réforme de la marine. Warren gravita vers le comte d’Egmont et d’autres partisans du prince de Galles, et son nom figurait comme commissaire de l’Amirauté dans l’administration qu’on se proposait de mettre
devenait, sur le plan local, un personnage de quelque importance dans les affaires publiques. Le 27 décembre 1787, son nom apparaissait sur la liste des hommes recommandés par sir John
Allan* (connue généralement sous le nom de Bar U). Ayant obtenu plus de 3 000 bêtes, il cherchait des bouviers d’expérience qui l’aideraient à ramener le troupeau vers le nord, à son nouveau
. Rédacteur en chef (seulement de nom) et copropriétaire du Provincial Freeman qui militait en faveur des fugitifs – journal fondé à Windsor en 1853 et dirigé, en fait, par Mary Ann
.
Le dynamisme et la détermination de Ward manquèrent sûrement à l’entreprise qu’il avait fondée, car celle-ci ne franchit pas le cap des années 1860. Un écrivain avait prédit en 1846 que le nom de
tenancier d’une pension pour marins. Sa notoriété lui vint en 1856 en tant qu’homme de main chargé d’accomplir la basse besogne de détourner ou d’éloigner les marins de leur bateau au nom d’agents connus sous
Bermudes, le général de brigade John Hodgson, l’invita à venir dans la colonie diriger un journal qui prit le nom de Royal Gazette. Ward y publia aussi la Weekly Gazette et le Gleaner
participer, au nom du gouvernement canadien, à la campagne menée par le YMCA américain en vue de récolter 175 millions de dollars pour l’effort de guerre. Moins de dix ans après son arrivée à Toronto
l’exposé le plus complet sur l’histoire ancienne de l’Île-du-Prince-Édouard. Si Warburton mérite que son nom soit retenu, c’est surtout en tant qu’auteur de ce livre et de compilateur d’un recueil de
WAPINESIW (Wappenessew, Wabunmashue ; nom qui signifie oiseau blanc), agent indien (leading Indian) de
les années 1870. Les deux autres groupes prirent les noms de lehrerleut, en l’honneur du lehrer, ou professeur, Jacop Wipf, et de schmiedeleut, pour le schmied, ou
nom fut de nouveau mis de l’avant pour une charge plus importante, celle d’évêque coadjuteur de la Nouvelle-Écosse. La décision de nommer un coadjuteur à Mgr William
juin 1870, il dit même à son ancien vicaire général de se sentir libre, à l’avenir, de parler au nom de toute l’Église canadienne chaque fois qu’il écrirait sur l’infaillibilité du pape. Walsh se
Division pour fonder un poste indépendant auquel il était autorisé à donner son nom. Le fort Walsh (Fort Walsh, Saskatchewan) serait, durant les sept années suivantes, le plus important établissement de
service, il put préparer très tôt son fils à faire carrière dans la marine. Le seul compte rendu qui subsiste de l’enfance de Wallis montre que, dès l’âge de quatre ans, son nom commença à figurer dans le
WALLER, JOCELYN (connu aussi sous le nom de Jocelyn
attention à ce que son nom ne soit plus mêlé à des pratiques douteuses, bien qu’il restât toujours un homme tout dévoué à sa circonscription, distribuant assidûment des faveurs politiques
un nom en 1822–1823 pendant les débats sur le projet d’union du Haut et du Bas-Canada : il préconisait alors cette union comme moyen d’améliorer le commerce dans les colonies. Afin d’accroître les
1794, il offrit ses services à Johannes Ruyter, connu sous le nom de John Ruiter, représentant de Thomas Dunn pour
de la compagnie, du nom de Richard Lucas. Conformément aux instructions du comité qui cherchait à protéger son