, connue plus tard sous le nom de St Gabriel Street. Les deux ecclésiastiques ne se ressemblaient ni par leur physique ni par leur manière d’exercer leurs fonctions. Esson était un homme fluet et un
].
Même s’il reçut l’appui du journal le Canadien, Black décida de ne pas remettre son nom en candidature aux élections générales de 1844. Aussi, durant les quelque 30 ans qui suivirent, il semble
-Unis, Black fut en relation avec une branche de l’Église presbytérienne connue sous le nom d’Église associée. N’ayant pu accepter entièrement les enseignements de cette Église, il hésita devant la
prêts à oublier les violences de Black envers eux et l’exclurent de la nouvelle compagnie (qui avait conservé le nom de Hudson’s Bay Company), tout comme Alexander
.
Bien que né et élevé à Windsor, William Anderson Black descendait de la ploutocratie marchande méthodiste de Halifax. On lui donna le même nom que son grand-père William Anderson Black qui, comme ses
maladies des enfants. De 1906 à 1921, il enseigne cette matière (connue sous le nom de pédiatrie à partir de 1912) en tant que professeur. De 1891 à 1921, il est aussi professeur de pharmacologie et de
domaine, mais ce n’était qu’un moyen de soulager sa conscience, car ces travaux ne rapportaient rien. Même en se mariant, il tint compte de certaines réalités irlandaises. Il prit le nom de Hamilton avec
1793 à 1817, il réalise près d’une vingtaine de transactions immobilières, soit en son nom personnel ou, à deux reprises, comme administrateur de la Compagnie de l’Union de Québec qu’il avait fondée avec
, connue plus tard sous le nom de St Gabriel Street. À compter de 1808, il prit fréquemment part au comité des affaires séculières et fut élu président tous les ans de 1819 à 1822. Ordonné conseiller
tournées ». Ainsi, dans un exposé présenté le 3 juillet 1861, à Kamouraska, tout en se révélant un critique sévère pour les grands noms de la littérature française, tels Honoré de Balzac
Tuck*. Les autres détenteurs de portefeuille du nouveau gouvernement, dont on annonça les noms le 3 mars, étaient William Elder, secrétaire de la province, Thomas Francis Gillespie, président du
.
Lors de son décès, en 1783, Blais était le syndic en charge de l’édification de la nouvelle église paroissiale de Saint-Pierre ; c’est d’ailleurs à ce titre que son nom figure sur la pierre
n’étaient pas tenus de démissionner après un tel rejet. En répondant au nom du gouvernement le 22 décembre, Blake affirma avec vigueur que le ministère des Colonies faisait fi du gouvernement responsable. Non
les prisons et maisons de correction en Ontario, sous la présidence de John Woodburn Langmuir. Bien que le nom des Blake ait été synonyme de libéralisme, Samuel Hume ne soutint pas le gouvernement
démission de Blake, ce dernier aurait quitté son poste sans achever la réorganisation de tout le système judiciaire du Haut-Canada, œuvre à laquelle son nom reste attaché. En 1843, Blake avait accepté, avec
plus longues dans les journaux de Halifax de 1831 à 1833 dont les noms suivent : l’Acadian and General Advertiser, l’Acadian Recorder, le Halifax Journal et le
de 1699, ils retournèrent à la rivière Petitcodiac où ils fondèrent, vraisemblablement près de l’actuel Hillsborough, N.-B., une petite colonie connue pendant un certain temps sous le nom de
juges, que ne sanctionnait aucune loi et qui selon lui pesaient très lourdement sur les pauvres, par un autre mode de rémunération. Au grand déplaisir de Howe, il était d’accord, au nom de la tranquillité
Tavernier*], où elle entre à l’âge de 17 ans. Le 19 novembre 1873, elle prononce ses vœux perpétuels et prend les prénoms de sa mère comme nom de religion
Robin*, qui venait explorer au nom de la Robin, Pipon and Company les possibilités offertes au commerce dans la baie des Chaleurs. Capitaine de goélette et charpentier, Olivier Blanchard compte parmi