naissance (en 1649 ou 1650) ; fils aîné de Lorenzo de Tonty qui donna son nom au système de rente viagère qu’il inventa, la « tontine », et d’Isabelle di Lietto ; tous deux Napolitains
reste tous les curés de son temps, fort préoccupé de la question très discutée alors de la dîme. Le 27 avril 1706, en son nom et comme « député » des curés de sa région, il
du fort d’Orléans (1673–1728) (Paris, 1925), 46–59] ; L’Exacte Description de la Louisianne, de ses ports, terres et rivières, et noms des nations sauvages qui l’occupent
douteux d’un capitaine français, du nom de Paradis, maître du sloop Neptune qui avait été capturé. Il réussit à se procurer une copie du journal authentique de l’expédition de
Canada, car son nom ne figure pas au recensement des Indiens de la Kennebec fait par La Chasse* en novembre 1708
WENEMOUET (Wenemowet, Wenemuit, Winnenimmit, Awenemwet, Nimimitt, Nimquid, Wenongonet, Wenungenit, Wenoggenet, Wanungonet, Ouenanguenet) – Volume II (1701-1740) , Wanungonet, Ouenanguenet), chef de la tribu des Pentagouets de la confédération abénaquise, mort en mars 1730.
Dans le dialecte abénaquis, le nom de
.
Deerfield avait été incendiée par les Indiens et abandonnée durant la guerre appelée King Philip’s War (1675–1676), du nom d’un chef indien ; puis, pendant la guerre de la ligue
sur l’île Arrowsic, en août 1717, Wowurna se fit le porte-parole des 20 chefs canibas, pentagouets, pégouakis et androscoggins. En leur nom, il refusa à Shute le droit de construire des forts et de
. Yonge n’avait pour toute scolarité que deux ans passés à l’école secondaire de Plymouth mais il réussit quand même, sans beaucoup d’aide ni d’encouragement de la part de son père, à se faire un nom dans
généralement à l’époque. L’abbé Étienne-Michel Faillon fit des recherches en France pour découvrir s’il s’y trouvait un lieu ou un domaine de ce nom. Il n’en trouva point, et il n’y en avait pas au Canada à
d’héritier. Il demeura parmi les Abénaquis d’Acadie avec un de ses frères dont on ignore le nom. Joseph, ayant toujours vécu dans la tribu, était beaucoup plus « Abénaquis » que Bernard-Anselme
agissait devant le Conseil supérieur « au nom et comme porteur d’ordre de Jean-Baptiste Sombrun » vraisemblablement négociant à La Rochelle
].
Amiot semble être allé se fixer à La Baye après 1763. À cet endroit, il se querella avec un Indien du nom d’Ishquaketa, qui lui avait laissé une hache à réparer. Amiot ayant saisi l’Indien avec des
Leigne et de Claude Fredin, décédée à Trois-Rivières le 16 janvier 1766.
Louise-Catherine André de Leigne fut une de ces femmes dont le nom est
[Rocbert] le trouva d’agréable compagnie. Il vivait encore en janvier 1752. Après cette date, son nom disparaît des archives.
Jean-Charles
ARNAUD, MARIE-MARGUERITE-DANIEL, dite Saint-Arsène (appelée à tort Saint-Arnaud, nom d’une autre famille), religieuse
Vaudreuil, fut de passage à Trois-Rivières, les Abénaquis de Saint-François allèrent l’y rencontrer, et Atecouando le harangua en leur nom. Il lui dit : « Commande donc, ordonne, nous sommes
surtout l’orthographe de son nom expliquent sans doute qu’au xixe siècle quelques commentateurs l’identifièrent avec le père Aubry, immortalisé par Chateaubriand dans Atala. Comme l’a
nom figure sur la liste des officiers dressée par le ministère de la Guerre pour 1770 mais il n’y paraît plus en 1771 ; selon toute probabilité, il mourut en 1770. Selon une inscription qu’on
qu’il mourut le 20 novembre 1755. Ses nombreux descendants qui continuèrent pendant un siècle à réparer et à fabriquer des armes sont encore connus sous le nom de Des Buttes à Détroit et dans le