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BARCLAY, THOMAS HENRY, avocat, homme politique, officier de milice et fonctionnaire, né le 12 octobre 1753 à New York, fils aîné du révérend Henry Barclay et de Mary Rutgers ; le 2 octobre 1775, il épousa à West Falls (New York) Susan DeLancey, et ils eurent 12 enfants ; décédé le 21 avril 1830 à New York.
Thomas Henry Barclay fut l’un des plus célèbres loyalistes à s’établir en Nouvelle-Écosse. Son père, ministre anglican en vue, occupait la charge de rector de la congrégation Trinity à New York et sa mère était la fille d’un riche brasseur, lui même issu d’une vieille famille hollandaise de New York. Le mariage de Barclay resserra ses liens avec l’establishment de la colonie, les DeLancey étant depuis longtemps une des familles les plus influentes de New York.
Barclay passa les premières années de sa vie à New York. Après avoir obtenu son diplôme du King’s Collège en 1772, il entra au cabinet de John Jay comme étudiant et fut inscrit au barreau en 1775. Sa carrière d’avocat fut brusquement interrompue par la guerre d’Indépendance américaine. Vers la fin de 1776, il s’engagea dans les forces armées britanniques à New York et, en avril 1777, il reçut une commission de capitaine dans le Loyal American Régiment. Plus tard la même année, il fut promu major pour s’être courageusement battu au cours de la prise des forts Clinton et Montgomery, sur l’Hudson. En 1780, il fut nommé commandant de la Provincial Light Infantry, qui venait d’être créée. Barclay se distingua tout au long de la guerre et prit part aux combats dans l’état de New York, au New Jersey et dans les Carolines. Il fut capturé par les Français en 1781, tandis qu’il transportait des dépêches destinées à lord Cornwallis, mais il fut rapidement-libéré sur parole et rentra à New York. À la fin de la guerre, il fit partie d’un groupe d’officiers supérieurs qui explorèrent la rivière Saint-Jean afin de trouver des terres propices à l’établissement des troupes provinciales.
La propriété de Barclay à New York avait été saisie en 1776 et on mentionna formellement son nom dans la loi portant confiscation des biens et mort civile, adoptée par l’Assemblée législative de l’état de New York en octobre 1779. Il n’avait ainsi d’autre choix que de se joindre aux loyalistes émigrant vers le nord. Il envisagea d’abord de s’installer au Nouveau-Brunswick, mais il décida ensuite d’établir sa famille en Nouvelle-Écosse, dans le canton de Wilmot, dans la vallée, d’Annapolis, où lui et ses collègues officiers du Loyal American Regiment reçurent de vastes concessions. À la fin des années 1780, il habitait la ville d’Annapolis Royal et avait repris la pratique du droit.
Comme il convenait à un homme de son éducation et de son rang, Barclay eut tôt fait de se lancer dans la politique. Avec son compatriote loyaliste David Seabury, il fut élu député de la circonscription d’Annapolis aux élections législatives de 1785. Orateur talentueux, Barclay devint une figure dominante de la sixième législature, la première où les loyalistes étaient représentés. Il ne tarda pas à devenir le centre d’une controverse qui opposa les loyalistes aux préloyalistes, lorsque Alexander Howe*, issu d’une vieille famille de Nouvelle-Écosse, protesta contre l’élection de Seabury. Howe affirma que le shérif du comté d’Annapolis avait fait preuve de partialité en permettant à des partisans de Seabury de voter, alors qu’il avait interdit à certains des siens de le faire. Le comité parlementaire des élections, dont quatre membres sur cinq étaient des préloyalistes, donna raison à Howe et ordonna qu’on convoque de nouveau les électeurs. Seabury fut élu au cours de l’élection partielle qui suivit, mais son élection fut encore contestée. L’Assemblée mit fin au débat en invalidant le député Seabury et en déclarant Howe dûment élu. Tout au long de la controverse, Barclay avait appuyé son cocandidat et, en fait, avait aggravé la scission entre les anciens et les nouveaux colons en exhortant les loyalistes du comté d’Annapolis à s’unir derrière Seabury qui, affirmait-il, avait été injustement privé de son siège à cause de la partialité de l’Assemblée. La lettre incendiaire qu’il avait écrite en décembre 1785 sema le désaccord à la session de 1786. En dépit de l’opposition des députés loyalistes, une motion forçant Barclay à s’excuser de ses allégations de favoritisme fut en effet adoptée par les députés préloyalistes, qui formaient la majorité.
Au cours de la sixième législature, l’Assemblée se montra préoccupée par les questions constitutionnelles, traduisant en cela la maturité politique et l’ambition d’un grand nombre de députés loyalistes nouvellement élus. D’autres députés loyalistes, avec Barclay en tête, s’engagèrent résolument dans une campagne pour accroître l’influence de l’Assemblée en tant que branche représentative du Parlement. Le plus long conflit à survenir entre l’Assemblée et le Conseil de la Nouvelle-Écosse porta sur l’administration de la justice à la Cour suprême. Depuis la mort du juge en chef Bryan Finucane en 1785, les juges puînés Isaac Deschamps* et James Brenton*, constituaient la cour à eux seuls. Des plaintes concernant leurs actions poussèrent l’Assemblée à entreprendre une enquête pendant la session de 1787. La chambre conclut que les preuves étaient suffisantes pour motiver un examen approfondi des accusations par le lieutenant-gouverneur John Parr*. Son rapport officiel ne fut pas soumis à l’Assemblée avant la session de 1789. Entre-temps, cette question suscita la plus grande controverse à l’élection partielle de Halifax, tenue en février 1788, au cours de laquelle Jonathan Stems, l’un des loyalistes témoignant contre les juges, s’opposa à Charles Morris, un résident de Halifax intimement lié à la coterie officielle. L’opinion s’enflamma davantage, peu après l’élection, lorsque le conseil publia son propre rapport ; les conseillers y justifiaient complètement la conduite de leur collègue Deschamps et celle de Brenton, beau-frère de l’un d’eux. En mars, après que Stems et William Taylor, l’autre principal témoin à charge, eurent riposté en rendant publiques des lettres où ils énuméraient leurs accusations, Deschamps les raya du barreau pour outrage au tribunal. Le mois suivant, les deux hommes s’embarquèrent pour l’Angleterre afin de soumettre leur cas aux autorités impériales, tandis que, de Halifax, Parr dénonçait leur mission et lançait l’avertissement que leurs actions représentaient un défi direct au maintien de l’autorité britannique en Nouvelle-Écosse.
Tout en étant exprimée de façon moins théâtrale, la réponse officielle que fit Parr à l’Assemblée, le 12 mars 1789, témoignait de son appui sans réserve à la cause des juges et concluait que les preuves ne justifiaient pas les accusations portées contre eux. Barclay proposa immédiatement que le lieutenant-gouverneur fournisse copie des documents grâce auxquels le conseil avait disculpé les juges. Ce défi à l’indépendance du pouvoir exécutif fut défait par 14 voix contre 13, et le rapport de Parr fut déclaré satisfaisant par un vote tout aussi serré de 15 voix contre 14. Le débat n’était nullement clos : deux jours plus tard, Isaac Wilkins proposa de demander à Parr qu’il congédie ses conseillers pour lui avoir donné de « mauvais et dangereux » conseils sur la façon de régler les cas des juges. En appuyant cette motion, Barclay donna à ses collègues députés une leçon de théorie constitutionnelle. Il les pressa de se considérer comme les gardiens naturels des droits des Néo-Écossais, investis du pouvoir de surveiller la conduite du conseil et, en fait, celle du lieutenant-gouverneur lui-même. De nombreux députés qui avaient appuyé l’attaque contre les juges reculèrent devant des arguments si radicaux, et la proposition de Wilkins fut défaite par 21 voix contre 8.
À la session de 1790, l’Assemblée revint à l’affaire des Juges avec une vigueur nouvelle. On ouvrit une enquête officielle, où Barclay siégea comme principal accusateur, pour préparer l’impeachment contre Deschamps et Brenton. En fin de compte, 7 des 13 accusations figurèrent dans une adresse envoyée au roi en avril, demandant que les juges soient passés en jugement. Quand le rapport d’examen de cette affaire par le Conseil privé fut reçu à Halifax en août 1792, le temps et les efforts du nouveau juge en chef, Thomas Andrew Lumisden Strange*, avaient calmé une bonne partie du mécontentement envers la Cour suprême. Le rapport acquittait les juges de mauvaises actions délibérées, mais admettait qu’ils avaient à certains moments agi avec incompétence, ce qui avait constitué, en fait, l’essentiel des plaintes de l’Assemblée.
L’affaire des Juges avait dominé les débats parlementaires mais, en 1789, les députés se penchèrent sur la question litigieuse de la réforme électorale qu’ils avaient étudiée au cours de la première session, en 1785. Ils prenaient surtout à tâche d’obtenir un droit de regard sur la composition de l’Assemblée en statuant sur les élections contestées et en fixant les conditions à remplir pour devenir électeur et candidat, droits exercés par le lieutenant-gouverneur et le conseil avant la sixième législature. Le 31 mars 1789, Barclay présenta une proposition en deux parties dans laquelle il revendiquait ces droits, mais où il interdisait aussi aux fonctionnaires de siéger à l’Assemblée. La première clause fut adoptée grâce à un large appui, mais la proposition d’exclure les fonctionnaires fut défaite à cause de l’opposition des députés alliés à la clique de Halifax. Le jour suivant, un comité spécial sur la réforme électorale déposa un projet de loi qui énonçait le droit exclusif de l’Assemblée de régler toutes les questions électorales. Cependant, le projet de loi maintenait un seul lieu de scrutin par circonscription et négligeait ainsi les électeurs de l’arrière-pays qui étaient effectivement souvent privés du droit de vote, puisqu’ils ne pouvaient se rendre à l’endroit fixé. Beaucoup de régions rurales étaient représentées par des députés loyalistes, et ces derniers, appuyés par d’autres députés de la campagne, s’opposèrent sans succès au projet de loi, en dépit de sa ressemblance avec la proposition antérieure de Barclay.
La participation active de Barclay et d’autres loyalistes à l’Assemblée traduisait leur conception selon laquelle le Parlement était le centre naturel de la vie publique. De même, elle illustrait leur détermination à ne pas être exclus des postes de commande par la bureaucratie fortement établie à laquelle ils se heurtaient en Nouvelle-Écosse. La nomination du loyaliste John Wentworth* au poste de lieutenant-gouverneur en 1792 fit disparaître beaucoup de leurs déceptions. À l’instar de nombreux loyalistes, Barclay se trouva au cœur de la vie publique tout au long des années 1790. Il fut élu député du canton d’Annapolis en 1793 et choisi à l’unanimité comme président de la nouvelle Assemblée. Wentworth, qui avait auparavant recommandé Barclay pour occuper un siège vacant au conseil, se rendit compte qu’il avait dès lors un allié de poids en la personne du président de la chambre. De fait, Barclay travailla en étroite collaboration avec le lieutenant-gouverneur en amenant l’Assemblée à participer à un programme de réduction des dépenses et d’augmentation des taxes, afin de débarrasser la province des lourdes dettes qui mettaient en danger sa position financière.
On fit aussi appel à l’expérience militaire de Barclay durant les années 1790. En 1793, il fut nommé lieutenant-colonel d’une nouvelle unité, le Royal Nova Scotia Régiment, que Wentworth avait été autorisé à lever après que la guerre eut éclaté entre la France et la Grande-Bretagne. Barclay préféra cependant mettre sur pied un régiment d’infanterie, de cavalerie et d’artillerie composé de volontaires, dont la plupart étaient d’anciens soldats provinciaux alors établis dans la vallée d’Annapolis. Connue sous le nom de Nova Scotia Légion, cette troupe de 1 000 hommes était surtout destinée à défendre le littoral de la baie de Fundy, mais elle pouvait servir ailleurs dans la province. Barclay fut aussi nommé adjudant général de la milice, en juin 1793, et joua un rôle prépondérant dans la rédaction de la nouvelle loi qui réorganisait les corps d’armée pauvrement équipés et mal entraînés.
Wentworth montra son estime pour les capacités et la loyauté de Barclay en le recommandant au poste de membre britannique de la commission de délimitation des frontières, aux termes du traité Jay de 1794. L’article 5 de ce traité cherchait à clarifier le tracé de la frontière entre les États-Unis et le Nouveau-Brunswick, constituée par la rivière Sainte-Croix, selon les traités de Versailles de 1783. Le problème essentiel était d’établir laquelle des deux grosses rivières se jetant dans la baie de Passamaquoddy était en fait la rivière Sainte-Croix de Samuel de Champlain*. Les négociations se terminèrent en octobre 1798, et les Britanniques en sortirent victorieux. On accepta que la rivière située à l’ouest, connue dans la région sous le nom de Scoodic, soit la rivière Sainte-Croix et que sa source soit le cours supérieur de son affluent, la rivière Chiputneticook.
Barclay revint en Nouvelle-Écosse à la fin de 1798, fort d’une réputation rehaussée par le succès des négociations. En tant qu’Américain d’origine ayant une grande compétence en droit et en diplomatie, il avait effectivement constitué un excellent choix comme membre de la commission, bien que la force de la position britannique ait été en grande partie le résultat du travail infatigable du représentant Ward Chipman et de son assistant Robert Pagan, qui s’était porté volontaire. Le gouvernement britannique récompensa Barclay en le nommant membre du Conseil de la Nouvelle-Écosse au début de 1799. Pendant son séjour aux États-Unis, Barclay avait toutefois décidé que son avenir ne se trouvait plus en Nouvelle-Écosse mais dans la fonction publique impériale, et il avait sollicité le poste de consul général à New York pour succéder au titulaire vieillissant, sir John Temple. Il fut nommé à ce poste en janvier 1799, après la mort de Temple. Barclay ne retourna jamais en Nouvelle-Écosse, mais il se tint au courant des affaires de la province et posséda toute sa vie de larges étendues de terre dans la vallée d’Annapolis. À la fin de 1800, comme on s’attendait à ce que Wentworth soit congédié pour sa mauvaise administration concernant les Noirs marrons, des rumeurs se répandirent en Nouvelle-Écosse selon lesquelles Barclay cherchait à obtenir le poste de lieutenant-gouverneur.
Lorsque la guerre éclata entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis en 1812, on rappela Barclay à Londres. En novembre, il fut nommé représentant des prisonniers britanniques aux États-Unis et revint à New York en avril 1813. La fin de la guerre ramena au premier plan le problème de la frontière internationale. Le traité de Gand prévoyait la formation de commissions chargées de continuer le travail de délimitation de la frontière entre le Nouveau-Brunswick et les États-Unis. L’expérience de Barclay au sein dé la précédente commission et sa position de consul général faisaient de lui le candidat tout désigné au poste de commissaire britannique. Encore une fois, Ward Chipman agit à titre de représentant britannique. Les nouvelles commissions s’occupèrent de deux domaines : la propriété des îles de la baie de Passamaquoddy et le recul de la frontière depuis la source de la rivière Sainte-Croix vers le nord jusqu’au Saint-Laurent. La question des îles de la baie de Passamaquoddy fut résolue à la fin de 1817, après que les deux parties eurent présenté leur exposé concernant les îles qui avaient été incluses dans les anciennes frontières de la Nouvelle-Écosse, établies par le traité d’Utrecht. La décision fut un compromis satisfaisant : la Grande-Bretagne reçut les îles Deer, Campobello et Grand Manan, tandis que les États-Unis conservaient l’île Moose, où la ville d’Eastport s’était développée, et deux petites îles voisines.
La frontière intérieure posa un problème considérablement plus difficile. Durant trois ans, les commissaires se réunirent et essayèrent de s’entendre sur l’emplacement des « hautes terres » qui avaient été reconnues comme point nord de la frontière. Les négociateurs britanniques cherchaient à préserver la voie de terre vitale qui traversait le lac Témiscouata, au Bas-Canada, en direction du Saint-Laurent, alors que les Américains tentaient d’obtenir la plus grande superficie possible de la précieuse zone forestière. Devant l’échec des négociations, la question fut soumise au roi des Pays-Bas pour arbitrage. La décision qu’il rendit en 1831 ne fut pas acceptée par les deux parties, et la question resta en litige jusqu’à ce qu’elle soit réglée par le traité Webster-Ashburton de 1842.
La participation de Barclay à cette seconde commission de délimitation des frontières fut sa dernière contribution à la vie publique. Au début d’avril 1822, il fit son quatrième et dernier séjour en Grande-Bretagne ; il apportait avec lui la documentation à l’appui de la cause britannique pour la soumettre au ministère des Affaires étrangères. De retour à New York, il alla habiter une maison de campagne, dans l’île de Manhattan, où il mena la vie paisible d’un gentleman à la retraite. Sa santé commença à décliner pendant l’été de 1829, et il mourut le 21 avril 1830. Il fut enterré au cimetière de l’église St Mark, dans le Bowery.
Thomas Henry Barclay joua un rôle significatif dans l’évolution politique de la Nouvelle-Écosse durant les sessions houleuses de la sixième législature. Élevés dans l’agitation politique que connurent les anciennes colonies au cours des années qui précédèrent la Révolution américaine, de nombreux loyalistes gardèrent en mémoire certaines conceptions du rôle de l’Assemblée, qui furent plus tard à la base des batailles constitutionnelles de la province. Le discours où Barclay recommandait l’impeachment du conseil exprimait avec force une idée qui allait être constamment défendue, au cours des années suivantes, selon laquelle l’Assemblée était la contrepartie coloniale de la chambre des Communes. De même, la revendication ferme de l’Assemblée de son droit inhérent à la primauté dans les mesures financières, exposé par Barclay à la session de 1790, fut maintenue avec autant de ténacité par les Assemblées qui se succédèrent. Pour Barclay et pour beaucoup de chefs loyalistes, l’entrée dans l’establishment de la colonie devait émousser leur opposition à l’autorité de l’exécutif. Pourtant, l’impulsion qu’ils donnèrent à la vie politique de la Nouvelle-Écosse contribua plus tard à faire naître de nouveaux mouvements de réforme. Par beaucoup d’aspects, Barclay incarnait l’idéal romantique du loyaliste : un riche anglican de formation universitaire qui avait courageusement combattu pour son roi. Par ailleurs, il représentait aussi la large masse des loyalistes de toutes classes et de toutes conditions pour qui la Nouvelle-Écosse n’était guère plus qu’un lieu de passage. Ses talents et sa formation le placèrent dans une position favorable qui lui permit de revenir dans son pays natal, tout en continuant à servir honorablement la cause pour laquelle il avait accepté l’exil.
Une partie de la correspondance de Thomas Henry Barclay a été publiée sous le titre de Selections from the correspondence of Thomas Barclay, formerlyBritish consul-general at New York, G. L. Rives, édit. (New York, 1894).
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Judith Tulloch, « BARCLAY, THOMAS HENRY », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 6, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 22 nov. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/barclay_thomas_henry_6F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/barclay_thomas_henry_6F.html |
Auteur de l'article: | Judith Tulloch |
Titre de l'article: | BARCLAY, THOMAS HENRY |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 6 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1987 |
Année de la révision: | 1987 |
Date de consultation: | 22 nov. 2024 |