; à cette époque, les Leonard avaient déjà racheté la part de Van Brocklin et Leonard père avait pris sa retraite. Dès lors, le fils exploita l’usine sous le nom de E. Leonard Jr and Company
réinstalla sa mission à l’ancien village de Metlakatla et commença à construire une église et des maisons dans un lieu qui appartenait aux Aigles et qui finit par être désigné sous le nom de pointe Mission. Le
francophones. De 1864 à 1878, 260 anglophones et 240 Acadiens y reçurent un diplôme. En outre, moins de quatre ans après sa fondation, le gouvernement provincial lui octroya une charte, sous le nom de collège
. L’affluent et la ville minière qui s’y développa portent tous deux son nom.
John D. Spittle
associés sous le nom de James Angel and Company. Ledingham et Angel se disputaient la remise en état des vapeurs qui entraient dans le port de St John’s ; ils effectuaient ces travaux dans le port et
1873, il s’associa au marchand de tissus et d’articles de mercerie Tertullier Lemay pour ouvrir un magasin de vêtements pour homme portant le nom de Leblanc et Lemay. Ce commerce spécialisé dans les
, la Botanical Society of Canada avait un tel prestige que ses membres avaient commencé d’ajouter à leur nom les initiales fbsc (fellow of the Botanical Society of Canada
Confédération au cours de la campagne en faveur de l’« abrogation », dans les années 1880, avait parlé en 1867 au nom de la majorité antifédéraliste de l’ouest de la Nouvelle-Écosse et, en soulevant si
fabriquant des meubles plus finement sculptés. Le nom de l’entreprise n’allait disparaître qu’en 1896. Les frères Lawrence exploitaient aussi une grosse entreprise de pompes funèbres à Saint-Jean
Jones de Toronto. Il reste aujourd’hui de cet ensemble les deux constructions de Laver et de Stent, connues sous les noms d’édifices de l’Est et de l’Ouest, de même que la bibliothèque de Fuller et de
, ce qui lui vaut une tournée en Amérique du Sud, aux Antilles et au Mexique comme accompagnateur d’un violoniste espagnol du nom d’Olivera. En septembre 1861, il est à Providence, au Rhode Island, où il
céder ses biens à ses créanciers. À la suite de cet échec, il abandonne le commerce pour se consacrer à l’industrie. Pendant deux décennies, son nom est associé à l’expansion de l’industrie sidérurgique
avec ses créanciers un arrangement qui, sans en porter le nom, était en fait une faillite. John, qui était apparemment l’un des enfants les plus choyés de la famille, put terminer ses études à Cambridge
méthode Langevin, du nom de son promoteur. Langevin conçut aussi des outils d’enseignement. Dès 1848, il avait publié à Québec Traité élémentaire de calcul différentiel et de calcul intégral
collègues et de publier lui-même (mais sous le nom de Mgr Cooke) un mandement d’appui à l’Acte de l’Amérique du Nord britannique. Figure dominante du quatrième concile provincial de Québec en 1868, il
Coursol*] et, en 1869–1870, la poursuite engagée au nom de la veuve de Joseph Guibord* contre le curé et les marguilliers de la paroisse Notre
KITCHI-MANITO-WAYA (Kakee-manitou-waya, Kamantowiwew, Almighty Voice, connu aussi sous le nom de Jean Baptiste
parlait français, italien, allemand et espagnol impressionnèrent les entrepreneurs britanniques regroupés sous le nom de Peto, Brassey, Jackson, and Betts, qui étaient les maîtres d’œuvre du Grand Tronc. La
Brown* étaient blancs) ; moins de deux ans plus tard, la société exploitait une scierie, un moulin à farine et un magasin général à Elgin. Dès 1853, la colonie, connue aussi bien sous le nom de
connue sous le nom d’église du collège. D’ailleurs, il s’intéressait vivement à cette maison d’enseignement : membre du conseil d’administration et du « sénat », il présida le comité