pencher la tête d’un côté, mieux connu sous le nom de « Old Dreadnought » (vieil intrépide), né le 19 août 1711, fils de Hugh Boscawen, 1er vicomte Falmouth, et de Charlotte
concurrence avec New York et la Nouvelle-France. Aucun document ne mentionne le nom de ces pionniers, et les historiens diffèrent d’opinion quant à savoir si Bisaillon était au nombre de ceux-ci ou s’il était
), avait été capturée et emmenée au Canada à l’âge de deux ans ; à son arrivée, on l’avait baptisée sous le nom de Catherine. En 1763, peu après la mort de son mari, elle vendit au gouverneur James
Taillemite et al., Tables des noms de lieux, de personnes, de matières et de navires, sous-série B1, B2 et B3 (Paris, 1969), 34.— Octave Teissier, Armorial de la
Pyvart (Pinard) de Chastullé, décédé à Orléans le 9 septembre 1746.
Le nom de Beauharnois, qui deviendra Beauharnais, connut la célébrité à
et Beauharnois, n’a pas été le seul à le décrire comme un être « bon, affable et généreux ». Les Indiens le connaissaient sous le nom de « Paix ». Beaucoup exprimèrent leurs regrets
Jésus fut supprimée en France.
Les activités subséquentes de Beaubois restent inconnues. Son nom ne réapparaît que dans un avis de décès des jésuites
locales du mauvais état de ses finances, « qui, selon lui, n’[était] que trop connu ». On retrouve souvent son nom dans les archives judiciaires, ce qui semble confirmer, comme l’affirma Louis
marchand écossais du nom de William Brymer et, le 26 avril 1763, le gouverneur James Murray* leur concéda pour quatre ans le poste de pêche
qu’il mourut le 20 novembre 1755. Ses nombreux descendants qui continuèrent pendant un siècle à réparer et à fabriquer des armes sont encore connus sous le nom de Des Buttes à Détroit et dans le
nom figure sur la liste des officiers dressée par le ministère de la Guerre pour 1770 mais il n’y paraît plus en 1771 ; selon toute probabilité, il mourut en 1770. Selon une inscription qu’on
surtout l’orthographe de son nom expliquent sans doute qu’au xixe siècle quelques commentateurs l’identifièrent avec le père Aubry, immortalisé par Chateaubriand dans Atala. Comme l’a
Vaudreuil, fut de passage à Trois-Rivières, les Abénaquis de Saint-François allèrent l’y rencontrer, et Atecouando le harangua en leur nom. Il lui dit : « Commande donc, ordonne, nous sommes
ARNAUD, MARIE-MARGUERITE-DANIEL, dite Saint-Arsène (appelée à tort Saint-Arnaud, nom d’une autre famille), religieuse
[Rocbert] le trouva d’agréable compagnie. Il vivait encore en janvier 1752. Après cette date, son nom disparaît des archives.
Jean-Charles
Leigne et de Claude Fredin, décédée à Trois-Rivières le 16 janvier 1766.
Louise-Catherine André de Leigne fut une de ces femmes dont le nom est
].
Amiot semble être allé se fixer à La Baye après 1763. À cet endroit, il se querella avec un Indien du nom d’Ishquaketa, qui lui avait laissé une hache à réparer. Amiot ayant saisi l’Indien avec des
agissait devant le Conseil supérieur « au nom et comme porteur d’ordre de Jean-Baptiste Sombrun » vraisemblablement négociant à La Rochelle
d’héritier. Il demeura parmi les Abénaquis d’Acadie avec un de ses frères dont on ignore le nom. Joseph, ayant toujours vécu dans la tribu, était beaucoup plus « Abénaquis » que Bernard-Anselme
généralement à l’époque. L’abbé Étienne-Michel Faillon fit des recherches en France pour découvrir s’il s’y trouvait un lieu ou un domaine de ce nom. Il n’en trouva point, et il n’y en avait pas au Canada à