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Jones Ross* créait pour chacun des asiles de Beauport et de Longue-Pointe (connu aussi sous le nom d’hôpital Saint-Jean-de-Dieu) un bureau
Digby, N.-É., son mandat sera renouvelé aux élections de 1847, 1851 et 1855. À la même époque on le nomme membre de la première commission scolaire de Clare (Church Point), N.-É., et son nom
famille qui avait des liens avec des commerçants de poterie. Il fit son apprentissage de graveur en Angleterre. Son nom apparaît pour la première fois dans l’annuaire de Montréal en 1820, année où il se
 
 23 juillet. Voulant ralentir l’avance ennemie, il laissa une arrière-garde de 400 hommes sous les ordres du capitaine d’Hébécourt (ce dernier était l’un des deux officiers du même nom alors en
sur la procédure parlementaire est en cours de réalisation à Ottawa. Ce projet est connu à juste titre sous le nom de Bourinot. La deuxième et
Tavernier*], la Communauté des Sœurs des Saints-Noms de Jésus et de Marie [V. Eulalie Durocher*], les Sœurs de Miséricorde [V. Marie-Rosalie
résolution de demander au roi des lettres patentes pour les « filles de la Congrégation », nom que déjà, à Ville-Marie, on donnait à « Sœur Bourgeoys » et à ses compagnes
 
. Le distingué chirurgien était de nouveau établi à Port-Royal avant 1699 ; il y mourut octogénaire en 1701. Le nom patronymique fut perpétué par deux des trois fils : Charles, né en
demeure présente par le Rosa Bourgeauiana [François] Crépin, et son nom mérite de figurer en bonne place dans l’histoire canadienne parmi les grands explorateurs du siècle dernier
 
1658 sous le nom de Saint-Jean-Baptiste. À l’Hôtel-Dieu, Marguerite joue un rôle de plus en plus important. Son zèle pour le service des pauvres la fait
-Recouvrance de Québec. Elle mourut le 11 septembre 1654, après lui avoir donné huit enfants. Ses quatre filles se firent religieuses. Geneviève, sous le nom de mère Marie-de-Saint-Joseph, fut la première
 
huissier du même nom, célibataire âgé de 37 ans, apparaît au recensement de Québec de 1666 ; cet huissier instrumenta au Conseil souverain dans les années 1663–1668. Il n’a pas été possible d’établir
 
leurs fils, Louis*, dut, au nom des héritiers, multiplier les mémoires pour se faire reconnaître la propriété des terres laissées par le
entiers, du nom des destinataires et de celui de nombreuses personnes. Encore mal connu, Bourassa épistolier mérite une étude attentive fondée sur une édition critique de toutes ses lettres
dans une formule : il dépasse toujours par un côté ou par un autre. » Qu’a donc laissé Henri Bourassa à la postérité ? Sans doute le souvenir, chez les Canadiens, d’un nom prestigieux que
appartenait ainsi à la troisième génération du groupe connu sous le nom de « Family Compact ». Il fut reçu avocat à l’âge de 23 ans et commença d’exercer le droit dans le cabinet Gamble and Boulton
 
, les pires politiciens peut-être dont un pays ou une nation puisse être affligé » et mit en tête de sa « liste noire » du Colonial Advocate le nom de Boulton
et en modifièrent légèrement le nom. Les motifs de ce déménagement sont obscurs, quoique les procès-verbaux de la direction torontoise aient fait allusion par la suite aux
 
* dressa la liste des membres du family compact en 1833, le premier nom qu’il inscrivit fut celui de D’Arcy Boulton. Figuraient ensuite quatre des fils de Boulton, tous fonctionnaires comme leur
trouvait alors à Winnipeg. Nommé officier, il retourna tout de suite dans la région de Russell pour former deux troupes d’éclaireurs qui, connues sous le nom de Boulton’s Scouts, jouèrent un rôle majeur à la
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