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ans et dix ans. C’est alors que le jeune Jean-Joseph se mit, si l’on peut dire, à l’école de la famille Baillairgé dont le nom était déjà bien connu à Québec. Dans le journal qu’il tint plus tard avec
 
major, puis, le 25 décembre 1801, lieutenant-colonel. La première de ces promotions eut pour effet d’enlever son nom du rôle des commandants de compagnie et de le rendre éligible à un
 
connaissait plusieurs langues indiennes, était un trublion efficace : « Envoyez-moi ce petit Français bavard, qui a nom monsieur Linctot, celui-là qui vous empoisonne les oreilles. » Clark
 
Tonnancour s’oppose d’abord à l’installation de ce curé comme chanoine honoraire, puis il inscrit auprès du Conseil supérieur, au nom du chapitre, une motion d’appel « comme d’abus de l’acte de création
fin des années 1920, combattit sous le nom de George Godfrey, en hommage, croit-on, au boxeur de l’Île-du-Prince-Édouard
 
botaniste de l’époque » celui-ci mérite plutôt le nom d’herborisateur. Catherine Fortin-Morisset
 
britannique stationné sur les Grands Lacs, qui était connu sous le nom de marine provinciale, n’était guère plus qu’un service de transport militaire. Après la première attaque des Américains en 1812, le
 
GOUENTAGRANDI (de son nom de baptême, Suzanne), femme de la tribu des Onneiouts, qui sauva la vie du père Pierre
 ; décédé à Uxbridge le 29 janvier 1886. Joseph Gould – il adopta ce nom au lieu de Gold quand il était à l’école – naquit trois ans
son propre nom. Peut-être décida-t-il de lancer une nouvelle entreprise parce que l’avenir de celle-là s’assombrissait et qu’il avait à sa charge une femme et un fils. Il souffrait pourtant déjà d’une
 
(Manitoba), où il établit le fort La Souris (également connu sous le nom de fort Assiniboine), premier poste de la North West Company dans cette région. Il devait concurrencer celui construit par
d’une Métisse, probablement d’ascendance crise et française ; il épousa à la façon du pays Elizabeth MacKay, puis Madelaine Desmarais et peut-être une troisième femme dont on ignore le nom ; en
de poste passa de 3 630 à plus de 7 600. Cependant, le nom de Griffin ne figura jamais dans un rapport annuel, si bien qu’à sa retraite ni son supérieur politique, le ministre des Postes
 
Bissot* de Vinsenne. Saint-Ange de Bellerive, nom sous lequel Louis était généralement connu, y garda son commandement jusqu’en 1764. La traite n’était, dans cet établissement, que d’un rapport
 
GUIBOCHE (Gibotte), LOUIS (connu aussi sous le nom indien de Nemisses (Minissis) et sous le sobriquet de Petit
 
d’origine écossaise, fondateur de l’université qui porte son nom. Le succès de Guillimin dans les professions libérales après la Conquête préfigure peut-être le rôle que joueraient certains
 
retrouve souvent des prénoms identiques. D’après Webster, Guion est né en 1635, mais ce serait plutôt, semble-t-il, la date de naissance d’un oncle du même nom. Pour sa part C. Alice Baker confond
 
première fois P.-J. Guitté dans l’histoire du Canada. En 1850, l’organe officiel des « rouges », l’Avenir, mentionne son nom dans la liste de ses représentants pour cette région. Le
 
1800, il ne participa aux travaux d’aucun comité et son nom n’apparaît jamais au moment des votes. Le 15 avril 1799, lors des procédures d’expulsion de Charles-Jean-Baptiste
 
nom de Toronto and Guelph Railway Company. Ces deux compagnies éphémères avaient été fondées par son frère, l’avocat John Wellington
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