marbrure et d’argenture aux corniches, au banc d’œuvre et à la voûte de l’église de Saint-Constant. La fabrique de la paroisse Sainte–Marie-de-Monnoir (Saint-Nom-de-Marie, Marieville) l’engagea en
Taillemite et al., Tables des noms de lieux, de personnes, de matières et de navires, sous-série B1, B2 et B3 (Paris, 1969), 34.— Octave Teissier, Armorial de la
, Journal (Toronto), 96 (1967) : 1647–1653.— Commission culturelle fransaskoise, le Géant Beaupré (Regina, 1986).— Richard Lapointe, 100 noms
Pyvart (Pinard) de Chastullé, décédé à Orléans le 9 septembre 1746.
Le nom de Beauharnois, qui deviendra Beauharnais, connut la célébrité à
et Beauharnois, n’a pas été le seul à le décrire comme un être « bon, affable et généreux ». Les Indiens le connaissaient sous le nom de « Paix ». Beaucoup exprimèrent leurs regrets
sixième fils d’une famille qui comptait sept garçons et sept filles, c’est lui qui devait perpétuer le nom de Beauharnois. Il n’a jamais habité le Canada, mais en trois occasions, soit en 1711, 1712 et
le commerce, se trouva rapidement du travail, encore une fois chez un marchand anglais du nom de William Douglass, de la rue Saint-Paul.
En 1834
connue plus tard sous le nom d’école du Plateau. Enfin, il avait été l’un des fondateurs, en 1852, de l’Institut national, reconstitué plus tard sous le nom d’Institut canadien-français. Cette société, née
David*, qui lui remit un chèque de 300 $ pour Beauchemin et s’engagea, au nom du gouvernement, à acquérir 500 exemplaires d’un éventuel ouvrage. Discret et modeste, Beauchemin ne se décida à
dure 22 ans. En 1886, Valois s’étant retiré, Beauchemin s’adjoint son fils Joseph-Odilon, secrétaire de la compagnie depuis 1876. La maison est désormais connue sous le nom de Librairie C.-O
les syndics apostoliques chargés au nom du Saint-Siège de gérer les affaires temporelles des franciscains. Durant une trentaine d’années, il remplit d’ailleurs lui-même les fonctions de syndic
Jésus fut supprimée en France.
Les activités subséquentes de Beaubois restent inconnues. Son nom ne réapparaît que dans un avis de décès des jésuites
. Elle est alors achetée par le gouvernement provincial en même temps que le chemin de fer de la rive nord pour former le chemin de fer de Québec, Montréal, Ottawa et Occidental. Bien que son nom ait été
et, en 1842, selon le rôle d’évaluation, ils étaient toujours copropriétaires de leurs locaux de la rue King. En 1843 cependant, la propriété était au nom de Beaty, qui était alors inscrit comme
, entra en service. La concurrence entre ces bateaux donna rapidement lieu à une fusion, et la nouvelle entreprise, à laquelle Beatty participa, prit le nom de Georgian Bay Transportation Company Limited
d’Écosse chaque année, et son chantier utilisait en moyenne, bon an mal an, 60 000 pieds de bois de chêne. Les navires qu’il construisait étaient enregistrés à son nom, mais il servait aussi d’agent à
d’officier de navigation à bord de l’Anne Francis. La flotte de Frobisher quitta Harwich le 31 mai 1578, aborda au Groenland, en prit possession au nom de l’Angleterre et poussa jusqu’à
-maçon éminent, lui demanda de servir comme aumônier du Loyal American Regiment ; son nom apparaît sur les rôles de cette unité, qui servit dans les colonies de New York, du New Jersey et de la
premier à porter le nom de Bear. Quant à la famille de la grand-mère paternelle de Noel, elle venait de la rivière Kennebec (Maine) et, selon la tradition familiale, elle avait survécu à l’attaque lancée en
sous le nom de « Anthony Beale alias Small Cole » sur la liste des hommes désignés pour passer l’hiver de 1682–1683 au fort Albany. Le stage d’apprentissage de Beale se terminait en 1685