février 1854. Elle n’a pas encore 14 ans. C’est en vain que son père tente de la ramener à la maison à son retour de Californie. Elle est acceptée comme novice sous le nom de sœur Marie-de-Sainte-Léonie. En
Guerre mondiale. Bien qu’il ait porté l’un des noms les plus illustres du Québec, son ascendance était en grande partie américaine et il fut élevé surtout en anglais. L’influence dominante dans son enfance
gouvernementaux ou des représentants de la couronne. En 1876, à l’occasion d’un grand rassemblement dans les monts Cypress, il se plaignit, au nom des Cris et des Sauteux, que le gouvernement ne fournissait pas les
; deux ans plus tard, elle s’établit à Toronto. Apparemment, les Keeffe adoptèrent le nom d’O’Keefe au moment où ils immigrèrent. Un John O’Keefe, tavernier, puis marin, figure dans les annuaires de
bonne partie des affaires de celui-ci avec un associé du nom de William Welsh, sous la raison sociale de Welsh and Owen. En 1861, le mariage d’Owen avec Lois Welsh, la jeune sœur de William Welsh, scella
chasser et de cultiver la terre, Oulton défricha 80 acres de forêt. En 1890, la famille acheta l’île, connue alors sous le nom d’île Cherry et appelée aujourd’hui île Oultons
Pennsylvania cherchait un professeur de médecine clinique ; le nom d’Osler figurait en bonne place parmi les candidats possibles. Les dirigeants de l’école le connaissaient fort bien, car plusieurs d’entre
troupe et au moment même où Bellefontaine fonde le monastère de Notre-Dame du lac des Deux Montagnes à Oka, dans le diocèse de Montréal. Oger reçoit en religion le nom d’Antoine, précédé comme pour tous
hommes politiques et hommes d’affaires. Pour souligner son apport au développement de la région du lac Chibougamau, on donnera son nom, notamment, au canton où baigne le lac
s’enrôla le 2 janvier 1915 comme simple soldat dans le Corps expéditionnaire canadien à Wetaskiwin, sous le nom de Henry Louie, et servit dans le 3rd Canadian Mounted Rifles. Licencié pour ivresse
rue et un immeuble diocésain portent son nom.
Terence J. Fay
provendes sous le nom de sa femme dans l’avenue Parkdale (avenue Sorauren). Là encore, les résultats furent décevants ; au moins une fois, il alla travailler à la ferme de l’un de ses frères, dans le
retourner à la pratique du droit. Ses dernières apparitions sur la scène publique eurent lieu en 1908 et en 1909 : il se présenta au nom du Parti libéral de sir Robert
Alexander Macdonald* : « McLeod devrait être le chef [...] Je n’entends prononcer aucun autre nom. » McLeod convoqua
000 femmes et plus de l’Empire qui ont servi et sont mortes pendant la Première Guerre. Leurs noms sont inscrits tout près, derrière dix panneaux gothiques ; les noms des Canadiennes se trouvent à
Robert Samuel*, appuieraient l’établissement d’une usine à New York sous le nom de Canada Dry Gingerale Incorporated.
John James
Toronto vers 1885. (La personne du même nom qui enseignait à Toronto à ce moment-là était quelqu’un d’autre.) En raison de ses interventions en faveur de la tempérance, on se souviendrait d’elle comme
noms ; Supreme Court, estates div. records, liber 19 : f.155 (mfm).— Univ. of P.E.I. Library (Charlottetown), P.E.I. Coll., R. B. Macdonald, « MacDonalds in P.E.I
les histoires d’atrocités que l’on rapportait et devant les tactiques allemandes : l’utilisation des gaz, les raids de zeppelins, le torpillage du paquebot civil Lusitania. Le nom de
Nome, en Alaska, raffermirent cette réputation. De retour à San Francisco au plus tard en 1902, il fut un moment capitaine du vapeur City of Sydney