction des bisons et l’invasion du pays par les colons. L’expédition elle-même avait réussi à éviter tout conflit sérieux avec les Indiens des Plaines mais en prévoyait le danger lorsque commencerait la colonisation.
On doit en grande partie les notes et les observations détaillées de l’expédition aux collègues de Palliser. Mais l’existence même de cette expédition, qui démontra aux expansionnistes américains l’intérêt que portait le gouvernement impérial à l’Ouest, est due à l’initiative de Palliser, et c’est en bonne partie grâce à sa compétence et à son enthousiasme pour le voyage que l’expédition put parcourir une si grande étendue de pays pendant trois saisons. L’expédition mérita à Palliser la médaille d’or de la Royal Geographical Society en 1859 et, en 1877, il fut fait compagnon de l’ordre de Saint-Michel et Saint-Georges.
Palliser hérita des propriétés familiales à la mort de son père, en novembre 1862. Cette même année, il se rendit aux Antilles en mission semi-officielle, dont la nature demeure un mystère. Cependant, on sait que de Nassau il força le blocus « Yankee » afin de visiter les états confédérés. En 1869, il entreprit encore un autre voyage remarquable, cette fois avec son frère Frederick Hugh, dans son propre bateau renforcé, à destination de Novaya Zemlya (Union des républiques socialistes soviétiques) et de la mer de Kara. Cette fois encore, son but était la chasse au gros gibier et l’exploration.
De telles entreprises étaient dispendieuses. Nés riches, ni Palliser ni ses frères ne semblent avoir pu s’habituer à une baisse sensible de la fortune familiale. Ses fréquents voyages signifiaient que Palliser n’était pas souvent chez lui pour s’occuper des propriétés de la famille. Lourdement hypothéquées, ces propriétés avaient dû être sauvées par l’argent des Fairholme. À la mort de Palliser, elles passeront à l’aînée de ses nièces, Caroline Fairholme, qui, avec sa mère et ses sœurs ainsi que la famille de Frederick Hugh, avait trouvé un foyer à Comragh House en compagnie de son oncle célibataire qu’elle chérissait. C’est là que John Palliser mourut. Il repose dans le petit cimetière de Kilrossanty, dans le comté de Waterford.
Cette biographie repose essentiellement sur les mêmes sources dispersées et fragmentaires utilisées et notées dans mon travail d’édition du livre de la Champlain Soc., The papers of the Palliser expedition, 1857–1860 (Toronto, 1968). Depuis, quelques renseignements supplémentaires ont été recueillis à partir de documents confidentiels et personnels au Danemark et en Irlande. Ils sont d’un intérêt secondaire par rapport à la carrière de Palliser et ne changent pas les idées et les interprétations de base notées et exposées dans l’introduction, les notes infrapaginales sur les sources et les renvois dudit ouvrage. Ils ont cependant renforcé mon impression de l’importance des responsabilités et des liens familiaux dans la vie dudit explorateur comme celle de l’influence d’un groupe d’amis étroitement unis. Voir aussi : Irene M. Spry, « The Pallisers’ voyage to the Kara Sea, 1869 », Musk-Ox (Saskatoon, Saskatchewan), 26 (1980) : 13–20. [i. m. s.]
Irene M. Spry, « PALLISER, JOHN », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 11, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 16 nov. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/palliser_john_11F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/palliser_john_11F.html |
Auteur de l'article: | Irene M. Spry |
Titre de l'article: | PALLISER, JOHN |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 11 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1982 |
Année de la révision: | 1982 |
Date de consultation: | 16 nov. 2024 |