normale prit le nom de département français et Belliveau en devint le directeur.
Malgré des conditions souvent difficiles, Belliveau fut, pendant une
Davin* écrivit qu’« à un moment donné, le nom de Bellingham était synonyme de pouvoir à Montréal et était connu dans tout le Canada » et qu’il avait été « l’un des écrivains politiques
années encore sous le nom de Bellet et Brunet. Pendant cette période, la vie privée de Bellet ne s’était pas déroulée sans incident. Sa première femme, Cécile Flamme, qu’il avait épousée à Québec le 12
, sauf à son embouchure. Durant cette exploration de la baie, il baptisa une foule d’endroits et certains des noms qu’il attribua à des particularités de la rive nord demeurèrent après son voyage. On nous
-Rouge. À Pembina, un Américain du nom de Norman Wolfred Kittson* tenta de contester la légalité du monopole de la Hudson’s Bay Company
commercial intéressant. Il se rendit ensuite dans le sud de l’Angleterre afin d’épouser Maria Isabella del Carmen Beattie, connue sous le nom de Bella, qu’il avait rencontrée quelques années auparavant en
.
On ne tarda pas à appeler l’entreprise la ferme modèle Bell. Et elle méritait bien ce nom. Les labours se firent sous contrat à compter de juin 1882 ; dès la fin de l’été, ils étaient faits sur
le commerce du bois de Bytown et de la vallée de l’Outaouais. À partir de février 1851, son journal parut sous le nom d’Ottawa Citizen.
Bell
« Loyal Village Guards ». En collaboration avec James Wylie, de Shipman’s Mills (Almonte), il fonda en 1840 une société connue aujourd’hui sous le nom de North Lanark Agricultural Society. Deux ans
expédition puis, avec Peter Stuart, ils administrent au nom d’Alexander le Domaine du roi. Tout naturellement, Monro et Bell en viennent à s’intéresser à la région de Trois-Rivières où les Davison ont fait de
.
Un individu de ce nom décédé en 1863 à l’âge de 51 ans est bien un des associés de cette maison. Sur ce point, le testament de Joshua Bell en 1861 est assez explicite : les deux frères sont dits
(Summerside, Î.-P-É.), inscription de pierre tombale.— Charlottetown Herald, 16, 23 sept. 1896.— Morning Guardian (Charlottetown), 31 août 1896 ; publié par la suite sous le nom de
nom de Wesleyan Mission House, ce presbytère allait servir par la suite de centre de diffusion du méthodisme dans l’île. Lors d’une visite en Angleterre au mois de mars 1820, Bell recueillit encore £350
Collip*, un des découvreurs de l’insuline. Une école secondaire à Winnipeg a reçu le nom de Bell. À l’inauguration officielle, le 12 novembre 1926, on a dévoilé une plaque, et un grand ami de Bell, le
d’orientation permit de presque doubler le tirage quotidien de l’Albertan (nom que prit le journal le 20 janvier 1936), dont le nombre d’exemplaires s’élevait désormais à environ 27 000. En 1936
1904 à Ottawa.
Benjamin Taylor Bell fit ses études dans des écoles privées et au Stewart’s College d’Édimbourg. On ajouta à son nom l’initiale
avec prudence en raison du fait que le nom d’Andrew Bell est très répandu. C’est donc la lecture des propres ouvrages de Bell (certains passages pertinents, les pages de titre et les pages préliminaires
devenir une figure marquante de son consistoire qui, en 1831, se réorganisa et prit le nom de United Synod of Upper Canada. Persuadé que les presbytériens devaient s’unir pour pouvoir exercer quelque
parents eurent acheté Milton Cottage, près d’Édimbourg, en 1858, il découvrit d’ailleurs bien des endroits idylliques pour rêver. Le jour de son anniversaire, cette année-là, il prit comme deuxième nom
l’entreprise sous le nom de Rose-Belford Publishing Company. Mais, au cours de l’année, un nouveau changement se produisit : Alexander et Robert Belford se retirèrent à leur tour et formèrent avec James