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. Peut-être aussi fut-elle nurse auprès des enfants de l’école établie par la compagnie au fort cette année-là. Son fils reçut le baptême des mains de l’instituteur William Harper, en octobre. L’agent
pendant sa jeunesse », vivait en bons termes avec Waring, et sa mère était également bien traitée à cause de ses talents de nurse et de couturière. King apprit le métier de domestique, mais, à l’âge de
Billings Nurse, membre du Conseil législatif de la Barbade ; celle-ci mourut en 1848. Entre 1843 et 1847, Darling fut agent général de l’immigration à la Jamaïque sous les ordres du gouverneur
 
medal of the Loyal and Patriotic Society of 1812 (Toronto, 1913), 52, 62, 81, 103.— William Osler, Aequanimitas, with other addresses to medical students, nurses and practitioners of medicine
professionnelles. En 1873, il créa la St Catharines Training School and Nurses Home (qui devint plus tard la Mack Training School for Nurses), en association avec l’hôpital ; ce fut la première école
fit face à la situation, ce qui était tout à son honneur : il décida d’immigrer dans le Haut-Canada. En juin 1843, avec sa femme, Elizabeth Gale, leurs trois enfants, une nurse et l’un de ses
l’une des fondatrices et la première présidente du National Council of Women of Canada, chapitre d’Ottawa, et elle fit partie du Victorian Order of Nurses à titre de membre du premier conseil et de
, Lady Mary and her nurse ; or, a peep into the Canadian forest, texte construit à partir de nouvelles qu’elle avait écrites en 1853 pour un périodique de Montréal, le Maple
 
([Saint-Jean ?, 1884 ?] ; An address delivered at the opening of the training school for nurses, at the General Public Hospital in St. John, on October
auxquels elle était associée, par exemple le National Council of Women of Canada et le Victorian Order of Nurses. Il resta l’ami des Aberdeen jusqu’à sa mort
 
outre, il participa aux affaires communautaires. Élu président de l’Associated Charities of Ottawa en 1895, il contribua en 1897 à la fondation du Victorian Order of Nurses ; il succéda à lady
qu’elle entretenait avec elles des relations chaleureuses. Par ailleurs, elle veillait à l’avancement de sa profession. Elle fut la première présidente de l’Ottawa Graduate Nurses Association. Avec
 
Nurses. À l’instar de nombreuses femmes de l’élite montréalaise qui travaillaient pour le progrès de leurs consœurs, Mary McDougall appartint aussi à la Montreal Ladies’ Educational Association [V
 
Pope*, elle aussi originaire des Maritimes. Une fois son apprentissage terminé, Mlle Forbes travailla un an à Montréal pour le tout nouveau Victorian Order of Nurses, puis retourna au Columbia
1895. Quand lady Aberdeen créa le Victorian Order of Nurses, elle soutint cette initiative à Hamilton. Adelaide Hoodless se préoccupait non seulement
l’hôpital jusque dans les années 1890. En 1886, elle collabora à la fondation de la Training School for Nurses. En prévision du moment où l’hôpital serait relocalisé en permanence au 67 de la rue College
deuxième femme, Sarah Braniff, le secondait bien. Éduquée dans des écoles privées, elle appartenait au National Council of Women of Canada et au Victorian Order of Nurses [V. Ishbel Maria
reg)./GR 1212 (Rossville, Norway House, reg. of baptisms, 1840–1889).— Christian Guardian, 13 oct. 1909.— J. S. H. Brown, « A Cree nurse in a cradle of
ans au comité de gestion de ce foyer. Elle fut également vice-présidente du Local Council of Women, auxiliaire féminine à la section hamiltonienne du Victorian Order of Nurses, et membre du comité
la cathédrale St James. En outre, elle appartint au conseil d’administration du Victorian Order of Nurses, dont le siège était à Ottawa. À
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