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eux aussi, lui procurent un train de vie enviable. Lanaudière demeure rue des Pauvres (côte du Palais) qui, en dépit de son nom, est une des rues les plus huppées de Québec à la fin du
dénonce dans le Canadien, au nom des principes constitutionnels, la conduite du lieutenant-gouverneur Auguste-Réal Angers*, son seul
 
franchissait courageusement la porte du monastère des ursulines le 13 mai 1764, en qualité de postulante. En août, elle prenait l’habit religieux sous le nom de sœur Marie-Anne-Louise de Saint-François
. Tout au long des années 1840, la compagnie de St John’s fut gérée au nom de la famille Tasker par un groupe d’actionnaires associés. À la suite du départ de George Logan en 1850, les Tasker
TATANKA-NAJIN (connu sous le nom de Standing Buffalo), chef héréditaire des Dakotas Sissetons-Santees, né à Otter
 
lettre de Boas (qui avait eu le nom de Clah par un informateur kwakiutl, George Hunt*) et l’eut transmise à Tate que se noua la fructueuse
TATTANNOEUCK (qui signifie « c’est plein » ; connu aussi sous le nom d’ Augustus), interprète inuit
 
possibilités et, ayant engagé un Canadien qui connaissait les dialectes indiens pour établir les contacts en son nom, il envisageait avec optimisme l’implantation du commerce de la fourrure
elle s’est surtout fait connaître sous le nom d’Émilie Tavernier), fondatrice et première supérieure des Filles de la charité, servantes des pauvres, née le 19 février 1800 à
 
fut fait puisque après 1807 le nom de Taylor disparaît des archives du comté. Il songea à retourner en Écosse, mais il redressa apparemment sa situation et décida de rester
entreprise à Montréal, où il avait de proches parents, connue sous le nom de Taylor and Gordon. Au cours de l’année précédente, il s’était rendu aux États-Unis dans le but de se familiariser avec des travaux
premières années de la décennie 1870, Taylor fit de la réclame pour vendre ses négatifs. Quelques-uns trouvèrent preneur, et des images de lui furent vendues sous d’autres noms d’éditeur. Dans la même période
 
Taylor immigra au Canada en 1862. Attaché alors au commissariat britannique, il démissionna de son poste l’année suivante et ouvrit à London une banque qui porta successivement les noms de Taylor’s Bank et
 
. L’identification de Henry Taylor pose un problème, étant donné qu’un certain nombre d’auteurs de second plan portant ce nom publièrent en Angleterre et dans les colonies au milieu du xix
 
. Les historiens de la région ont confondu James Taylor avec le père de William Taylor qui portait le même nom et habitait Fredericton. Il s’avère souvent impossible de déterminer duquel des deux il est
 
, William* et John F. ; à partir de ce moment-là, l’entreprise porta le nom de James Taylor Senior and Company. Comme elle avait exécuté la plupart des travaux de construction majeurs à Fredericton
empêcher une « invasion ». Au nom du gouvernement, le lieutenant-gouverneur du Manitoba, Adams George
 
 décembre 1813), formèrent une société sous le nom de John Taylor and Brothers et ouvrirent un bureau à Toronto. Les fils étaient alors tous dans la
 
, sous le nom d’Erskine (1864) et située dans un nouvel emplacement (1866), demeura sous la direction de William Taylor jusqu’à sa mort. Hébraïsant et helléniste distingué, Taylor était en même temps un
James* et John F. et leur père formèrent officiellement une société sous le nom de James Taylor Senior and Company, dont l’activité principale consistait à approvisionner des camps de bûcherons
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